La grande porte

Il faisait froid, il tombait des cordes et l'orage battait son plein. Heidevolk s'était fait mordre une jambe par un loup et son bras s'était ouvert sur un rocher coupant. Il se trouvait dans une petite clairère mettant tout ses sens en alerte, à chaque bruit il tressautait. Un éclair fit explosé un arbre à 5 mètres de lui, il fit un bond de 2 mètres en arrière et poussa un petit cris de peur. Il venait de faire du bruit, trop de bruit, il tendit l'oreille : il entendit les aboiements plaintifs d'un loup, puis de deux, puis de toute une meute. Il les entendit se rejoindre car les cris venaient à présent d'un seul et même endroit.
Bordel.
Heidevolk commença à courir malgré ses membres endoloris.
Sa baguette, on ne sait pas pourquoi, ne fonctionnait pas il ne pouvait donc pas s'en servir.
Maintenant, Heidevolk distinguait nettement les loups même si il faisait nuit.
Les bêtes se rapprochées progressivement jusqu'à ce qu'au bout de 15 secondes elles le rattrapent complè.tement. Les loups commencèrent à l'encercler. Ils bavaient de plaisir à l'idée de manger de la bonne chair humaine mais ils ne savaient pas qu'Heidevolk n'avait rien mangeait de puis 1 semaine. Les bêtes se ruèrent sur lui et commencèrent à le mordre et à le griffer de part en part. Un des loup allait s'attaquer à son visage quand Heidevolk attrapa les deux parties de sa machoire ouverte et les écarta avec violence jusqu'à ce que le cartilage rompe, une éclaboussure de sang parvînt sur son visage. Heidevolk eu le temps d'attraper un bout de bois massif et donna un grand coup dans la mélée de loups, deux loup tombèrent face contre terre et tout d'un coup tout les autres partirent; content de son effet Heidevolk se releva difficilement, contusionné de partout. Il se retourna pour poursuivre son chemin mais à sa grande surprise il vit en face de lui deux jambes velues et n'eu que le temps de levait la tête que jusque au torse de la bête car celle-ci abattit ses énormes poings sur le sol ce qui eu pour effet de faire tombé Heidevolk au sol. Heidevolk se releva avec le menton ensanglanté et se mit à courir aussi vite qu'il pu mais au bout de quelques secondes il sentit le vide sous ses pieds et secoua en vain ses pieds, il n'eu que le temps d'aperçevoir Poudlard avant de sombré dans le lac. En temps normal se scapacités à nager étaient bonnes mais avec tout le corps souffrant c'était difficile voir même impossible, cependant il réssui tant bien que mal à se maintenir à la surface de l'eau brumeuse. Il pleuvait toujours et par chance le lac ne recevait aucun éclair du ciel car sinon Heidevolk serait mort électrocuté. Au bout d'un heure d'efforts longs et pénibles il parvînt à la rive de Poudlard et se jeta , épuisé, sur l'herbe boueuse. Un goût de bile et de sang monta dans sa gorge et finit par sortir par sa bouche premièrement sous forme de cracha et ensuite sous forme de vomi, Heidevolk souffrait le martyre. A cet instant précis il avait envie de mourir tellement la douleur était insupportable, après il essuya sa bouche avec sa manche (on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a). Il s'avanca lentement et péniblement vers la grande porte. La pluie diluait le sang et la bile, ses cheveux étaient trempés ainsi que ses vêtements mais il parvînt à frapper trois grands coups de gonds sur la grande porte.
Enfin

[hrp]:euh...vous voulez pas répondre...snif, snif.[hrp]

Kyle, sous forme de Catarina grâce au polynectar, entendit qu'on frappait à la porte du château. Il alla ouvrir la porte. Devant lui se tenait un homme qui était au plus mal au point.

"Ho, mon dieu! Allongez vous, allongez vous."

Il força alors l'inconnu à s'allonger sur le sol.

"A l'aide, je vous en pris! Que quelqu'un vienne!"

Il essayait d'arrêter les saignements par des sorts, mais c'est à ce moment qu'on voyait son incapacité en sortilège, mais il en profita tout de même pour lui prendre quelque mèche de cheveux.

-Mais...mais qu'est-ce que vous faîtes?...pou..pourquoi vous me coupez les cheveux? dit Heidevolk en s'adressant à l'inconnu en face de lui.
Son esprit était perdu, il s'embrouillait, il se rappela sa période aux alentours de ses 9 ans, ses années sombres comme celle qu'il avait vécu il y a peu de temps mais dont il ne souvenait pas, ses années décadentes, pleines de sang, de meurtres...la violence et la décadence, cela résumé bien sa vie.
Puis sa vue devînt flou, il sentit la brûlure, de la morsure du loup qui enflait, elle faisait mal, plus mal que le bras et le reste du corp.
Puis on ne sait pourquoi mais quelque chose vînt comblé la brèche que la douleur avait ouverte, une brèche l'empêchant de se protégé; cette chose qui obstruée à présent son esprit c'était l'amour...
Puis Heidevolk s'évanouie tellement la douleur était insoutenable.

Grynfwald se promenait lorsqu'il entendit du bruit près de la porte. Il se déplaça silencieusement et aperçut une jeune fille qui arrachait des cheveux à un blessé.

" Vous préparez du polynectar ? "

La jeune fille sursauta.

"Je ne te coupe pas les cheveux, tu dois délirer à cause de tes blessures."

Puis quelqu'un vient à leur secours, mais celui-ci vit tout de suite ce que faisait Kyle sous les traits de Catarina. Il rpit donc la fuite vers le parc.

"Désolé, je dois y allez!"

Ne pas se...laisser entraîner...NON! 'Pas mourir tout de suite, c'est trop tôt...n...o...n....non, sûrement pas maintenant,...pour moi...pour elle...-Il faut résister. -Mais je n'peux pas! -Si, suis moi tu verras, tout ira bien, tout ira pour le mieux...tout ira mieux dans le meilleur des mondes. -Non, tu mens...arrête...mon âme comm...elle commence à partir...-NON! Arrête, je te protegerais! NON

-Ah...ah...je suis vivant c'est impossible! IMPOSSIBLE! Je suis peut-être mort après tout? Je le mérite bien, Heidevolk vit un jeune homme se dirigeait vers lui. Il ruisselé de sueur (Heidevolk), le sang coulait encore et il séchait par endroit, Qui...qui êtes vous? Désolé, je ne me suis pas présenté Heidevolk Ungöl et je voudrais rentré dans cette école.

L'élève lui parlait. Il était blessé. Pour la première fois de sa vie, Grynfwald ressentit un sentiment proche de la pitié.

" Moi c'est Grynfwald of Highlands. Oui, c'est assez compliqué, ajouta-t'il avec un sourire. Ne t'inquiéte pas, je vais t'amener dans le bureau du directeur. "

Il le prit dans ses bras, se concentra et transplana.

-Moi c'est Grynfwald of Highlands. Oui, c'est assez compliqué, dit le jeune homme en souriant. Ne t'inquiéte pas, je vais t'amener dans le bureau du directeur. Et sur ce, Grynfwald le porta, c'est à se moment, bien que la position soit inconfortable, qu'il s'endormit.

Citation :

-...je...
-Non!!! Pas tout de suite!
-...t'ai...
-Pourquoi maintenant, pourquoi il a fait ça? Lui!
-...merai...
-Meurt pas! Pas tout de suite!
-Je t'aimerai pour toujours...mon amour...
-Moi aussi je t'aime!...
-Adieu...je t'ai......
-NONNNNN!

Heidevolk se réveilla en sueur dans les bras de Grynfwald, situation plutôt incongrue.
Qu'est-ce qui m'arrive? C'était quoi ce rêve?

Lorsque il arriva dans le bureau celui-ci était vide. L'élève se réveilla, en sueur. Une lueur de folie brillait dans ses yeux. Bon, mieux vaut le porter à l'infirmerie, pensa Grynfwald. Et il retransplana.

[HRP: La suite se passe à l'infirmerie. /HRP]