Le monde s'écroule! Courons à notre ruine!

Un vent glacial soufflait sur la toundra, l’atmosphère était terne, sombre, il allait de paire avec les cadavres qui gisaient sur le sol. Leur posture ridicule ne paraîtrait plus dans quelques heures alors que le vent et la neige recouvreront leur cadavre ensanglanté. Dans l’étendu froide et blanche un regroupement de capuche noirs faisait contraste. Un loup gris se tenait aux côtés des cadavres. Son corps semblant s’allonger, se redresser, et sa pilosité s’effaçaient. En quelques secondes le loup était devenu un homme.

Asarius ajusta sa cape. Il jeta un coup d’œil à sa droite, une femme se tenait là, le sourire aux lèvres; à sa gauche une bête monstrueuse et sanguinaire, Fenrir Greyback éclairé par la pleine lune. Tous trois se trouvait devant un monticule qui s’ouvrait vers les profondeurs de la terre. L’entré d’un ancien monument magique.

D’autres formes sombres apparurent dans un craquement à peine audible, enterré sous le vent hurlant du Nord. La morsure du froid n’empêcha pas tous les sorcier concerner de présenter. Et c’est en plein milieu de la nuit, dans la toundra nordique sous de larges aurores boréals que se réunissèrent les traîtres, car c’est ce qu’ils étaient. Asarius se plaça devant la demi-lune formée par les mangemorts.

L’homme que tous avait considéré comme étant mort, se dressait maintenant là devant ses adeptes bien vivant, bien portant, empreint d’un désir flamboyant de tuer celui qui avait causé tant de misère dans sa vie. Lord Voldemort devait et allait mourir. Il avait déjà sous-estimé Asarius une fois, et cela lui coûterait la vie. Le Lord que tous les magiciens craignaient allait s’éteindre dans un pays de viking dont personne ne se souciait. Aussi abruptement que la mort d’Albus Dumbledoor, Voldemort allait mourir. Un ardent désir de vengeance tiraillait et broyait les intestins d’Asarius. Il s’adressa au petit groupe.

- Nous sommes tous réunis ici, car nous croyons que Tom Jedusors à fait son temps, il est vieux et prêt à tomber, depuis une dizaine d’année sa force décline, avec chaque année se raproche sa défaite, car le jeune Harry Potter se rapproche de lui. Nous sommes ici car nous croyons que nous devons sauver notre mouvement. Ne laissons pas les aurores nous dissoudre et nous envoyer à Azkaban…Nous vallons mieux que ça! Se soir nous somes ici pour accomplir notre devoir. Lord Voldemort est ici car il croit pouvoir trouver une ancienne relqiue magique. Il y à de cela bien longtemps un mage du nom de Belezare à assis son pouvoirs sur la moitié de ce continent avec ses pouvoirs magique, et d’après la légende il aurait laissé ses pouvoirs dans un médaillons avant d’être mit à mort par ses ennemis. Voldemort croit l’avoir trouver, c’est pour sa qu’il se trouve ici, dans se territoire perdus. Quel qu’il en soit de cette légende le temps est venu pour nous de le renverser, ici sont réunis ses plus fidèles partisans. Éliminons les et nous nous assurons un meilleur avenir! Êtes-vous avec moi?

La petite foule composée d’une vingtaine de membre cria son appartenance. En réalité Asarius se fichait de la cause des mages noirs, des aurores ou de quoi que se soit d’autre…Seul la mort de Voldemort lui importait. La seul chose qui lui importait autant, se trouvait en Égypte à des lieux de là, plongée dans une obscure quête…Asarius ne pouvait qu’espéré que celle qu’il aimait toujours s’en sorte indemne. Le bonheur de Misha et la mort de Voldemort, simplement cela et rien d’autre…Qu’importe le dénouement, qu’importe les conséquences, il curerait à sa perte les bras ouverts, attendant d’être fauché par la mort. Rien ne lui faisait plus peur car il savait que celle qu’il aimait était heureuse avec Junior…Asarius n’avait plus rien à faire en ce monde, sauf tuer Voldemort. Il empoigna sa baguette et d’un pas rapide s’enfonça dans les ruines du temple occupé par les forces de Voldemort. Dans les chaos des pas retentissant on entendit crier par tous les membres du groupe:

- Le monde s'écrole, courons à notre ruine!

Ainsi les traîtres se lençait dans une mission suicide qu'ils avaient peux de chances d'en ressortir vivant...

Fenrir hurla un cri de mort qui lui arracha les poumons, les yeux injectés de sang, la bave en coin la bête qu’il était en avait marre d’attendre. Lui et ses compagnons avaient atteint un point de non-retour, il trahissait leur famille leur patrie, leur monde, leur vie….Pour l’échanger contre une nouvelle. Ce qu’ils avaient planifié de faire; et ce qu’il faisait en ce moment même était la chose la plus horrible que l’ont puisse faire, car la trahison est un manque flagrant d’honneur, l’une des choses les plus importantes en ce monde. Eux la bafouaient sans la moindre pitié et devenait par se fait même les êtres les plus ignobles de la planète, plus vile encore que lord Voldemort, car lui avait une parole que l’ont pouvait considéré comme honorable.

Fenrir fut le premier à entrer dans l’ancien temple, il fut le premier à commettre le sacrilège de la tromperie en ce leiux supposément sacré, quand, de ses griffes, il envoya un mangemorts s’écraser sur un mur, les tripes se déversant sur ses genoux. Un deuxième mangemort accourait vers Fenrir qui lui sauta dessus et sans la moindre pitié et dans l’infamie la plus total referma sa mâchoire sur la tête du sorcier qui ne comprenait pas ce qui se passait, qui ne comprenait pas pourquoi ses anciens amis s’étaient rebellé et qui ne comprenait pas pourquoi il allait mourir alors que sa femme allait accouché…Fenrir d’un coup sec cassa le coup du mangemort et s’en fut fini pour lui.

Le loup-garou s’arrêta pour observer la scène, devant lui se divisait un embranchement. Un couloir menait vers Lest et l’autre vers l’Ouest. Une silhouette élancée se plaqua contre le mur et observa Fenir. Maïna fit un signe, comme quoi elle prendrait le côté Est. Fenrir acquiesça et s’élança tout feux tout flamme dans la direction opposé.

Maïna fit quelques pas et du se tirer à plat ventre pour éviter l’éclair verdoyant qui déchira l’air en passant a un petit pousse de ses longs cheveux. Un bout du mur derrière elle, orné de motifs anciens, éclata projettent des débris fumant un peu partout. Maïna jura et roula sur le sol pour se plaquer dos au mur opposé, dans un angle mort. Elle fut rejointe par Remishër, une de ses anciennes connaissances, l’homme se plaqua à ses côtés et fit signe aux autres envahisseurs d’attendre avant de les rejoindre.

- Tu as passé à un cheveux de jamais revoir ton mort-vivant de pourfendeur ma chère…

Maïna lui lança un regard courroucé empreint de mépris. L’homme se mit à rire à gorge ouverte. Elle lui donna un coup de coude dans les côtes, ce qui ne le fit pas taire pour autant. Elle soupira et lança un sortilège de mort vers un mangemort qui s’était étiré le cou pour observer la situation. Ce dernier l’avait échappé de peux. Elle lança un sourire à son compagnon avant de se lever alors qu’à son ancienne position volait des éclats du mur qui venait d’être touché par un Avada. L’ennemi s’était mit à découvert et Maïna en profita, elle ne fit ni un ni deux et l’envoya en enfer. Le corps inerte tomba sur le sol dans un choc qui résonna dans les murs insonorisé de la ruine.

Elle se sentit revivre. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas été plongé dans l’action; et qui plus ais son ancien coup de cœur était ressuscité. Ô biens sure elle savait que le cœur d’Asarius était à une autre fille, elle en avait déjà entendu assez à ce sujet. Elle avait mit une croix sur lui depuis belle lurette. Pourtant elle ne pouvait pas l’oublier, il resterait à jamais dans son cœur à elle.

Maïna éleva un écran de protection alors que venait sur elle un sortilège d’explosion qui visait son cœur. Le mangemort qui l’avait lancé fut surpris par la vitesse avec laquelle la jeune femme avait réagit. Il était sûre de l’avoir tué. Pourtant elle se tenait là devant lui et profita des quelques secondes de stupeur de son adversaire pour le tuer. Les deux adversaires qui tenaient un poste de défense dans un tournant du couloir étaient morts… Elle fit signe aux autres qu’il pouvait venir. Ces derniers accoururent avec empressement. Remishër lui adressa un regard perplexe, stupéfait de son sang froid et de ses nerfs d’aciers exceptionnels.

- Tu es vraiment pleine de…….

Le teint de Remishër devint livide et ses yeux s’éteignirent, alors qu’un halo vert émeraude enveloppait son corps désormais inerte. Maïna étouffa un cri de surprise. Des hommes étaient réapparut au tournant du corridor et d’autres étaient sortis de nulle part derrière le petit groupe d’attaquants. Ils étaient dans un étau. Des dizaines de sorts meurtriers furent lancé en quelques secondes et Maïna ferma les yeux alors qu’un ombre l’englobait.

Fenrir entendit ses comparses mourir dans un effroyable chaos, ses oreilles de loup-garou décuplaient son ouïe et ses dans un bref instants qu’il entendit les derniers soupirs de ses camarades. Un bouillon de haine fulminait au creux de son être. Voilà quelques minutes que lui et son groupe était prit à un tournant du couloir Ouest. Sa vision s’occultait, il devenait aveugle de rage. Les yeux injectés de sang, la bave coulant à flot de sa gueule il ressentait un besoin quasi érotique de tuer, un besoin si intense qu’il se jeta à quatre patte et s’élança à l’aveuglette dans le groupe de mangemort adverse. Un sort d’endoloris l’atteignit mais cela ne le ralenti pas. Plus il prenait de la vitesse plus il ressentait un besoin immense d’éviscérer la première personne qui tomberait sous ses griffes. Il se rua dans le petit groupe compact d’ennemis, les projetant au sol, brisant des os dans un craquement sordide. Fenrir fit aller ses griffes et sa mâchoire. Dans une folie meurtrière et macabre il passa toutes ces années de frustration et e tristesse réprimés. Alors qu’autours de lui giclait littéralement le sang des quelques sept mangemorts qui se trouvait près de lui.

Il ne s’arrêta que lorsqu’il n’eu plus la force de bouger. Fenrir s’effondra haletant au sol. Épuisé il se retransforma un homme au milieu de la sadique mare de sang et de lambeaux de vêtements déchirés. Ses compagnons se portèrent à son aide, le relevant et lui donnant un peu d’air pour respirer. L’un deux lui lança un sort de revigore. L’homme loup se releva avec peine et leur fit signe d’aller voir se qui s’était passé dans le corridor Est…

Asarius s’était attardé devant l’entré pour s’assurer de ne pas avoir de mauvaises surprises, d’ennemis qui attaqueraient par derrière. Hors à un instant précis il eu un horrible sentiment, sans savoir pourquoi, les larmes lui venaient au yeux. Une sensation qui arrachait son cœur sans qu’il en comprenne la raison. Il ferma les yeux et se laissa guider par ses émotions, aux lieux de leurs succomber. Sans qu’il s’en aperçoive il avait transplanner dans les bras de Maïna. Subconsciemment un énorme bouclier magique s’était élevé autour des deux êtres. Asarius toujours en transe se laissait baigner dans la houle de ses sentiments, il était en harmonies avec ses émotions et sans qu’il n’y paraisse la fumée retomba laissant paraître l’horrible massacre.

Asarius se demanda quelques instants s’il était mort. Il venait de vire une expérience intense dont il ne pouvait analyser la cause. Il ouvrit les yeux pour découvrir le visage de Maïna à quelques centimètres du sien, leur deux regard se pénétrèrent dans ce qui sembla une éternité. Asarius s’enfonça dans le regard profond que lui portait le jeune femme, il avait l’impression de fusionner avec elle, de connaître chaque pensée, de savoir chaque secrets.

Il savait pertinemment que Maïna éprouvait quelque chose pour lui. Et il se rendait compte à présent qu’elle ne lui était pas indifférente, loin de là en vérité. Pourtant il se refusait à succomber à ses émotions car il savait son cœur à une autre fille…Pourtant il savait qu’elle ne partageait pas ce sentiment…Le regard mélangé à celui de Maïna Asarius était en proie à une confusion jamais ressenti auparavant. Il analysa chaque partis de son être, découvrit combien il appréciait chaque centimètre de son corps qui frôlait celui de Maïna et alors qu’elle posa sa main sur son cœur, Le Pourfendeur su que bien qu’il se connaissait depuis longtemps et qu’il ne l’avait jamais vraiment remarqué, il su qu’en quelques instants il était tombé en amour totale avec elle. Un coup de foudre, un coup du destin. Elle avait compris d’ailleur ce qui se venait de se passer et esquissa un léger sourire…

- Dit-moi ce que je meurs d’entendre depuis toujours….

Elle avait dit cela un emprisonnant le visage rugueux du Pourfendeur dans ses douces mains…. Asarius avait la vision claire, plus de doute possible Maïna et lui était fait pour être ensemble. Un sentiment profond vint inonder son corps tout entier.

- Je t’aime…

Les deux êtres avaient atteint une symbiose parfaite en l’espace d’un instant. Alors que la fumée se dispersait. Les mangemorts n’eurent pas le temps d’être stupéfait que les deux êtres lisaient à livre ouvert le cœur de l’autre sachant qui allait faire quoi, quand et ou…Ainsi les mangemorts ne virent pas l’étrange ballet orchestré par les deux êtres en symbiose. Alors qu’Asarius transplannait derrière un mangemort lui donnant un puissant coup de pied, disparaissant aussitôt pour tuer l’autre homme qui allait jeter un sort mortel à Maïna dans son dos. Elle-même achevait le mangemort désarmé, avant de casse le bras d’un homme encapuchonné dont la baguette visait Asarius. Ils se croisèrent ainsi au milieu du couloir, allant et revenant, transplannant au gré de leurs émotions qui les dirigeaient au bon endroits au bon moment.

En quelques secondes ils avaient vaincu la dizaine de combattants ennemis. Asarius se projeta dans les bras de Maïna et l’embrassa passionnément. Quelques instants auparavant, Asarius était devant l’entré des ruines, froid et impassible et maintenant il était dans les bras d’une femme qu’il savait maintenant aimer de tout son cœur….Il resta ainsi longtemps n’osant point bouger pour ne pas briser l’intensité du moment, alors qu’entre deux tout était claire et lisible.

Fenrir toussa légèrement pour faire remarquer sa présence. Asarius se surprit à rester en position, son être ne voulait pas se séparer de celui de Maïna. Il parvint tout de même à briser cette contrainte. Fenrir roula des yeux amusés par la situation.

- Qu’à tu as rire ainsi?

- Après ce que j’avais entendu je vous croyais mort, au lieu de cela je vous retrouve ainsi que ça aurait toujours du être…

- Ainsi, Fenrir le sanguinaire se souciait de notre sécurité?
- Tu rêves Asy! J’étais assez heureux de ne plus avoir à t’endurer!

Maïna reprenait son souffle, il s’était passé trop de chose s’en qu’elle ne s’en rende compte. Venait-il de se produire ce qu’elle croyait avoir vécu? Où était-ce l’expression de son désir profond alors qu’elle mourrait? Elle espérait certes que cette situation arrive un jour, pourtant à cet instant elle s’aurait volontiers soustraite aux regards malicieux de Fenrir. Maïna était sur le seuil d’une vie dont elle rêvait l’avènement depuis des lustres. Pourquoi, pourquoi donc hésitait-elle à l’aube d’un des plus beau jours de sa vie? Asarius l’avait temps fait attendre et tellement laissé croire qu’il aimait plutôt cette jeune aurore qu’elle avait désespéré de lui, et à cet instant tout était devenu inversé….Elle ne savait pas pourquoi cela s’était passé ainsi, elle ne savait pas non plus comment, elle savait seulement qu’elle appréciait ce moment malgré ses appréhensions. Elle resta ainsi quelques instants, et c’est un jet de flamme qui la ramena elle et les autres sur leur véritable quête en se lieux. Alors Maïna se dit à elle-même

« Si tu sors vivant de ce merdier, tu ne te pose plus de questions et tu le serre dans tes bras…Maintenant concentre-toi ma vielle car ce serait bête de se faire tuer stupidement à l’aube de ce jour que tu as tant attendu… »

Elle afficha une mine déterminée et s’adressa aux hommes derrières ele.

- Allez les filles….Bougez-vous nous n’avons pas que sa à faire…

Elle décocha un clin d’œil à Asarius et s’éloigna. Elle entendit cependant très bien le commentaire de Fenrir à Asarius.

- Mon pauvre, il a fallu que tu prennes la plus dominatrice….Ouuchhh…

Maïna retint un rire espiègle et se retourna pour faire signe au groupe d’Asarius de s’approcher. Elle devait poursuivre l’attaque du côté Est et son groupe s’était fait décimer. Elle se trouvait horrible d’éprouver de la joie pour sa nouvelle situation alors que tant de ses amis étaient tombés au combat, pourtant elle devait pleuré les morts plus tard…Elle regarda Le pourfendeur s’approcher avec ses troupes et Fenrir retourner à son groupe.

- Alors que fait-on grand-chef?

Fenrir revint empli d’un regain de confiance et d’énergie. Il croyait que Maïna était morte, celle qu’il connaissait depuis si longtemps, il aurait eu de la difficulté à s’en remettre, lui Fenrir le sanguinaire…car elle était et sera toujours à ses yeux sa petite sœur adorée. Bien sûre ils n’avaient pas de vrai lien de sang, pourtant il s’était développé entre eux deux un autre lien tout aussi puissant et solide. Heureusement Asarius avait été la pour la protéger et dieux seul sait comment il a pu arriver à cet instant précis et produire un écran qui les avait protégé de plusieurs sorts, dont des mortels…Décidément Le pourfendeur était un homme bien singulier et il y avait peut-être plus à son sujet que les gens conaisse car, Fenrir n’en doutait plus, Asarius était à la hauteur de Lord Voldemort. Il avait vaincu l’Avada Kedavra d’un sorcier craint par millier et venait de faire dévier des sorts tout aussi mortels il y avait de cela quelques instants…
Fenrir revint à son groupe, ceux s’enquirent de la situation, le commandant se fit un plaisir de raconter la scène. Mais il fut tout de même prompt à relancer l’attaque. La nuit ne faisait que commencer et quelque chose lui disait qu’elle allait être très longue.

Deux frères mangemorts s’élancèrent sous ses ordres dans le tournant du couloir. Étrangement le couloir semblait mené plein Est, comme s’il allait rejoindre celui de Maïna…Une série de flash lumineux le ramena à l’état d’éveil. Il grogna et en moins de temps qu’il fallait pour hurler à la pleine lune, Fenrir était de nouveau devenu une bête sanguinaire. Il entendait de nombreux cœur battrent, nombreux étaient les ennemis qui les attendaient de l’autre côté du virage abrupt du couloir. Les deux frères revinrent croulants sous les sortilèges ennemis.

- Fenrir, en effet le couloir semble mené à celui de Maïna, en fait les deux se joignent aux milieux ou il y a une grande porte dorée….C’est la que sont regroupé les mangemorts…

Le loup-garou soupira, ou plutôt exhuma de façon raide l’air de ses poumons. S’il y avait quelque chose en ce monde qu’il haïssait plus que les puces s’était bien la guerre à la Far West…Chacun dans son coin, essayent d’être chanceux et de toucher un adversaire…La nuit allait effectivement être très longue….

Asarius sonné de ce qui s’était passé fit ce qu’il savait faire de mieux. Enfouir ses émotions au plus profond de son être. Ainsi il avait toujours passé au travers de obstacles psychologiques que la vie lui lançait. Il faut dire qu’avec son passé on était en droit de se poser des questions…Veut veut pas, quand un enfant est violé, il devient beaucoup plus renfermé…

Il se concentra et redevint la machine à tuer qu’il était. Il leva la baguette et donna un léger coup de coude à Maïna qui ne s’attendant pas à un quelconque geste de la part d’Asarius sursauta. Le pourfendeur esquissa un sourire en coin et s’avança avec le reste de son groupe. Il tourna le virage à 90 degré et vit le long couloir qui menait à une porte dorée ou à d’après ce qu’il venait d’Apercevoir, le groupe de Fenrir. Ce ne fut pas long qu’un tir groupé d’endoloris, d’avada et d’incendio s’abattis sur le mur ou il se trouvait. Les mangemorts s’étaient regroupés ou la porte d’or.

- Merde….

Maïna lui jeta un regard perplexe.

- Ça va être une guerre de patience….Je suis donc déjà vaincu avant même d’avoir commencé…

Maïna lui répondit par un regard amoureux et le poussa de côté pour prendre sa place devant le groupe d’assaut.

- Si tu ne peut pas t’occuper de ta bataille, mon générale reste donc à l’écart!

Tous pouffèrent de rire en regardant Asarius qui venait littéralement de se refaire mettre en place, même si le ton de sarcasme était très palpable. Le Pourfendeur ne pu s’empêcher de se mêler aux rires retentissants. Se fut soudain silence, Asarius s’aperçut que les escarmouches avaient cessé. Il s’avança et retint Maïna par la taille, elle s’avançait trop à découvert pour observer la situation. Il prit sa place et passa son œil le plus près du mur possible, mais ce fut tout de même insuffisant et de nouveaux un déluge de sorts arracha une partie du mur.

Depuis près d’une heure le petit jeux de tirs à l’aveuglette sans toucher de cibles faisait rage. À droite, Fenrir et son groupe, à gauche, Asarius, Maïna et leur groupe et au centre la porte par lequel ils devaient passer pour trouver Lord Voldemort, et cette dernière était gardé par plusieurs mangemorts…

Maïna en avait assez de rester caché à rien faire, d’après elle la situation avait assez durée et il était temps d’y mettre un terme. Elle cherchait désespérément un moyen de passer mais ne parvenait as à trouver un moyen efficace qui réduirait les pertes de leur côté. Un intense frisson monta le long de son épine dorsale alors que l’air ambiant passait de doux à froid, pour ne pas dire glacé. Une petite nappe de brouillard recouvrait le sol à ses pieds. Maïna se retourna et perçut la haute silhouette drapée d’un détraqueur. Elle leva sa baguette à l’unisson avec Asarius qui avait sentit lui aussi le danger. Plusieurs créatures avançaient vers eux. Les autres mangemorts insurgés restèrent pétrifiés voyant le nombre faramineux de créatures qui se dirigeait vers eux.

Maïna fit sortir son patronus, qui avait la forme d’un grand loup. Asarius lui lança un regard amusé, avant de lance le sien, un grand aigle. Les deux formes brillantes argentées s’élancèrent vers les détraqueurs. Il se passa quelque chose d’étrange alors que les deux patronus chargeaient la masse sombre devant eux. Les deux silhouettes se mélangèrent et ensemble ils devinrent une boule si lumineuse que les détraqueurs se mirent à se battre entre eux pour échapper au sortilège. Lorsque la luminosité revint à la normal tous furent consterné que plus rien ne restait à l’endroit ou se trouvait les créatures maléfiques, elles avaient tous prit la fuite.

Maïna lança un clin d’œil à Asarius et reprit sa place à couvert derrière le mur. Elle commençait à croire en leur chance de gagner, et ce pour la première fois…

- Un loup…Ton patronus…

Elle poussa Asarius qui un large sourire moqueur aux lèvres se tenait devant elle. Il tomba à la renverse et pouffa de rire. Les autres mangemorts de leur groupe regardèrent la scène consterner de leur petit jeu d’amoureux alors qu’ils étaient en plein combat. Asarius et Maïna furent rappelé à la terre par un déluge de sortilèges qui grugèrent encore une partie du mur. Revenant à la réalité, Maïna empoigna sa baguette et lança, à l’aveuglette, un sortilège de mort. Elle entendit un corps tombé et su que cette fois-ci son intuition avait vu juste…

Fenrir ne savait pas trop ce qui se passait de l’autre côté du couloir. Il avait sentit la présence des détraqueurs, et maintenant il lui semblait entendre rire. Il était tout aussi consterner que tous les autres. Il aurait probablement rit lui aussi, mais pas dans une situation ou la mort les guettait comme aujourd’hui. Il commençait à s’épuiser et il avait du revenir sous une forme humaine. Le combat de couloirs n’était pas son truc, hors il donna un coup de pied sur un morceau de roche qui appartenait autrefois au mur. L’objet ricocha heurtant les murs. Fenrir fut surpris lorsque trois chauve-souris passèrent en criant de manière indigné près de sa tête.

- AHHH les sales bêtes....Faudrait toutes les faires griller....

Il se tut un instant n’entendant plus les battements d’ailes. Il sentit monter en lui une vague d’adrénaline.

- Et merde...

Il sut que ce qui avait frôlé sa tête n’était pas des chauves-souris, mais des vampires. Il se retourna au moment ou un des mangemorts cria au meurtre alors qu’un être grisâtre plongeait ses crocs dans son coup. Fenrir grogna de manière animale et le va sa baguette. Les autres mangemorts s’étaient écartés de la scène horrifiante. Les trois vampires se tenaient devant eux, et tenait le pauvre mange mort en otage. Le sang ruisselait de sa blessure. Le vampire qui l’avait mordu se léchait les lèvres de façons quasi érotique. Fenrir se sentait envahi d’une envie de les découpés en plusieurs morceaux et de les étendre au soleil. Il esquissa un sourire à cette pensée sadique.

- S’il y a quelque chose que je hais plus que les puces, se sont les vampires. Il jeta un coup d’oeil à ses coéquipiers avant de continuer. Connaissez-vous des créatures qui soit aussi arrogante?

Le vampire qui se léchait les lèvres siffla en montrant ses crocs. Fenrir qui s’était métamorphosé un loup-garou poussa un puissant grognement. L’un des mangemorts s’écria:

- Fenrir un, vampires zéros!

Tous ses comparses se mirent à rirent. L’un des vampires prit la parole:

- Pauvres fous croyez vous vraiment pouvoir vaincre le seigneur des ténèbres et....HAAAAAAAAA

Fenrir qui avait reprit de nouveau sa forme humaine n’étant plus capable de se maintenir en loup avait fait un sortilège de Lumus Solem. Les trois vampires se tortillaient de douleur.

- La seul chose qu’il y a de bon chez un vampire, c’est la facilité que l’on as à les tuer...

Tous les autres mangemorts lancèrent le même sort et bientôt se fut trop pour les vampires qui se désintégrèrent en poussière. Fenrir trouva intéressant ce qui venait de se passer, il marcha jusqu’au corps inerte du mange mort attaqué. Il était mort.

- Pauvre gars, c’est saltée l’ont eu....Repose en paix mon frère...

Il ferme les paupières du décédé et retourna au tournant du corridor. Il se dit à lui-même, qu’il serait à peur près le temps de passer à l’action....[/i]

Asarius n’aimait pas le tournant que prenait les choses. Ils se ferraient tous tuer s’ils restaient là à rien faire. Voldemort avait peut-être appelé Rogue et le reste des mangemorts qui lui étaient encore fidèle. Ils pouvaient se retrouver encercler d’une minute à l’autre. Puis il fut pris d’un terrible sentiment lorsqu’il constata que le silence s’était de nouveau installé. Maïna lui lançait un regard interrogateur Quel allait donc être le nouveau maléfice que leur lancerait le seigneur des ténèbres?

- Asarius...Tu es plus difficile à tuer que je le croyais...

Tous eurent le souffle coupé, le Lord des ténèbres lui-même était à la barricade qui les empêchait d’aller plus loins, et il s’était adressé à Asarius. Le regard de Maïna passa d’interrogateur à soucieux. Asarius quant à lui se sentit plus confiant que jamais.

- Vous tous, mange morts qui avez trahis vos semblables, je vous laisse une dernière chance pour revenir à mes côtés, une dernière chance de vivre... Vous allez échouer et vous el savez.... Vous allez mourir...

- Tom, mon chère tom... Ta trop grande confiance en toi te perderas. Si tu prend la peine de te déplacer jusqu’ici c’est que tu sais que tu es en train de perdre!

- Je suis Lord Voldemort... Ne l’oubli pas, Asarius, tu ne voudrais pas qu’il arrive de mal à ceux et...CELLES...que tu aime aime n’est-ce pas?

- Ceci est une affaire entre nous deux, L-O-R-D de rien du tout....

- S’en est assez Asarius, tu as raison! Qu’on en finisse viens m’affronter seul à seul en duel!

La silhouette se retira de la barricade. Maïna se retourna vivement sachant trop bien ce qui allait se passer.

- Asarius, tu ne va quand même pas y aller?

- Oui

- Mais c’est un piège, ils vont te tuer!

Asarius transplanna.

- QUEL TÊTE DE MULE!

Asarius apparut derrière la barricade qu’il avait voulu prendre depuis plusieurs heures. Comme il l’avait prévu il était encerclé de mange morts. Ceux-ci était spéciaux, ils n’avaient pas de baguettes, mais des épées. Le cercle s’ouvrit et laissa entré une haute silhouette drapée de noir.

- Asarius toi qui aime les fins honorables, soit comblé tu va mourir à l’ancienne, par la lame d’une épée!

Asarius esquissa un sourire en coin.

- Tom, tu n,est pas le seul à collectionné les artefacts....

Une grimace fissura le visage neutre de Voldemort.

- TUER LE!

Asarius leva le bras de les aaires et s’écria

- ACCIO EXCELCIORE

De grosses flammes bleus entourèrent sa main et se prolonger de son poing vers l’avant. Lorsque les flammes se dispersèrent Asarius tenait une épée dans sa main. Il l’envoya rapidement vers Tom jedusor qui transparaître Les autres, disons samouraï, se lancèrent vers lui. Il para le coup du premier et décrivit un arc ce qui écarta la garde de son adversaire. Asarius y alla d’un coup de pommeau de son sabre pour le sonner. Il para le coup d’un autre adversaire et tournoya sur lui-même écartant son adversaire, éliminant l’autre toujours sonné du coup de pommeau. Il restait deux autres belligérants. Ils passèrent à l’attaque les deux en même temps. Asarius mit en genoux par terre évitant les lames meurtrières. Il planta la sienne dans le pied d’un adversaire qui hurla. Asarius se releva parant le coup du dernier adversaire valide. Après quelques coup Asarius réussit à percer la garde du mangemort et d’un rapide coup d’épée le tua.

- Asarius Grouge...Le maudit pourfendeur...tu m’a assez nargué.... Je vais finir le travail moi-même ton heure est venue et se n'est pas ta maudite épée magique qui va y changer grand chose!

Maïna resta figé incapable de bouger. Elle était interdite ne sachant pas quoi faire. Elle venait de goûter à l’amour qu’elle voulait depuis si longtemps elle n’allait pas le perdre en quelques heures. Elle reprit de l’aplomb et se leva.

- Quel idiot je ne le crois pas...

Elle se retourna vers les autres mange morts qui écoutaient les bruits de combats au loin.

- Vous n’allez tout de même pas rester là à rien faire? On va la prendre cette barricade oui ou non?

Elle penchan sa tête et vit les ombres du groupe de Fenrisa l’autre bout du couloir.

- FENRIR, ON Y VAS!

Elle était furieuse contre Asarius qu’il n’ait pas plus de respect pour sa propre vie. Elle leva sa baguette et s’élança dans le couloir lançant des sorts de toutes sortes sur le groupes d’adversaires qui prit de cours se jetèrent à plat ventre. Un hurlement se fit entendre et une bête poilu s’élança dans le couloir. Les autres insurgés se laissèrent gagné par la poussé du moment et s’élancèrent à leur tours dans la charge. Leurs adversaires reprirent leurs esprits et répondirent aux sorts ennemis par les leurs. Bien vite plusieurs corps tombèrent sur le sol arrosé par des lumières de toutes sortes. Les deux groupes d’insurgés se rejoignirent devant la grosse porte dorée qu’il contemplait de loin depuis si longtemps. Maïna vit Fenrir bondir dans les aires ,par-dessus la barricade, sur un ennemi. Elle sauta à son tours et déboucha dans un petit vestibule, une deuxième porte se trouvait devant elle, Elle la fit sauter sans plus attendre. Sans se préoccuper de la bataille qui se déroulait derrière elle, Maïna se précipita par le passage qu’elle s’était frayé, suivis de près par Fenrir.

une explosion ébranla la fragile architecture du temple. Asarius sentit la présence réconfortante de Maïna et de Fenrir derrière lui. Maïna vint se placer à sa droite et Fenrir qui avait perdu ses poils à sa gauche.

- Asarius tu as toujours été confus. Toujours entre le bien et le mal...Je t’ai pourtant donné une chance. Mais tu la gaspiller....Maïna ta traîtrise ne m’étonne pas, tu as toujours été attaché à se clochard de Pourfendeur... Mais Fenrir, je te croyais loyal...

- Asarius à su gagner mon respect lui. Il n’a pas ordonné la mise à mort d’un des notre pour s’assurer d’être le plus fort des magiciens du groupe.

- Comme tu voudras Fenrir meurt avec tes amis...

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Fenrir se sentait prêt à affronter celui à qui il avait sacrifié nombres de choses. Lord Voldemort avait perdu son respect lorsqu’il avait ordonné la mise à mort d’Asarius pour une raison futile. Tom Jedusor avait tout simplement peur de voir un autre homme s’élever à sa hauteur. Maintenant il était trop tard. Asarius était à sa hauteur. Il ne savait pas s’il survivrait à cette ultime bataille. Il était simplement heureux d’être avec ses amis en cet instant cruciale.

La seule chose qu’il regrettait était de ne pas avoir donné suite au sentiment qu’il avait éprouvé pour une jeune élève de l’école pour aurore. S’il survivait il jurait de la retrouver qu’advienne que pourras et quel qu’en soit le prix.

Fenrir leva sa baguette.

- Ton règne achève Voldemort!

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Maïna avait le coeur qui débattait. Jamais elle avait été dans une situation aussi cruciale. Bien sûre en temps qu’assassine au compte de Voldemort elle avait du faire face à des situations périlleuse, mais jamais comme celle de faire face au sorcier le plus puissant au monde. Elle avait foie en Asarius et en Fenrir et elle s’abreuvait de leur confiance pour pallier aux doutes dont elle était victime.

Son amour pour le Pourfendeur vivrait après le trépas de Voldemort ou serait à jamais graver en elle après sa mort. Dans n’importe quel cas elle était heureuse. Elle jeta un regard à Asarius puis plus confiante que jamais levas a baguette vers Voldemort.

- L,Ombre que tu répandais sur ton entourage n’est plus, les gens non plus peuur de toi, tu n’est plus rien!

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Asarius se sentait empreint de l’énergie de ses compagnons plus rien ne pouvait les arrêters. Ils allaient gagner. Il avait rêver de se moment de puis un long moment. Après ce que Voldemort lui avait fait subir à lui et à...Misha...

L’objet de sa quête avait donc été principalement la vengeance et pour Misha.... Il l’avait aimé...L’aimait-il encore... Que s’était il passé au juste avec Maïna quelques temps auparavant... Asarius fut profondément troublé. Voldemort le perçut.

- Haahahah oui Asarius.... La raison de ta présence ici...

Maïna regarda Asarisu.

- Asarius?

Elle posa sa main sur lui.

Asarius se retourna et regarda Maïna. Cette femme avait un amour infini pour lui, et lui l’aimait aussi, peut importais ce qu’il avait éprouver autrefois s’était du passé. Il reprit confiance en lui et leva à son tour sa baguette.

- C’est la fin Tom, tu ne sera bientôt plus qu’un suvenir et j’aurai accompli la raison de ma présence ici. Adieu Lord Voldemort

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- Je ne crains rien de toi Asarius. Peut-être à tu oublier la prophétie? C’est entre moi et Harry Potter que se scellera notre destin. Je vais le tuer et plus rien ne m’arrêtera plus jamais! Je n’ai rien à craindre de toi!

- Certes la prophétie dit que se sera vous deux en dernier lieux, certes je ne vais pas te détruire à jamais. ...

Voldemort esquissa un sourir.

- Mais je vais te tuer ici maintenant et laissé le jeune Potter se charger de tes Hoxcruxes et en fin de compte se sera lui contre toi en dernier lieux, tu ne sera tout simplement plus la charnellement pour assister à la destruction de ton dernières Hoxcruxes et par se fait même ta véritable mort!

- Pauvre fous! AVADA KEDAVRA!

- AVADA KEDAVRA!

Les deux sorcier se lancèrent le même sortilège. Les deux rayon se frappèrent en plein milieu et restèrent à mis chemin l’un de l’autre.

- Voyons, Voldy, qui de nous sera le plus fort.

Le rayon de Voldemort semblait prendre le dessus.

- Tu vois Asarius, JE SUIS LE PLUS FORT!

Maïna s’approcha d’Asarius.

- Mais lui n’a pas fait assassiner ses comparses et il a des amis. Tu va maintenant mourir SEUL. AVADA KEDAVRA.

Son rayon se joignit à celui d’Asarius et stoppa l’avancée de celui de Voldemort. Fenrir s’avança lui aussi.

- Adieu Tom Jedusor, alias Voldemort. AVADA KEDAVRA

Son rayon rejoignit les deux autres. Les trois combiné gagnait sur celui de Voldemort.

- NONNN C’EST IMPOSSIBLE...VOUS ALLEZ ME LE PAYER!!!!!

Il fut happé par le rayon mortel alors que les mangemorts insurgés qui avait gagné la bataille contre les forces de Voldemorts entraient dans la pièce. Le sorcier noir s’effondra sur le sol....

Asarius n’en revenait pas....Ils avaient réussi.....Ils avait tué Lord Voldemort....

Quelques heures après la mort du seigneur des ténèbres.....

Asarius se tenait assis sur des escaliers de marbres. Ceux-ci provenait d’un couloir qu’il n’avait que trop vu, et débouchait dans le hall qui avait vu la fin du plus grand sorcier au monde. Le court instant de silence et de doute qui avait suivi la chute du grand sorcier s’était vite vu surclasser par les cris de joies des survivants. Les derniers mangemorts fidèle au Seigneur des ténèbres s’étaient rendus. Le temps n’était pas encore au deuil de ceux qui n’avaient jamais vu le résultat de leurs efforts, comme pour la majorité des soldats durant les guerres qui affligent se monde. Beaucoup d’entre eux avait des vies, hors de leurs activités illégaux, certains avaient même des enfants. Asarius n’osait pas imaginé leur souffrance, il n’en avait pas la force. Ces enfants grandiraient sans l,amour de leur père. Et tout sa pourquoi? Pour assouvir sa vengeance personnelle? Les malheureux étaient tombés au combat car ils croyaient en lui, en une vie meilleur. En réalité il s’était servis d’eux, plus qu’autre chose. Était-il légitime d’éprouvés des remords? Asarius croyait que oui. Mais le passé appartenais au passé. Bien qu,il s’y efforçait Asarius ne parvenait pas à entrapercevoir l’avenir. Qu’allait-il advenir de lui? Il s’était jeté corps et âme dans cette quête qu’il croyait impossible, un peu comme un suicide. Il aurais voulu mourir se soir en emportant Voldemort avec lui. Pourtant il était toujours vivant. Les chose s’étaient embrouillés. Ce qui s’était passé avec Maïna...Comment cela avait-il pu se produire?

Asarius se tenait sur des escaliers de marbres. Réfléchissant profondément à ce qui venait d’arriver cette nuit. L’ambiance était maintenant à la fête et la talentueuse Maïna jouait du folklore avec son violon. Tous dansait et riait sur les airs enrênant qu’elle jouait de coeur et d’âme. Un feux avait été allumé au milieu de la salle et tous pouvait se réchauffer, des provisions avait été transporté et tous pouvait boire et manger. Tout avait une allure de fête. La seul personne qui ne souffrais pas de l’hystérie du moment était Asarius Grouge, assis sur des escaliers de marbres songeant à sa propre existence.

Il observa l’architecture du temple, regardant sans vraiment regarder, les murs , les gravures, les piliers le plafond, le sol. Ses yeux perdus dans la noirceur de ses pensées. Il n’avait guère le choix. S’il écoutais son coeur il dissoudrais les mangemorts et irait vivre paisiblement avec celle qu’il aime. Mais ça lui était proscrit, il serait juger pour ses ces et envoyer à Azkaban. Il devait donc rester à la tête des mange morts et essayer de limiter les dégâts...Ce que cela impliquait était pire encore que la mort. A nouveau il devrait être confronter à ses amis, à l’école pour aurore....Quel était le moindre des deux maux? La prison ou la trahison? Asarisu laissa échapper une longue respiration. Tout aurait été si simple s’il avait été tué cette nuit! À cet instant une clameur s’éleva de la foule dans le hall. Un grand aigle à tête blanche traversa la salle en rasant les têtes. L’animal vint se poser aux côtés d’Asarius qui sortit de ses pensées. Il afficha un sourir pour la première fois depuis des heures.

- Percifera, mon ami!

L’oiseaux mordilla affectueusement les doigts de son maîtres en émettant de faible cris. Asarius plongea la main dans sa poche.

- Voyons voir s’il m’en reste...AH! Petit chanceux va!

Il retira la main de sa poche et lança une souris morte sur le sol. L’aigle trotta et avala la souris dès qu’il le put. Content l’animal revint à son maître. Asarius lui flatta la tête de son indexe.

- Tu as des nouvelles pours moi?

Percifera hocha de la tête et plongea son regard dans celui d’Asarius. Il vit.....Velvet.....Il avait l’ai complètement exténué.....Il vit aussi brièvement l’infirmière. La scène se déplaça......Il voyait désormais une église....S’était un mariage. Il aperçut une vampire....Probablement la professeure qui le remplaçait....Elle vait l’air compétente....Il vit une nouvelle fois Velvet....Mais sous forme d’animagus....Après un vol au dessus des têtes il se trouvait sur un banc de l’église...Il y avait plusieurs élèves....L’une d’elle qu’il ne naissait pas s’intéressa à l’oiseaux...Elle partagea son regard...Asarisu fut surpis de constater qu’une autre personne avait réussis à interagir avec Percifera....La vue se déplaça et il voyait maintenant.......Se n’était pas passible?!? Étais-ce bien elle? Misha se tenait là, aussi sure qu’il était sur d’être une homme....

Asarius ne put plus soutenir la vision et s’éloigna du regard de l’oiseau. Ce dernier s’envola vers la sortis. Asarius confus avait la respiration haletante il avait l‘impression de voir un fantôme. Il l’avait cru morte ou disparue, puis il l’avait oublié après ce qui s’étais passé avec Maïna. Mais voilà qu’elle revenait hanté ses pensées...et son coeur. Asarius plongea son visage dans ses mains.

Des pas retentir sur le marbre de l'escalier et un homme s’assit aux côtés d’Asarius.

- L’atmosphère est à la fête, mais pourtant celui à qui elle est du n’en est pas...Pourquoi?

- Fenrir...Je n’ai rien je suis....Fatigué...C’est tout.

Fenrir donna une tappe dans le dos à Asarius et se mit à rire. Asarius releva la tête ne sachant pour qu’elle raison son ami riait autant.

- Mon chère Asarius, tu n’as jamais su me mentir à moi! Et toutes tes compétences en légimencie ou en occlumencie n’y changeront jamais rien. Depuis el temps que je te connais, Asarius tu ne peu plsu rien me cacher. Maintenant dit moi ce qui ne va pas...

-......Je suis hanté par le passé voilà ce que j’ai.

- Quelqu’un que tu croyais oubliés?

- Comment sais tu cela...?

- C’est mon flaire Asarius, mon flaire!

Asarisu esquissa un sourir à la vue de Fenrir se tapottant le nez.

- Bien sûre, pourquoi n’y ais-je pas pensés tout de suite!

- Asarius dit moi tout...

- Tu te souviens de Misha?

- Oui tu n’arrêtais pas de me casser les oreilles avec elle, à croire que tu ne pouvais pas vivre sans elle!

- Tu comprendras lorsque tu sera amoureux. Elle occupait toute mes pensées et....

- Elle à refait surface et tu crois toujours l’aimé?

- ......Non.......Oui.....Je ne sais pas....Elle ne sais même pas que je suis sortis du coma, Fenrir....

- Tu veux aller la voir c’est sa.....

- Oui, c’est mon intention.....

- Écoute Asarius.... Maïna est ma petite soeur... Je ne l’ai jamais vu aussi heureuse que se soir. Je sais que ton dilemme est important. Mais choisi au plus vite, ne la fait pas attendre en lui donnant de faux espoirs....

Sur ce Fenrir se leva et s’en alla, laissant de nouveau Asarius seul avec lui-même, assis sur des escaliers de marbres....

Quel étrangeté de la vie que els obstacles qu’elle dépose sur notre chemin. Certains auront une vie facile et seront heureux à chaque instant de la vie. D’autres comme Le Pourfendeur ont une vie remplie de chagrin de tristesse et de dilemmes. Pourtant ce sont eu les plus chanceux car ils sont les seuls à véritablement apprécié les quelques moments de pure bonheurs qu’ils ont.

Fenrir ne savait pas pourquoi le sort s’acharnait sur son ami, et sur son coeur. La vie pouvait être une véritable torture quelques fois. Et ce pouvait être encore pire lorsque l’on était seul. Fenrir en savait quelque chose. Il vivait seul depuis si longtemps, les gens le rebutait pour ce qu’il était. Il s’était joins aux seuls gens qui ne voyait pas en lui une bête hideuse et qui l’appréciait pour ce qu’il était.

Il marchait en direction opposé d’ou il avait laissé Asarius après leur discussion. Il n’avait pas été tout a fait honnête avec lui. Il le comprenait mieux qu’il le laissait voir. À cet instant l’aigle d’Asarius vint se poser sur ses épaules.

- Que veut tu mon ami?

L’animal ne bougea pas, ne dit rien. Une odeur familière lui fit réapparaître des souvenirs. Dans les yeux de l’aigle il aperçut la fille, la fille qu’il avait vu à Pré Au Lards, celle qu’il avait transformé. Elle avait disparu le soir même, il avait perdu sa trace. Il vint en lui une émotion de joie mêlé à de la tristesse. Il était heureux de l’avoir retrouvé, mais triste d’être si loin d’elle. Fenrir s’arrêta de marcher. Il regarda autour de lui, les gens qui fêtait, la musique.

Tu comprendras lorsque tu sera amoureux. Elle occupait toute mes pensées et....

Asarius avait raison....Cette jeune femme occupait toute ses pensées....Il le comprenait mieux qu’il l’avait laissé entendre. L’aigle s’envola, laissant Fenrir seul avec ses pensées. Il éprouvait un pincement au coeur de ne pas l’avoir près d’elle. Était-il possible cet amour? Elle était si jeune, et lui si vieux...Une dizaine d’année les séparaient. Il se trouva dégoûtant d’éprouver ses sentiments, mais ne pouvait tout simplement pas vivre sans. Il rebroussa chemin et marcha vers Asarius.

Son ami leva la tête qu’il avait de nouveau plongé dans ses mains.

- Qui a-t-il mon frère?

- Je.....J’étais simplement curieux....Explique moi l’histoire de ton épée...Magique...

Fenrir se senti infiniment malheureux de ne pas être capable d’avouer ses véritables intentions à celui qui le naissaient depuis si longtemps.

- Et bien Fenrir j’ai découvert cette relique d’un ancien magicien lors d’un de mes voyages il y a de cela longtemps, pourtant ce n’est pas ta véritable question, toi qui me connais tant ne crois tu pas que je te connais aussi bien? Qui a-t-il qui te perturbe tant?

- Je sais ce que tu veux dire Asarius...J’ai...Toute mes pensées sont occupés par une fille, je connais l’amour Asarius....

- Que veux tu de moi?

- Ta permission pour partir à sa recherche.

- Qui est-elle?

- Une élève de l’ETA...

- Fenrir, si tu vas la bas seul ils te tueront Ils sont des chasseurs de mages noirs, tu es leur cible!

- Peu m’importe du moment que je la voie une dernière fois!

- Et ce au péril de ta propre vie!?!

-...Oui..Enfin je croyais que tu saurais comprendre ce que je ....

- Je comprends Fenrir, tu es vraiment amoureux, et bien que je tienne à toi, tu dois suivre ton coeur, va Fenrir et trouve celle que tu aime.

- Merci Asarius.

Fenrir mit son capuchon et marcha vers la sortie. Il se sentait en paix avec lui-même, peu importe ce qui lui arrivait il aurait tout de même essayer au lieu de mourir seul et dans la tristesse de ne jamais avoir tanté quoi que se soit pour connaître ne serais-ce qu’une seconde le pure bonheur, celui que tout le monde recherche.[/i]

Quelques heures auparavant.....

Asarius avait les yeux grands ouverts, de ses pupilles dilatées il regardait le corps inerte de celui qui avait inspiré tant de craintes, tant de souffrance et tant de tristesse. Le corps inerte de Tom Jedusor alias Lord Voldemort se tenait à ses pieds. Asarius regarda sa main qui tressautait, l’adrénaline s’estompait petit à petit et son corps évacuait le stress accumulé…Ils avait réussis, ils avaient mis un terme au règne du Seigneur des Ténèbers…Comment avaient-ils réussi là où tant avait échoué avant eux? D’un rapide coup d’œil, il observa Fenrir et Maïna, qui tout comme lui était figé sur place. Le silence avait empli la pièce, et même les nombreux mangemorts derrière eux respectaient une certaine minute de silence…Asarius fut le premier à bouger, il marcha jusqu’au cadavre et posa son index sur le coup de son nemesis, il était bien mort. Il se tourna vers les autres et hocha de la tête. À cet instant l’hystérie s’empara de la foule qui s’esclaffa. Asarius entreprit de faire les poches du sorcier défunt, il mit la main sur une pièce métallique dans une des poches du tyran, il retira ce qui semblait être un médaillon et le mit dans une de ses poches. Il ne découvrit rien d’autre sur le mort et se releva. Lorsque Fenrir lui demanda s’il avait trouvé quelque chose sur Voldemort, Asarius lui répondit que non…


À présent qu’il était seul dans un coin sombre du hall où les autres étaient tous occupés à fêter, Asarius fouilla dans sa poche. Il y retira un médaillon, un cercle d’or incrusté d’une magnifique émeraude. Il le contempla longuement, le retournant dans tous les sens. Il n’y avait aucun doute, s’était bien le médaillon du Sorcier Viking Belezarmoth…

- Alors, Voldemort tu a trouvé ce que tu cherchais….

Asarius se parlait à lui-même dans un murmure audible que de lui-même.

- Mais pourquoi ne l’as-tu pas utilisé? Avec ses supposés pouvoirs, tu aurais pu nous détruire….Que sais-tu que j’ignore encore?

Plus il regardait le bijou plus il avait envie de le mettre au coup. Au fils des minutes ça n’en devint une obsession, il devait le mettre, sinon il en souffrirait, il était si magnifique…Asarius se secoua la tête de gauche à droite.

- Non de Dieux, qu’est-ce qu’il m’arrive….On dirait la même chose que dans ce satané film de science-fiction…Le truc avec l’anneau…Je ne sais plus trop quoi….Et merde voilà que je me parle seul….

À cet instant il ressentit une atroce douleur dans sa main droite. Elle persistait encore et encore devenant de plus en plus douloureuse, les larmes lui venaient aux yeux, il se recroquevilla autour de son membre endolori. Des petits points noirs embrouillaient sa vision, il se savait sur le point de défaillir. Aussi soudainement que la douleur était apparue, elle cessa. Asarius reprit son souffle, il en avait eu la respiration coupée tant il avait souffert. Ça avait été aussi douloureux qu’en endoloris et même presque pire.
Le sorcier découvrit sa main et l’observa, ses veines avaient noirci, sa peau séchée et ridée sur toute la surface de sa main jusqu’au poignet. Asarius n’avait aucune idée de ce qui venait de se produire, et de ce dont il souffrait, mais il avait cru que cette fois il allait y passer. Il aperçut Maïna s’extirper de la foule et s’avancer vers lui. Il fut heureux de pouvoir la revoir, il avait cru ne jamais la revoir…Il s’apercevait de la chance qu’il avait d’être ressortis vivant de toutes ces épreuves, il devait maintenant profiter de la vie. Il revint à lui et se pressa de mettre un gant sur sa main meurtrie. Jusqu’à ce qu’il découvre ce qui clochait chez lui, personne ne devait être au courant….

Maïna vint s’asseoir sur ses genoux et se pencha de façon à avoir la vue sur le visage du Pourfendeur. Elle le regarda quelque temps restant muet comme si elle devinait les multiples questionnements du sorcier qu’elle contemplait. Un sourir fendit alors son visage et elle se releva avant de questionner :

- Où est passé Fenrir? Il est en train de manquer les meilleurs morceaux folkloriques, lui qui aime tant ça!

- Il est parti.

- Parti!? Comment ça partit!?

- Il devait aller retrouver quelqu’un, ou plutôt quelqu’une…Une quelqu’une qui hante son cœur!

- Et toi non!??

- Que veux-tu dire?

- Tu sais très bien Asy de Qui je veux parler….

- Comment sais-tu…Qu’elle hante toujours mes pensées?

- Ne me le demande pas, car je ne saurais te répondre…Toi, comment as-tu su à l’instant précis quand allais-je mourir?

- Je…Je ne sais pas…Tu as bien raison…

-Bien sûre que j’ai raison! Maïna se mit à rire quelque peux avant de reprendre Nous avons quelque chose en spéciale tous les deux…Et je t’aime….Mais toi tu dois faire ce voyage jusqu'à `’école pour aurors et trouver celle qui anime tes pensées pour mettre au clair ce que tu ressens toujours pour elle…

- Mais…

- Mais si tu l’aimes toujours? Que veux-tu que j’y fasse…La vie en aura décidé ainsi…

Maïna posa une main douce sur l’épaule d’Asarius.

- Vas mon sorcier préféré…Je crois bien pouvoirs ramener seule ce tas de mangemorts à la maison bien qu’il soit saoul pour l’instant…

Après un sourire dont Asarius ne put déterminer la sincérité, elle tourna les talons et partis vers la foule en fête avec son léger et sensuel balancement de hanche qui la caractérisait.

Asarius tâta le médaillon dans sa poche, regarda sa main gantée, pensa à Maïna et à Misha…

- Je crois que je ne profiterai pas d’une vie simple et tranquille de si tôt…

Le mage soupira et s’en alla vers la sortie, où il se transforma en loup gris. Il perçut l’odeur de Fenrir et la suivi jusqu'à la sortie du temple, après avoir regardé les alentours il s’élança dans le blizzard nordique à la suite des traces du loup-garou qui s’effaçait déjà dans la toundra glacée, balayée par les vents sadiques du Nord….