Chambre de Sarko

Après sa petite escapade avec le dragon, Sarko parcourus le hall du dortoir. Il marchait sans faire de bruit pour éviter de réveiller quelqu'un. Malgré que Karen l'ait averti du fait que la majorité des aurors étaient absent, Sarko ne voulait pas faire de grabuge. Du moins, pas trop. Sarko portas attention aux bruits émmanant des chambres occupées et choisis une chambre ou il n'y avait probablement personne. Sarko tentas d'ouvrir la porte, mais elle était verrouillée.

"Nox, Alohomora"

Aucune réaction. Sarko reculas d'un pas.

"Alohomora"

La porte refusait encore de s'ouvrir. Sarko parourus le hall du regard, cherchant un quelquonque interrupteur. À défaut d'interrupteur, Sarko arrêtas son regard sur la fenêtre au bout du corridor. Il marchas jusqu'à la fenêtre et l'ouvrit. La lumière de la lune était cachée par les nuages.

*C'est bien ma vaine...*

"Lumos"

Sarko grimpas sur le rebord de la fenêtre et se retournas. il comptas les portes entre la fenêtre et la chambre qu'il avait choisit. Quatres. Sarko fit face au vide de la fenêtre et mit sa baguette entre ses dents. Il regardas les alentours et epéras quelques pierres qui ressortaient un peu. sarko fronças les sourcil et s'aggripas au rebord supérieur de la fenêtre, Il se déplaças à l'extremité et se balanças.

*Héhéhé... Je savais bien qu'il y avait un test!*

Sarko regardas en bas un instant.

*Et risqué en plus, décidémment j'adore cette endroit... Si seulement tout ne se faisait pas dans la noirceur totale...*

Sarko s'étiras et atteint une seconde pierre. Il s'y accrochas et continuas son manège. Encore une pierre, puis une autre. Sarko eut bientôt fait le tour du coin et se retrouvais maintenant en vue des fenêtres des chambres. Sarko aggrippas laa pierre la plus proche. Soudainnement sa main glissas. Sarko se dépêchas de reprendre appuis sur lsla pierre précédante ou il avait gardé sa deuxième main.

*Merde...*

Sarko prit sa baguette dans sa main droite et l,approchas de la pierre. Il constatas que pour une raison ou pour une autre, elle était recouverte de lichens.

"Incendio!"

La puissante flamme jaillit de la baguette de Sarko et les lichens brulèrent en quelques secondes. Sarko remit sa baguette dans sa bouche et serras les dents. Il aggripas la pierre et s'approchas des fenêtres. Plus que trois pierres... plus que deux... une dernière... Sarko se balanças et s'aggripas à la rembarde de la fenêtre.

*D'accord, de une, maintenant direction la cinquième...*

Sarko se hissas sur la rembarde de la fenêtre et se balanças pour arriver sur la seconde. Il jetas un dernier regard en bas pour essayer de sonder les profondeurs qui s'étallaient sous lui, mais les ténèbres engloutissaient tout. Sarko avalas sa salive et se balanças jusqu'à la prochaine fenêtre.

*Bon, sa fait trois....*

Sarko se hissas une fois de plus et atteint la quatrième fenêtre. Il se préparas pour le grand saut et atterit sur la rembarde de la cinquième fenêtre. Sarko faillit perde l'équilibre à cause de se dernier saut et dû s'aggriper fortement à la rembarde supérieur pour ne pas tomber dans le vide. Sarko se hissas et prit pieds sur la rembarde inférieure de la fenêtre. Il prit sa baguette dans sa main gauche et tentas d'ouvrir la fenêtre de sa main droite. Elle était verrouillée. Sarko soupiras profondément et baissas la tête.

*C'est pas vrai!*

"Alohomora"

Cette fois le sortilège fonctionnas et un petit "clic" se fit entendre. Sarko poussas la fenêtre vers l'intérrieur avec ses pieds et entras en sautant.