derniers mots

Jérémie potassaient ses cours de potions en particulier la potion de Philtre de Paix.
Hein?!
Mais je suis idiot pourquoi j'ai mis des feuilles de chanvre?
Grrh...
Ses pensées furent interrompus mais un "Tactac" à une vitre de la salle commune.
C'était un hibou, celui de sa mère : Saborh.
Tient maman m'écrit, il sourit.
Il ouvrit la fenêtre, le hibou lui sauta pratiquement dessus. Jérémie prit le hibou et détacha le petit ruban rouge qui tenait la lettre. Il la prit et remercia le volatile qui repartit.
C'était une fin d'après-midi nuageuse.
C'est beau...
Jérémie apprécié particulièrement ce genre de temps. Il décacheta la lettre et lu :

Citation :

Cher Jérémie,
J'espère que tu vas bien et que la formation te plaîs, tu me raconteras ça quand on se vera, d'accord? Moi je vais bien et ta soeur aussi, elle m'a dit que son groupe de rock marchait bien et qu'il allait faire la première partie des Bizarr' Sisters. Je suis contente que tu aies choisis de faire ça, ton père, tes soeurs et ton frère seraient fière de toi...
Voilà, je t'écris pour te demandée si tu voudrais bien venir me voir la semaine prochaine, ça me ferai plaisir, en ce moment je me sens seule, ta soeur est partit et moi je m'ennuie.
Enfin ne tout fais pas de soucis.
Aurevoir mon chéri,.
Je t'embrasse très fort.

Euh...la semaine prochaine?...euh...oui ça devrait pouvoir se faire, j'irai samedi.
Sur ce, il s'attela à écrire une lettre de réponse pour sa mère.

Citation :

Salut Maman, je suis content que tu m'aie écris, je comptais justement le faire. Je pense venir samedi de la semaine prochaine si ça te convient. Ma formation d'Aurore se passe plutôt bien mais je ne peux pas t'en parler, je suis tenu au secret, j'aimerai tellement t'en parlé. Bon sinon j'espère que soeurette va passée dans le coin se serai sympa, je suis heureux pour elle...et je pense que papa, Loki, Mélanie et Valentine sont, là où ils sont, heureux pour nous. Sur cela je te souhaites une joyeuse Pâques (en retard) avec tout mes voeux.
A samedi, gros bisous.

Il se dirigea vers la porte de la salle commune pour allait à la volière mais il se souvînt d'un détail : il était pieds-nus, il partit donc dans sa chambre pour allait cherché une paire de baskets. Il redescendit, cette fois avec ses chaussures, passa la porte et réveilla par la même occasion le dragon qui lui fit une remarque sur un ton nonchalent :
-C'est l'heure de la sieste! non mais oh!
-Avec toi le grincheux c'est tout le temps la sieste, allait rendors-toi, répondit Jérémie guère étonné par la réaction du dragon et il partit vers la volière.
L'endroit était comme toujours encrassé par les fientes et les plumes des hiboux. Il chercha "Pigeon", son hibou, comme il l'appelé et au bout de 2 minutes il le trouva en train de batifoler avec une hibou, enfin il espérait...
C'est le printemps, le temps des amours. Se pourrait-il que Pigeon soit homosexuel? Après tout, il fait ce qu'il veut. Il s'est trouvé un ou une compagne, il faudrait que je me trouves une copine moi aussi...
Il attacha la lettre à la patte de Pigeon et sortit dehors avec lui et le lâcha puis il repartit en direction du château.

Citation :

-Mais arrête qu'est-ce que tu fais Jérémie?
-Arrête de bougeais j'arrive pas à te couper les cheveux!
-...
-C'est bon j'ai finis, regardes.
-Ahhhhh! Mais c'est affreux!
-Eh oh! Dis pas ça c'est de l'art, ha ha ha!
-J'vais te tué Jérémie, grrh!
-Ha ha ha!

...
Jérémie se fit réveillé par des coups de bec contre la vitre.
Maman!
Il regarda par la fenêtre de sa chambre mais put aperçevoir que ce n'était par Saborh ni Pigeon, c'était un hibou tout propre et bien "coiffé" comparé aux hiboux qu'il connaissait.
Il ouvrit la fenêtre et remarqua que le hibou porté une bague à la patte droite, c'était l'insigne du ministère.
Malgré le désordre intérieur qui règne ils essayent de gardés un semblant de dignité, pensa t-il.
Il prit la lettre que lui tendait l'animal et la décacheta et lu

Citation :

Cher Monsieur Balder,
J'ai le regret et le malheur de vous annoncez que votre mère est morte. Elle s'est fait tuée lors d'une attaque massive de mangemorts dans le centre ville de Paris, elle allait rentrée de son domicile.
Nous avons prévenue votre soeur qui elle ,rassurez-vous, va très bien.
Nous avons crus bon de vous renvoyez la lettre que vous lui avez envoyé, nous sommes allés à son domicile pour savoir si elle était impliquée dans une organisation anti-mangemorts. Nous en avons déduis que c'était un attentat. Désolé de vous annoncés une si mauvaise nouvelle.
Mes regrets les plus sincères et mes sentiments les plus distingués.
P.S.: veuillez vous présentez au ministère le samedi 6 mai pour la reconaissance du corps qui ne me semble guère indispensable mais où un notaire procédera à la lecture du testament. Votre soeur y sera, nous a t-elle assurée, bien présente.
Gawain Robards, directeur du bureau des Aurores.

Jérémie resta scotché, il laissa tombé la lettre, heuresement que le fauteuil du burea était là sinon il se serait étalé comme une crêpe sur le sol.
Non...pourquoi...pourquoi...
-POURQUOI!!!!!!
Son corps s'affaissa et il s'étendit sur le sol en pleurant.
-Pourquoi maintenant?! BORDEL!!! hurla t-il, non...c'est pas possible, pas tout de suite...
-Et pourtant si tout cela est vrai Jérémie.
Jérémie connaissé cette voix...cette voix...c'était celle de...de sa mère.
-Hein...Ma...maman?!
-Oui.
-Comment est-ce possible? J'hallucine?
-Je suis venue te voir,...enfin je dirais plutôt que mon âme est venue te voir, je dois me dépêchée, je n'ai pas beaucoup, elle va bientôt arrivée.
-Qui va bientôt arrivé? Reste maman, reste avec moi, je t'en prie...
-...
-Maman!...
-Tu ne devines pas?
-Non.
-La mort va nenir me cherchée définitivement. Elle m'a ratée la dernière fois enfin n'a pas finit son travail...
-Maman... murmura t-il.
-Désolé mon fils, je ne peux pas faire autrement, c'est trop tard.
-Il n'est jamais trop tard maman.
-Si..cette fois-ci il est trop tard...elle arrive, je l'entend maintenant...
-NON!!! Je te ne laisserai pas repartir!
-C'est impossible
-rien n'est impossible maman.
-Si, Aurevoir mon chérie, je t'aime et je t'aimerai pour toujours...
-Maman?... dit-il apeuré, maman?...maman, tu es déjà partis? Dis maman, pourquoi es-tu partis maintenant?
Et il s'écroula en larmes sur le sol, il ne savait pas si il allait pouvoir se relevé.

samedi 6 mai.

Citation :

-Maman, c'est toi?...Non ne t'éloigne pas...

Il se réveilla en sursaut. Le soleil pointé déjà quelques timides rayons.
Il regarda son réveil : 6h05.
Ca y est... pensa t-il.
C'est le "grand" jour.
Il sortit de son lit, alla prendre une douche, changea de caleçon et s'habilla, il ne prit que des vêtements noirs : un tee-shirt noir, un pantalon noir et un par-dessus noir lui aussi.
Il prit sa baguette et descendit dans la grande salle pour petit déjeuner mais il n'avait pas très fin, il ne mangea que deux-trois cuillères de porridge et un verre de jus de citrouille puis il remonta pour se laver la figure et les dents.
Il redescendit les marches pour se diriger vers le bureau de Velvet qui dormait encore sûrement, et déposa un mot sur la porte.

Citation :

Bonjour Velvet, je ne serai pas là aujourd'hui je dois aller à Londres pour voir ma soeur et pour organiser l'enterrement de ma mère, encore désolé.
Jérémie.

Il reprit les escaliers pour se diriger vers la grande porte, et sortit.
Il savait que Velvet avait placer des ports-au-loin destinés aux élèves.
Il se dirigea donc vers l'un d'eux, celui-là était une chaussure de militaire moisie. Il vérifia bien qu'il n'avait rien oublié et posa sa main sur la chaussure déconfite.
Il tourna, tourna de plus en plus vite sans jamais s'arrêtait avant de se retrouver dans la cour du Chaudron Baveur.
Il entra dans le bar et sortit directement.
La ville était agitée en ce samedi 6 mai.
Il marcha, il marcha jusqu'à trouvé un arrête de bus pour se rendre au ministère de la magie.
Il attendit quelques minutes le bus, quand celui-ci arriva il monta à l'arrière du bus car il n'avait pas d'argent.
Il s'assit à la place en face juste devant la porte de devant. Le conducteur ne remarqua rien. Il réfléchissait au présent, au futur et au passé. Le passé, il n'arrivait pas à s'en défaire, qui y arrive de toute façon?
Tiens, on est arrivé.
Il descendit du bus et se retrouva en face d'une cabine téléphonique apparemment cassée. Il entra dans celle-ci et prit le combinet du téléphone et fit un numéro.
-Bienvenue au ministère de la magie, si vous désirez vous rendre au département des jeux et sports magiques, tapé 1; au département des accidents et catastrophes magiques, tapé 2.
Jérémie tappa sur la touche 2 sur combinet. Tout d'un coup l'ascenseur ce mit à descendre à une vitesse incroyable, Jérémie, à cause de la vitesse, trébucha et se coupa le doigt avec un bout de verre resté dans la cabine.
Une goutte de sang perla.
Une goutte de sang pour sa mère.
Une goutte de sang pour les morts et les vivants.
Il fixa cette goutte tout le long de la descente, comme hypnotisé par elle.
Ce sang c'est celui de ma mère, et celui de mon père
Au bout de cinq minutes l'ascenseur se stoppa.
-Nouzz'...krrrrr... zous souhaitons une agréable visite, dit une voix de femme.
Décidement le ministère n'est plus qu'une ruine, pensa Jérémie avec en tête le "agréable visite" qui rendait cette visite, justement, encore moins bienvenue.


[hrp]: excusez-moi pour le double poste mais ce que après personne lit le rp j'ai l'impression, excusez-moi aussi parce queje ne suis pas allais dans "de part le monde" mais je pensais que ça couperai le rp de mettre le réveil et le petit déjeuner dans Poudlard et mettre l'autre partie du rp dans "de part le monde".[hrp]

La porte de la cabine s'ouvrit et dégagea une sorte de fumée noirâtre qui ressemblait à de la crasse.
Il s'avança dans la salle principale du ministère, là se trouvait Laura, sa soeur.
Elle ne l'avait pas vu, il s'avança vers elle, elle avait le dos tourné.
Il mit ses mains devant ses yeux comme pour un jeu bien que l'heure ne soit pas à l'amusement.
-Salut, dit-il.
-Jérémie?
-Oui.
Elle se retourna, les larmes aux yeux mais souriante. Jérémie la prit dans ses bras.
Il sentait les larmes de sa soeur coulaient sur son manteau, il les sentait qui trempaient son manteau.
-Je t'aime, dit-il dans un murmure.
Elle leva la tête pour plongée ses yeux gris-bleus dans les siens.
Elle sourit puis l'embrassa sur la joue.
Ils furent interrompus par l'arrivée d'un homme qui se présenta à eux comme Gawain Robards, le directeur du bureau des Aurors. Jérémie le connaissait pour avoir était le voir pour intègrer Poudlard en temps qu'apprenti auror.
-Bonjour Jérémie, bonjour mademoiselle Balder, dit-il.
-Bonjour, dirent les deux interréssés.
-J'aurai préféré vous voir dans un autre situation malheureusement, le notaire ne devrait pas tardé à arrivé, il s'agit de madame Ginny Weasley.
Plusieurs minutes s'écoulèrent quand au bout d'un moment la porte de la cabine s'ouvre et laisse passé une personne, tout le monde présent dans la salle se retourna à son passage avec quelques bonjours par-ci par-là. La plupart des gens savaient qu'il s'agissait de la soeur de l'ami de Harry Potter mais ce que Jérémie remarqua c'est sa chevelure rousse, elle avait les cheveux rouge comme un renard, elle habillait d'une robe de sorcière très belle, elle aussi était belle, elle devait avoir moins de quarante ans.
-Tiens, la voilà, dit monsieur Robards.
-Bonjour, veuillez me suivre, dit-elle.
Les trois personnages ne dirent mots pendant tout le trajet. Ils passèrent d'abord par un couloir qui indiquait "département de la justice magique", puis par un escalier, ils montèrent plusieurs étages* avant que Jérémie aperçoive des rayons de lumières. Après quelques mètres, il pu voir plusieurs fenêtres alignées avec la lumière du jour qui filtrait par celles-ci.
Il faisait encore jour.
Ils passèrent assez près pour que Jérémie aperçoive en contrebas des tas de moldus ainsi que la cabine téléphonique usagée où il était entré.
Tiens, je croyais que le ministère était seulement installé dans le sous-sol.
Il observa le long couloir où se trouvaient des dizaines de fenêtres. L'endroit était richement décoré : il y avait du velours rouge bordeaux sur les murs et du carrelage blanc.
Au bout de quelques longues minutes, le notaire s'arrêta devant une porte avec un écriteau où était marqué "affaires diverses et variées".
-Veuillez entrer je vous pris, dit-il madame Weasley.
Tout le monde pris place sur les sièges. Tout était propre ici, le ministère essayait-il de garder un semblant d'ordre ?
-Bien, mes sincères condoléances pour ce qui vous arrives Jérémie et Laura, feu-votre mère ma chargée de vous remettre son testament, préférez-vous que madame Weasley le lise ou voulez-vous le lire seuls, tout les deux ? demanda Robards.
-Je tiens à vous prévenir que serais obligé de lire le testament monsieur et mademoiselle Balder, n'y voyais vous aucun inconvénient ? dit madame Weasley.
-Non, aucun, dirent Jérémie et Laura d'une même voix.
-Bon, alors je peux commencée, dit le notaire, elle décacheta la lettre et lu :

Citation :

Mes chers enfants,
Je suis désolée, désolée de n'avoir pu être à vos côtés jusqu'au bout, désolée de devoir vous laissez, vous mes enfants qui n'avez plus personne sur qui conter, à présent, à part vous.
Désolé de devoir vous laissez à jamais, car ma mort je l'ai organisée, j'ai tout fait pour que le Seigneur des Ténébres veuille de moi, puis je l'ai quittée, j'ai dénoncée plusieurs autres mangemorts, puis c'est comme ça qu'un beau jour Voldemort me tuera.
Désolé Jérémie et Laura d'être aussi égoïste et imbue de moi-même mais je ne pouvais plus... je ne pouvais plus vivre avec ce douleureux passé, je me sens responsable de tout ce qui s'est passé. Un jour, vous serez réellement ce qui est arrivé mais seulement un jour.
Cette lettre ressemble plus à une lettre de suicide qu'à une lettre testamentaire et même si je ne suis pas encore morte cela arrivera bientôt.
Rien n'excuse mon geste, rien plus rien, jamais rien ne l'excusera.
Je ne vous oublierai jamais, je veillerai sur vous là d'où je serai, je me rappelerai toujours ce que vous avez fais pour moi.
Je vous aimes.
Je vous aimes Jérémie et Laura.

Dès la fin de la lecture Jérémie resta bouche-bée, c'est seulement quelques secondes après qu'il entendit des sanglots, ceux de sa soeur.
Il la regarda et l'embrassa sur la joue. Laura le regarda, un petit sourire triste sur le coin des lèvres, un petit sourire extrêmement triste, les larmes aux yeux. Ne sachant quoi faire Jérémie lui prit la main, il la serra très fort et lui dit au creu de l'oreille sans que personne d'autre qu'eux deux entende :
-Nous resterons ensemble pour toujours, je ne t'abandonnerai plus jamais.
-Voulez-vous rester seuls un moment ? intervint le notaire.
-Non, ça ira.


[hrp]: excusez-moi pour le double poste mais ce que après personne lit le rp j'ai l'impression, excusez-moi aussi parce queje ne suis pas allais dans "de part le monde" mais je pensais que ça couperai le rp de mettre le réveil et le petit déjeuner dans Poudlard et mettre l'autre partie du rp dans "de part le monde".
*: le ministère est placé sous Londres mais j'ai imaginé qu'il y avait un bâtiment désaffecté à côté de la cabine téléphonique docn c'est pour cela qu'ils vont se retrouvaient en dans ce bâtiment avec une vue sur Londres, c'est donc une pure invention de ma part.[hrp]