Mission 4 : La Dernière Bataille

Grynfwald se trouvait dans la grande salle. Le plafond magique était sombre. Une furieuse tempête s’y déroulait. Il sourit.

Il trônait à une table. Un siège vide à sa gauche. Celui de la jolie infirmière. Il était encore fatigué et ne pouvait être trop mobile. C’était elle qui se chargeait de prévenir les élèves. Il repoussa de la main une liasse de papiers. Sur l’élégant bureau baroque, l’étendard des Ténèbres servait de nappe.

Il avait rédigé un joli tract. Il avait été placardé un peu partout dans la belle Angleterre et un peu ailleurs. La Section Française de l’Ordre du Phénix les avait assuré de l’arrivée d’environ deux cents volontaires. Il relut la feuille de papier imprimé.


Toute créature, homme, femme, repris de justice, gobelin, centaure… ardent défenseur de la patrie et désirant combattre contre le seigneur des Ténèbres doit se rendre au château de Poudlard à partir du 16 octobre. Elle recevra du matériel militaire, un entraînement intensif et des instructions en vue d’une prochaine bataille contre l’Armée Noire.

Karen Spensson & Grynfwald of Highlands, membres de L’Escadre Tactique Aurore.

Post-Scriptum : Avoir combattu avec les forces du Ministère pourra être considérée comme une forte circonstance atténuante devant un tribunal.

Karen entra. Elle s’approcha et déclara :

“ Le Zauberkanzler vient de me confirmer l’arrivée de ses troupes. ”

Une bonne nouvelle de plus. On va probablement écraser ces crétins de Mangemorts. Un hibou traversa la fenêtre et se posa sur son bureau. C’était un magnifique grand-duc. Une plume noire était accrochée à son cou. Grynfwald dénoua le message attaché à sa patte.

“ Parfait. Le clan MacTakshloch se joint à nous. ”

S'étant réveillé très tô d'une première nuit sans histoire dans le quartier général des aurors, Sarko avait entreprit de faire le tour du château. Il avait visité les 3 étages supérieurs au complet et en avait fouillé les moindres recoin en quête de quelquechose de moindrement intéressant, mais en vain. Après s'être encore une fois aliéner les escaliers, Sarko s'amusas à descendre jusqu'au rez-de-chaussé à force de sauts et de périlleuse manoeuvres.

arrivé dans le hall d'entrée, Sarko fixas la porte en chêne massif en s'en approchant. Il cognas un peu sur la porte fermée, puis frappas à nouveau en collant son oreille.

*Faire se château à vraiment dû couter cher...*

Sarko continuas à écouter la résonnance des pilliers et mur aux alentours, faute de quoique se soit de mieux à faire. Vint le tour de la porte de la grande salle, avant de frapper à la porte, il écoutas et entendis les cris d'un hibou. Pour sûr il y avait des gens de l'autre côté, et des gens signifiaent quelquechose à faire. Sarko ouvrit prestement la porte et entras dans la grande salle. Il fut tout de suite frappé d'étonnement par la tempête.

"Ouah il n'y à même pas de plafond dans cette salle! décidément ceux qui ont construit se château était bizzares..."

La surprise du plafond orageux terminé, Sarko apperçus Karen et Grynfwlad.

*Surement un des autres aurores dont elle à parlée.*

Sarko traversas la salle rapidement et acottas se coudes sur la tables en fixant grynfwlad dans les yeux.

"Alors comment sa vas ici?" se contentas de dire Sarko, affichant un sourire amical. "des trucs important qui se passent?" ajoutas Sarko en désignant de l'index gauche toute la paperasse.

Catarina était tourmenté. Les choses allaient de plus en plus mal dans le monde magique et voilà que les aurors étaient investi de la plus grande mission jamais vu dans l’histoire de la magie moderne. Dans le hall se trouvaient déjà Karen et Grynfwald qui prenaient leurs responsabilités et qui tentait d’organiser cette rude bataille à venir. Catarina, elle, faisait les cents pas dans sa chambre de mordant la lèvre inférieur. Jamais elle avait cru qu’en se portant dans le groupe d’aurors elle finirait dans une guerre magique, car voilà e qui ce préparait, ni plus ni moins qu’une guerre! Le rôle de policère lui pliasait, mais elle n’était pas certaine de vouloir jouer au soldat…Elle retourna sur son chemin encore une fois et marcha vers le mur opposé, une fois arrivé elle fit demi-tour et marcha de nouveau jusqu’au mur opposé et ainsi de suite.

Elle soupira et fit apparaître dans sa tête l’image de Klaus.

- Je rois que notre mariage n’est pas pour demain…

Une larme coula sur sa joue. Elle avait prit sa décision cette guerre qui se profilait risquait de détruire ce à quoi elle tenait le plus en se monde et elle ne voulait pas qu’une chose pareil arrive. Elle accomplirait donc son devoir et servirait sa patrie au mieux de ce qu’elle pouvait. Après un profond respire elle marcha vers son armoire e en sortis un ensemble de vêtement noir et moulant qui lui permettait de faire des acrobaties sans interférences et qui bien que léger ils étaient très résistants et n’émettait que peux de son lors du frottement. Un tissu magique assez rare qui lui avait coûté ses économies, mais qui lui rendait un fier service en mission et qui lui donnait un look sexy. Le meilleur des deux monde quoi…

Elle paqueta l’essentiels dans un sac a dos, elle y avait mit tous le nécessaire pour affronter n’importequel climat ou mission, du moins au mieux de ses aptitudes. Catarina n’était toujours pas sure qu’elle avait prise la bonne décision mais son cœur lui suggérait que oui. Elle s’imagina encore Klaus et faillit de nouveau verser des larmes. Elle murmura entre deux respirations saccadées


- Je t’aime peu importe ce qui nous arrivera…

Il n’était certes pas encore au courant de sa décision et il serait peut-être même contrarié par elle, mais Catarina croyait faire la bonne chose en prenant part au conflit et en faisant de son mieux pour que le monde reste droit et juste!

Elle descendit au hall sans se précipiter et arriva face à la table de travail de Karen et Gryn. Un jeune homme se tenait là apparemment arrivé depuis peu comme élève, mais elle ne l’avait pas vu. Il choisissait bien son temps lui pour s’engager dans l’école pour auror. Il n’avait subi aucune formation et le voilà qui allait être précipiter dans la bataille…Le pauvre.. Elle s’avança et l’entendit parler :


-Alors comment sa vas ici?" des trucs important qui se passent?

Avant que grynfwald puisse répondre Catarina posa une main chaleureuse sur l’épaule du jeune homme et lui dit :

- En gros tu arrive à temps pour être envoyer dans une bataille qui nous dépasse tous. Et bien que tu es l’air de bien prendre la chose sache que ce que tu va affronter dépasse ton entendement. Mais je suis toujours vivante et j’ai affronter ces choses, c’est signe qu’il y as toujours de l’espoir, même si il semble n’y en avoir aucuns. C’est pour cela que je venais prendre mes ordres de Grynfwald. Je m’appel Catarina, je suis une auror de l’ETA et toi qui es tu?

Deux élèves s’approchaient. L’un d’eux était nouveau. L’autre était la copine de…Klaus. Avant qu’il ait eut le temps d’ouvrir la bouche, elle répondit à la question du plus jeune.

“ En gros tu arrives à temps pour être envoyé dans une bataille qui nous dépasse tous. Et bien que tu aies l’air de bien prendre la chose, sache que ce que tu vas affronter dépasse ton entendement. Mais je suis toujours vivante et j’ai affronté ces choses, c’est signe qu’il y a
toujours de l’espoir, même si il semble n’y en avoir aucun. C’est pour cela que je venais prendre mes ordres de Grynfwald. Je m’appelle Catarina, je suis une auror de l’ETA et toi qui es tu ? ”

Elle avait raison. Sans laisser le temps au petit jeunot de répondre, il déclara :

“ Elle dit vrai. Cette mission sera sans doute sans retour pour la plupart d’entre nous. Cependant, vu nos maigres effectifs, je compte vous utiliser pour des tâches de coordination où l’on a besoin de sorciers aguerris et motivés. Tous les talents seront utilisés. Par exemple, Klaus et sa connaissance de la langue allemande nous sera un précieux auxiliaire pour la transmission d’ordres, d’appels au secours et les communications entre différents groupes de nationalités différentes. Je veux tout savoir sur vous. Ne me cachez rien. C’est d’une importance vitale pour le pays. Ne me cachez pas non plus vos faiblesses. Cela s’adresse à vous aussi, Miss Spensson. Sainte-Mangouste nous envoie une troupe de guérisseurs et je pense que vos capacités dépassent celles d’une simple infirmière. ”

Il s’arrêta pour respirer. Il était encore faible.

“ La bataille se passera à Pubil, sur le Lyon, près Cashlie, non loin de l’Argyll et Bute, Sud-Est de l’Ecosse. Vous subirez un entraînement de plusieurs jours. L’attaque se produira de nuit, pendant la pleine lune, afin qu’ils puisent utiliser leurs loup-garous. Je suis persuadé qu’ils n’attaqueront pas avant. Cela nous permettra d’utiliser les dons remarquables de Miss Ahlrune. Afin d’éviter les confusions et les combats fratricides, on peu vous demander un mot de passe. C’est Libertad. L’endroit étant soumis à un sortilège anti-transplannage, vous serez équipés d’un mini-portoloin, préparé à l’avance. Un vrai vous laisserez sur place, la zone d’atterrissage étant située trop près du point de départ. Vous ne l’utiliserez qu’en cas de blessure ou de repli général. Les hommes seront sous votre contrôle et doivent obéir aux ordres que vous leur donnerez. Cependant, que ce pouvoir ne vous monte pas trop à la tête. Nous sommes jeunes et s’ils se débrouillent très bien tous seuls, laissez les tranquilles. ”

Klaus s'était glissé dans un coin et écoutait attentivement les directives et la description de la mission sans manquer de détailler des yeux Catarina qui était encore plus sublime qu'à son habitude.

A la fin du discours de Grynfwald il s'approcha et posa les mains sur de la taille de Cat. Son expression habituellement souriante et son humeur toujours prête à la déconnade avait laissé place à un visage marqué, sérieux, concentré qui lui donnait facilement cinq ans de plus.

-Va pour ma mission. Je m'en crois capable. Je demande à être muni d'armes moldues en plus d'arme magique, la guerre a souvent était de leur ressort et ils ont su faire d'intelligents instruments, de plus si jamais nos baguettes viennent à être brisées cela nous fera un second recours.
Pour ce qui est de l'allemand je n'y ai aucune opposition, si jamais vous avez besoin d'un traducteur en estonien, je serais présent.
Pour ce qui est de choses cachées... cela n'a regardé, ne regarde et ne regardera toujours que moi.

Il toisa du regard Grynfwald durant quelques minutes puis fit pivoter Catarina pour lui faire face. Il inspira calmement puis son regard alla de Cat à Gryn avant qu'il ne prononce d'une voix plus grave qu'à son habitude:

-Je refuse de me battre si Catarina prend part à ce combat. Je sais que nous sommes peu nombreux mais il est hors de question qu'elle se batte. Soyons honnête elle se débrouille bien, c'est une bonne aurore, mais elle n'a ni les capacités physiques ni les capacités mentales pour ce combat. L'emmener serait une perte de temps, je ne veux pas d'elle sur le champ de bataille. L'y savoir ne ferait que m'handicaper et personne ne souhaiterait d'un chef perturbé.

Klaus retira ses mains du corps de son aimé, sachant pertinemment qu'il venait de s'attirer ses foudres, il ne montra toutefois aucune émotion. Et d'une voix neutre il finit:

-C'est mon unique condition. Si vous y accèdez je serai votre homme, et je serai prêt à mourrir pour votre cause.


[hrp: bien sûr ce n'est en rien une tentative pour écarter Cat du rp, c'est uniquement à son joueur de décider de ce qu'il fera, pour ma part je m'efforce juste de jouer mon Klaus au mieux.]

"Mon nom est Sarko, heureux de vous connaître."

Sarko écoutas le discours de Grynfwald mais soupiras quand celui-ci parlas de sorcier aguerris et motivés. Il était motivé mais loin d'être aguerris. De plus, Sarko avait déjà eut une mauvaise expérience de se genre. Plus jeune, il avait participé à la chasse à l,homme d'un meurtirier qui s'était enfuis par bâteau de leur son village natal. Quand l'on avait retrouvé la petite île ou il s'était caché, Sarko et ses trois meilleurs amis avait été laissé derrière. "Garder le navire est une tâche réservé aux sorciers les plus courageux et motivés!" avait dit l'homme responsable de la capture du mécréant. Sarko avait accepté sur le coup mais c'était rendu compte presque qu'immédiatement après que l'homme c'était bien fichu d'eux en fabriquant cette excuse rapide. Sarko hochas négativement de la tête.

*Pas question qu'on m'écarte de l'action cette fois*

"Vous voulez connaître mes compétences? prennez une plume et du papier. Premièrement, malgré se que vous avez tous l,air de penser, je ne suis pas si mauvais en situation de combat. Si vous voulez une référence, J'ait détruit plus d'inferiis que n'importe lequel d'entre vous pendant votre mission à pré-au-lard. démo. "

Sarko sortit sa baguette et sourit.

"Accio" soufflas-t-il

Des buches du foyer de la grande salle volère jusqu'ici Et Sarko gratifias les aurores d'un respeectables incendio qui consommas rapidement les bûches.

"C'est sûr que je ne connais pas les sortilèges interdits dont se serves les mangemorts, mais j'ait d'autres ressources. Vous ne trouverez jamais un infiltrateur aussi suicidaire que moi"

Sarko faisait référence à ses premières péripéties dans le château, bien qu'il se doutas que les autres ne savaient pas dutout de quoi il était en train de parler. Pendant qu'il parlait, un autre aurore c'était approché. Sarko s'arrêtas pour examiner le nouveau venu et celui-ci se révélas rapidement être un aurore puisqu'il semblait connaître les détils de l'opération.

*Parlant d'arme moldus j'aimerais bien retrouver mon épée...*

Après l'intervention de Klaus, Sarko continuas


"De plus, Je ne suis pas un médicomage mais je connaît un sort de soin pas mal utile. Sans compter que vu mon apparence, les mangemorts ne se douterons jamais que je suis impliqué et me prendons à la légère, dumoins pendant les combats."

Dès qu’il eu l’occasion le jeune auror se présenta. Il se nommait Sarko et apparament il semblait avide de faire ses preuves. Il se lança dans un petit discours sur ses facultés avant de faire une petite démonstration de ses pouvoirs. Catarina s’apprétait à répondre quand Klaus était apparut et l’avait prise par la taille.

-Va pour ma mission. Je m'en crois capable. Je demande à être muni d'armes moldues en plus d'arme magique, la guerre a souvent était de leur ressort et ils ont su faire d'intelligents instruments, de plus si jamais nos baguettes viennent à être brisées cela nous fera un second recours.
Pour ce qui est de l'allemand je n'y ai aucune opposition, si jamais vous avez besoin d'un traducteur en estonien, je serais présent.
Pour ce qui est de choses cachées... cela n'a regardé, ne regarde et ne regardera toujours que moi.

Elle était contente de voir que son bien aimé allait prendre part à la bataille, elle pourrait même avoir l’occasion de combattre à ses côtés, elle pourrait ainsi le surveiller !



- Je refuse de me battre si Catarina prend part à ce combat. Je sais que nous sommes peu nombreux mais il est hors de question qu'elle se batte. Soyons honnête elle se débrouille bien, c'est une bonne aurore, mais elle n'a ni les capacités physiques ni les capacités mentales pour ce combat. L'emmener serait une perte de temps, je ne veux pas d'elle sur le champ de bataille. L'y savoir ne ferait que m'handicaper et personne ne souhaiterait d'un chef perturbé. C'est mon unique condition. Si vous y accédez je serai votre homme, et je serai prêt à mourir pour votre cause.

Les hommes…

Catarina passa rapidement de la gentille femme pleine d’espoir à la rage bouillante de ce manque flagrant de jugement de la part de son bien aimé.

- Dit Klaus, tu n’a pas l’air de connaître le dicton qui dit : « L’enfer n’est rien comparé à la femme que l’on a offenser » ? Bien je vais t’en faire une petite démonstration.

Catarina sortit sa baguette et la pointa vers son bien aimé.

- Si je te bas tu devras me laisser y aller, sinon je resterai comme tu le veux.

Et de plus Gryn avait fait mention de « tout » mentionné à propos d’eux. Il était temps qu’elle révèle à tout le monde ce qu’elel était devenu depuis plusieurs mois…Un loup-garou. Et la seul personne qui eu su, était Velvet, qui était maintenant mort…
- Alors Klaus, on ne prend pas mon défi au sérieux ? Ou tu as simplement peur d’abîmer ta douce Fleur ?

Catarina devenait de plus en plus acide dans ses propos et elle en était consciente. Mais que Klaus ait dit ce qu’il avait dit la mettait hors d’elle. Il avait si peu confiance en elle ? Ou Étais-ce trop d’amour, alors comment pouvait-il penser que Catarina n’en ferait pas autant ? De plus ce serait une véritable guerre qui changerait le monde, chacun serait utile et susceptible de changer le cours des choses, pas questions d’écarter quiconque.

- Bon aller je vais te donner de quoi réfléchir ! Expelliarmus !

Grynfwald fut heureux. Leurs réponses démontraient une force de caractère fort utile. Apparemment le jeunot voulait à tout prix faire ses preuves. Un tantinet tête brûlée à son goût, mais la motivation était très importante. Par contre, dans le couple ça chauffait. Il envoya un Protego qui dévia le sort de Catarina.

“ Hum, hum. Je crois que le moment est mal choisi pour se battre. Mais ta chérie a raison, Klaus. Cependant, je n’envois pas mes hommes inutilement à la mort. J’ai réussi à obtenir un prêt des banques gobelines qui me permettront de financer l’achat matériel militaire magique. Pour les armes moldues, j’y avais déjà pensé et je leur réserve une surprise à ma façon. Cependant si tu désires obtenir de ces armes pour ton usage personnel, j’essaierais d’intervenir auprès du Ministre, qui en parlera au Premier Ministre. Cependant, celui-ci a déjà eut la gentillesse de faire évacuer le village moldu environnant et je pense que tu doives te débrouiller seul pour cela. C’était une bonne initiative quand même et je ferais mon possible. Malheureusement, je ne pense pas que tes connaissances en estonien soient très utiles… ”

Il se tourna ensuite vers Sarko et lui sourit.

“ Belle démonstration. J’ai moi aussi des aptitudes pour ce sortilège. Cependant nous auront beaucoup de dragons à notre disposition et tu te trouverais vite pris au dépourvu devant les véritables légions que forment ces êtres. Le Seigneur des Ténèbres dispose encore d’immenses forces qu’il n’a pas dévoilées. Pour les sorts de soin, nous disposons de nombreux guérisseurs et de Miss Karen, ici présente. Mais si tu vois un camarade blessé, n’hésite pas à le soulager. Reste…la mission d’infiltration… ”

Il s’approcha, le regardant avec affection, puis le prit par les épaules.

“ Je suis heureux que tu te sois porté volontaire. Mais n’oublie pas que tu auras un portoloin sur toi. Ta vie est plus précieuse que la mort de plusieurs mangemorts, même d’un des généraux de l’Armée Noire. ”

Puis s’adressant aux autres :

“ Miss Karen et, vous-même, mademoiselle, n’avez encore rien dit... ”

Ilian fit atterir Seth dans la cours, près de la cabane de l'ancien garde-chasse. Il prit ce qui lui appartenait et demanda a Seth de l'attendre. Ce dernier cria fortement, ce qui fit ciller les oreilles d'Ilian.

- Ouais... J'avais oublié à quel point tu es impatient... Bon alors suis moi... Dit Ilian.

D'un pas rapide, il marcha en direction du château, suivi de près par son hippogriffe qui avait une allure victorieuse, la tête vers le haut et la démarche presque dansante. Après quelques mètres, Seth donna un petit coup de tête dans le dos de son maître, lui proposant de grimper. Ne voulant pas décevoir son ami, Ilian monta sur son dos et le dirigea vers la porte.

À la grande porte, Ilian l'ouvrit d'un Alohomora et avança dans le hall d'entré. Du bruit semblait venir de la grande salle, beaucoup de bruit et Ilian se doutait que cela ne pouvait avoir rapport qu'avec une seule chose : discour de mission. Tant que ce n'était pas pour le retrouver, chose dont il doutait vu les fausses lettres qu'il était obligé d'envoyer à Lain, il serait bien heureux d'y participer avec un attout en plus. Seth regardait un peu partout mais semblait surtout attiré par le bruit venant de la grande salle lui aussi et s'y rendit sans même qu'Ilian le lui demande.
La porte s'ouvrit fortement et Ilian entra gracieusement sur son hippogriffe noir armuré.

- Je m'excuse de mon absence prolongé, j'avais quelques affaires à récupérer et aussi à régler. Dit Ilian en descendant de son destrier ailé. Alors, en quoi consiste cette nouvelle mission?

D'un regard rapide, il scruta la foule essayant de trouver son ange. Il vit à peu près tout le monde sauf elle. Pensant que Velvet saurait répondre à sa question, il tenta de lui envoyer un message télépathique mais se heurta à du vide. Il attendit alors, que le moment soit mieux choisi pour avoir quelques expliquations... Pour le moment, il y avait une mission et Ilian ne se doutait pas du tout de quoi que se soit sur la mort de Velvet ou sur le fait que Lain ait disparue.

Grynfwald dévia le sortilège de Catarina qui alla se perdre dans le ciel magique du Hall. Empreinte de contrariété elle pensa quelques instants à lancer le même sortilège sur celui qui se mêlait de ce qui ne le regardait point. Hors il avait raison dans ses propos, ce n’était guère le moment de se disputer pour des raisons aussi futile. Elle se clama donc, et abaissa sa baguette.

- Je demande juste un peu plus de confiance… Lâcha-t-elle sur un ton indigné

Le chef se retourna ensuite et parla au jeune Sarko qui avait un certain penchant pour le risque…Ou pour le suicide. Catarina ne doutait pas de ses capacités, mais de son âge. Mais après tous il voulait simplement faire sa part tout comme elle. Elle agissait donc comme Klaus à son égard. Elle se ravisa et décida que le jeune pouvait participer s’il en avait vraiment envi. Il suffirait de garder un œil plus vigilent sur lui…

Les portes s’ouvrirent à nouveau et Ilian entra sur un hippogriffe. Il s’excusa de son absence et leur dit qu’il avait du aller récupéré quelque chose qui lui appartenait. Ce devait être l’animal sans doute. Elle s’adressa à lui :

- Bien sûre que nous t’excusons, moi la première, j’ai moi aussi du m’absenter quelques temps pour affaires personnelle, je serais mal placé pour te juger!

Ils étaient donc quatre apprentis auror devant Gryn en ce moment, dont l’un détenait un hippogriffe apparemment prêt à faire la guerre. Catarina décida qu’il était temps que tous sache qu’elle maléfice faisait parti d’elle, et qu’elle serait une alliée qui allait au-delà de la simple sorcellerie. La raison pour laquelle elle était encore plus apte à prendre part ua conflit que le croyait les autres. Elle n’était plus la petite fleur fragile qu’avait connu Klaus, elle avait changé, elle avait prit du caractère…Et surtout… Elle était devenu une loup-garou…

- Grynfwald, je dois vous avertir. J’ai un avantage, si l’on peut parler de cela ainsi, sur les autres. Je n’ai certes pas d’hippogriffe (Elle envoya un sourire à Ilian ce qui ne manquerait pas de faire réagir Klaus), mais j’ai autre chose…(Voyant la tête de Gryn se transformer un point d’interrogation géant elle continua) En fait ce n’est pas quelque chose que j’ais, mais plutôt quelque chose que je suis…Permettez-moi de vous en faire la démonstration, si vous me jurez de ne pas me tuer (Sarcasme)…

Catarina pointa sa baguette vers le ciel étoilé et récita la formule que peu de gens connaissaient et qui lui avait été apprise par Lupin lors de son absence.

- Luna!

Les nuages se dispersèrent et le croissant de lune se transforma en pleine lune. Ce sortilège permettait de créer une fausse pleine lune pendant quelques temps. Permettant ainsi à certaine personne de se transformer en loup-garou. La lune artificielle n’était pas aussi puissante que la vraie, mais elle pouvait permettre de se tirer d’un mauvais pas. Dès qu’elle fut pleine Catarina sentit les changements qui s’opéraient en elle. Dans ses mois d’exile elle avait appris à maîtriser sa transformation, affin qu’elle soit, disons le, plus élégante que la transformation habituelle d’un loup-garou…La vrai pleine lune était si puissante que les loup-garou qui ne maîtrisait pas parfaitement leur condition 99% d’entre eux, Catarina comprise, perdaient tous sens commun de la réalité. Hors la pleine lune artificiel permettait de garder contact avec la réalité, ce qui éviterait qu’elle se jette sur tous le monde pour les tuer.

La transformation ne se faisait pas sans souffrance, mais elle était moins intense qu’à la vraie pleine lune. Catarina fut donc capable de garder le silence bien qu’une douleur persistante lui lacérait le corps. Ses muscles grossirent, la pilosité commença à recouvrir son corps et son visage se transformait. En quelques secondes elle s’était changée en Loup-garou. Dans cet état second elle sentait le cœur de chaque être vivant battre. Intéressant, quelques uns avaient accéléré, peut-être par peur, peut-être par surprise. Elle resta immobile, alors que les autres devaient désormais la voir comme un monstre, ou une autre chose. L’odeur, elle pouvait sentit le parfum et distinct et unique de chaque personne dans la salle. Après quelques secondes elle décida de reprendre sa forme originale. Elle tenait toujours sa baguette dans ses mains poilues, elle mit fin au sortilège de Luna et alors qu’elle reprenait sa forme normale elle fit en sorte que ses vêtements déchirés se répare et reprennent leur place sur son corps. Après tous il fallait garder une petite gêne! Lorsqu’elle fut toute à fait elle-même de nouveau elle s’adressa à la petite troupe de gens :

- Voilà vous savez maintenant mon secret, et le pourquoi de ma si longue absence. Je m’étais sauvez persuadé que je serais rejeté par tout le monde. C’est lors de mon exile que j’ai rencontré Lupin qui m’a appris sur la condition de loup-garou…

Ne sachant pas vraiment comment les autres réagiraient elle s’attendit au pire, restant la à la même place attendant le jugement des autres…

Asarius se tenait dans l’encadrement de la porte, profitant du fait que tout et chacun observait la métamorphose de leur amie. Elle devait sans nul doute être la Catarina dont Fenrir parlait si souvent. Lorsqu’elle eu finit un silence s’installa dans la salle et Asarius su que le moment d’un nouveau coup de théâtre était venu. Il fit donc son entré d’un pas sur de lui.

- Excellent, mademoiselle, c’est un don que vous possédez, mon meileur ami en est un lui aussi, un travail superbe il fait…

Les têtes se tournèrent vers lui, alors que drapé à son habitude, tel un mangemort de son rang, sans le déguisement dérisoire du chapeau pointu et du masque. La simplicité voilà comment il était vêtu. Il s’avançait donc baguette en main, après tous il était un mangemort et eux des aurors il ne fallait donc pas prendre de risque inutile. Il s’avança ainsi jusqu’au centre de petit groupe. Il regarda aux alentours et fut malheureux de ne voir que si peu d’anciens élèves, en fait il y en avait juste un seul, Ilian qui trônait de son air supérieur sur un hippogriffe. Utile, mais Asarius trouvait certaine créature plus…Utile… Mais il ne pouvait juger de la valeur sentimentale que l’animal et le jeune homme partageait, et cela était la vraie nature des choses. Le regardant il abaissa sa capuche révélant son visage.

- Bonjours Ilian.

Il se retourna et regarda l’homme qui semblait être l’orchestre de la bataille qui s’annonçait.

- Je suis Asarius Grouge dit Le Pourfendeur, ancien proffeseur fondateur de l’ETA, ancien lieutenant de Voldemort qui sois dit en passant est mort…Je l’ai tuer il y a un mois…(Il fit comme si cet aveu n’avait aucune importance et ce même si tous parurent un peu troublé). Je suis le chef d’une cinquantaine de mages noirs ayant décidé de se révolter contre le défunt Lord Voldemort. J’ai aussi sous mon contrôle une dizaine de loups-garous dont le chef est Fenrir (Il jeta un coup d’œil à Catarina) et d’un dragon, un Magyard. Je suis ici pour vous proposer mon assistance, car vous en avez bien besoin et que je ne désire pas voir le monde tomber aux mains de ceux que j’ai trahi et qui détruirait tous ce à quoi je tiens…Acceptez-vous mon offre?

Ilian était plutot inquiet de ce que catarina allait devenir quand elle dit qu'elle avait peur qu'on la rejette et mit sa main sur le manche de son épée, objet avec lequel il était bien plus habile qu'une baguette... Elle se transforma en loup-garou mais cela n'étonna pas Ilian qui avait quelques doutes, surtout au lancé du sort Luna qui ressemblait trop au mot lune pour ne pas être en rapport avec. Il se relaxa, constatant que Cat n'attaquerait personne. Cependant, la voix qui émana de derrière lui eut pour effet de le faire faire volte face et il sortit son épée sur le même mouvement. Il attendit qu'Asy fasse un mouvement mais rien ne laissait voir la moindre hostilité.

Sans ranger son arme, il le suivi des yeux et ne répondit pas à la salutation de son ancien directeur. Il écouta la proposition d'Asarius et se relaxa encore, mais ne rangerait pour rien au monde son arme. Ne sachant quoi penser, Ilian décida de s'en remettre à la décision que prendrait Velvet s'il revenait bientot, en espérant qu'il soit accompagné de Lain, il avait si hâte de la revoir!

- Moi, si Velvet peut lui faire confiance, je lui ferai confiance. Au fait, il est où notre lumière nationnale?

Ilian avait la mauvaise impression qu'il était arrivé un malheur, il espérait se tromper, mais l'esprit de Velvet était normalement facile à trouver vu son intensité... Enfin, facile pour ceux en qui il a confiance. Mais Ilian ne pouvait se résoudre à croire à ses sombres pensées et attendit patiemment la réponse.

Quand l'homme sombrement accoutré entras dans la grande salle. Sarko fut immédiatement sur ses gardes. Malgré son âge, Sarko et son meilleur ami d'enfance avaient déà voyagé. Ils avait aussi déjà rencontré plusieur fois des gens de se genre. Pour lui accoutrement noir à capuche égalait très souvent problème. Sarko prit immédiatement sa baguette mais il ne la brandit pas, tentant de garder son calme.


*La dernière fois qu'on as rencontré un de ses types on as bien faillit y rester...*

Sarko n'avait pas réagit à la transformation de la jeune aurore en loup-garou ni à l'entré du chevaucheur d'hypogriffe qui semblait s'apeller Ilian, dumoins selon les dires du mangemorts. Il avanças de quelques pas lent vers le mangemort, près à tout éventualité. Sarko regardas auour de lui. Rien qui ne pourrait lui utile dans le combat souf peut-être les tables pour se protéger des sorts. Interrompant ses réflexions, le mangemort adressas la parole à l'auror et se présentas en tant qu'Asiarius Grouge. Après avoir entendit la nouvelle, Sarko relâchas un peu sa garde.

*Voldemort... mort? j,ait l'air malin moi maintenant avec ma quête pour m'en débarasser... bof reste au moins les mangemorts fous.*

Sarko sursautas quand Ilian dégainas son épée, contrairement à lui, il ne semblait pas du tout voir le retour d'Asarius comme un bon signe. Sarko crut que le mangemort mentait, tant de bouleversement en si peu de temps et l'attitude des autres aurors. Mais au fond de lui une petite voix intérieure lui dit qu'il pouvait lui faire confiance. Peu sûr de pouvoir se fier à son instinct, Sarko inspectas le mangemort de la tête au pied. Les traits de son visage ne trahissait ni tension ni angoisse.

Son entré avait eu l’effet escompté, Ilian avait dégainé son épée et un autre jeune auror portait sa main sur sa baguette. Seule la jeune loup-garou n’avait pas bouger gardant un calme absolu. Il était vrai que lorsque l’on est ce que qu’elle était, les choses nous apparaissaient bien moins pire, d’autant plus qu’elle ne le connaissait pas et n’était pas au courant qu’Asarius avait tué l’ancien directeur de sang froid. Il eu un rictus face à tent de méfiance de la part des deux autres, mais quand Ilian se mit à parler de Velvet, son sourire s’effaça. Le triste souvenir de sa mort lui revint à la mémoire, ainsi que la macabre image de son ami baignant dans son sang. L’infirmière Karen passa de méfiante à horriblement triste. Elle était la seul personne de cette école qui restait en permanence au château, il était fort probable qu’elle fut celle qui découvrit le corps…Juste après que Belezar se soit échapper à bords du corps d’Asarius. Soudain le fait que le jeune homme parle ainsi de son ancien ami et le fait qu’il pointait une épée vers lui eue raisons de sa patience.

- Accio Excelciore!

Comme à chaque fois qu’il invoquait Excelciore l’épée magique ancienne d’Anaraxis, des flammes bleutées englobèrent son poings et son avant bras et lorsqu’elle disparurent une magnifique épée apparut dans la main d’Asarius, il la pointa prestement vers le jeune homme sur l’hippogriffe.

- N’essais pas de sa avec moi, Ilian! (Il adopta un ton plus dédaigneux et dit : ) Tu ne fais pas le poids… (Il reprit un ton normale et se tourna vers ce qui semblait être le chef) Je viens vous proposer mon aide et ce que vos aurors trouve de mieux à faire c’est de me menacer pitoyablement…Accepter mon offre ou tentez de me tuer, mais ne jouez pas entre les deux… (Asarius marqua une pose) Il faut que vous sachiez que lorsque j’ai abattu Voldemort, il se trouvait en Norvège dans un ancien temple. Il tentait de mettre à jour un objet magique ayant appartenu à un ancien mage noir du nom de Belezar…Lorsque Voldemort fut défait, l’objet fut découvert, il s’avéra que c’était un Hoxcruxe et le Mage réussit à s’échapper. Il a déjà commis des dizaines de meurtres et nous payons le prix fort…(Il jeta un coup d’œil vers Karen qui fit la liaison dans sa tête et on pu voir apparaître quelques larmes dans ses yeux, il regarda ensuite Ilian) Velvet fut sa première victime…Vous devez comprendre, avec tous le chaos qui règne et l’absence de chef, Belezar espère reprendre le contrôle de toute cette armée noire. La question n’est pas si il va y arriver, mais combien de temps cela lui prendra-t-il? Belezar est un mage d’un temps ancien ayant survécu dans les siècles par son Hoxcruxe. Il possède des pouvoirs depuis longtemps oubliés. ..S’il réussis à monter à la tête de cette armée, il sera quasiment impossible à arrêter. (Il se tourna de nouveau vers Ilian) Alors ce n’est pas le temps pour les vielles querelles! Evadesca…(L’épée se volatilisa)

Il y eu une petite trombe de fumée suivi d’un « crac » sonore. Un homme venait de transplanner et la fumée caractérisait le transplannage d’un mangemort. Asarius n’eau pas à se retourner car l’énergie qui fusait dans le hall était facile à reconnaître, celle de Fenrir Greyback.

- Asarius, j’ai fait l’annonce de ta décision au mangemort et…

Fenrir se tu. Asarius se retourna et l’observa puis suivit la direction de son regard vers la june femme loup-garou. Pour la première fois elle affichait une autre émotion que la neutralité, en fait elle semblait surprise et colérique à la fois. Asarius savait que Fenrir éprouvait des sentiments pour elle, il l’avait vu lors de l’attaque de Pré-Au-lard et…Asarius venait de comprendre. La jeune femme le pointa du doigt :

- Vous!

Asarius se retourna vers son ami qui restait muet sur place, commentant à rougir.

* Oh…Non…Sa ne pouvait pas être pire…*

Asarius soupir, la situation devenait loufoque, révélations après révélations…

- Fenrir, dit moi…Tu ne la connais pas simplement de vue….

- Heu…ahhw…Non en fait…

- Dit moi pas que ta fait ça…

- Euh…bien…oui justement…

- Ah merde…

Voyant l’expression plus ou moins déconcertée des autres Asarius s’exaspéra et se tourna pour tenter de leur expliquer de la manière la plus simple possible.

- Fenrir…EST LE PÈRE de Catarina…Enfin le père Loup…En fait, il fut celui qui l’a transformé...

Asarius se tourna vers la jeune femme qui fit un signe d’approbation, puis les autres eurent une expression de « Ah d’accord Sa explique tout! » Sauf un, qui semblait couvrir une crise de colère, d’après ce qu’il avait observer avant son entré il s’agissait de l’amant de la jeune femme. Asarius se dit que lui aussi serait une colère s’il apprenait qu’un loup-garou avait tripatouillé avec sa femme. Asarius soupira et continua :

- Tout cela à des allures de mauvais roman à l’eau de rose…(Il adopta un ton solide et pointa Ilian) Toi baisse ton épée! (Pointa Fenrir) Toi, ça ne se fait pas sur les jeunes femmes!(Pointa Klaus) Toi tente de ne pas tuer Fenrir! (Pointa Sarko) Toi…Reste comme ça c’est bien… (Pointa Karen) Je suis désolé pour Velvet, mais votre vie doit continuer! (Pointa Grynfwald) Acceptez-vous mon offre? Ou continuons nous dans les surprises sentimentales?

Quand il eut finit son discours les choses allèrent très vite. Un élève apparut avec un hippogriffe, puis la copine de Klaus se transforma en loup-garou, un ancien professeur passé du côté des forces du mal fit son apparition, puis ce fut au tour de Fenrir Greyback. La situation le dépassait et tout ce beau monde commença à se disputer. Enfin, on s’adressa à lui.

“ J’ai entendu parler de vos exploits, Pourfendeur, et je sui content que vous soyez revenu de votre côté. Les Highlands ne sont jamais passés du côté du Seigneur des Ténèbres et je me réjouis que vous ayez enfin compris qu’il ne travaille que pour lui seul. ”

“ Fenrir Greyback, tu as toujours été un ennemi pour nous. Cependant, je suis prêt à oublier notre ancienne querelle pour nous unir contre l’Armée Noire. Si tu le veux bien nous ferons un peu plus tard l’échange de sang et nous nous jurerons fidélité par le Serment Inviolable. ”

Puis il revint vers Asarius.

“ Je suggère que notre alliance demeure secrète. Merci pour le dragon, qui nous permettra encore d’accroître nos forces. Nous en aurons au moins une quinzaine. Ce ne sera pas de trop : j’ai appris que la plus grande colonne de géants jamais vue marche à vive allure vers l’Ecosse. Quand à Belazar et la mort du Seigneur des Ténèbres, cela PEUT-ÊTRE une ruse de ce dernier. En tout cas, je crois que ce sera Lucius Malefoy qui commandera l’Armée Noire. ”

Il se tourna enfin vers Catarina et Klaus.

“ Merci de nous avoir confié ce lourd secret. Fenrir a été un beau sal… tout comme avec quelqu’un de ma famille, mais tu devras faire comme moi, s’unir avec lui contre l’Armée Noire qui, des deux, est le plus grand fléau. Après si le cœur t’en dit, Klaus, libre à toi de le provoquer en duel. Enfin, la révélation de ce sortilège va devoir modifier mes plans. Si nos adversaires connaissent cette formule alors l’attaque interviendra plus tôt car ils savent que je m’attend à ce qu’ils attaquent à la pleine lune. E plus, cela les aidera énormément, car les loup-garous sauront qui attaquer. ”

Il regarda l’assistance, attenant leurs réactions.

[HRP] Je vais commencer à poster dans la vraie mission mais continuez à répondre ici.[/HRP]

HRP : Asy, Ilian avait déjà baissé son épée, il l'avait juste pas rangé ^^ /HRP

Ilian était presque en rage. Pas contre Asarius ni contre Fenrir, pas plus contre un mage qu'il n'avait jamais entendu parlé ou même contre l'armée noire, il était en rage contre lui même d'être partit et de revenir avec autant d'éléments qu'il ne savait pas la provenance ni les conséquence. Cette fois, il rangea son épée. Asarius ne lui faisait pas peur avec sa lame magique ar Ilian était pratiquement né avec une épée en main et avait vécu toute sa vie à se battre avec ce genre d'arme.

Seth semblait perdu et regardait les réactions de son maître pour voir comme lui il devait réagir. Le fait que Velvet était mort était très éprouvant pour Ilian, mais ça ne l'était pas autant que de voir que Lain ne pouvait donc pas âtre avec lui et qu'elle était vraiment disparue. Ilian cherchait le château par légimencie mais ne trouvait rien. Il n'était pas aussi doué que Velvet dans ce genre de choses, mais il avait toujours trouvé Lain quand il le voulait. En fait, il savait qu'elle était en vie car il la ressentait toujours en lui, mais il ne pouvait la voir ni la discerner magiquement. Ilian était en rage contre lui même de l'avoir laissé, d'être partit sans lui dire la vérité mais s'il l'avait fait, il était sur qu'elle aurait tout fait pour convaincre Ilian de la laisser venir avec lui. En ce moment, Ilian se foutait de savoir si Voldemort était mort, de savoir que Cat était loup-garou et même que Fenrir, qui l'avait rendu loup-garou soit en ce moment devant lui, il se foutait de savoir si Asarius était vraiment un allié ou non, il se foutait de la mission, il se foutait que la fin du monde puisse être vraiment proche. En ce moment, tout ce qu'il voulait, c'était de revoir Lain, de la tenir à nouveau dans ses bras et de poser inlassablement ses lèvres contre les siennes.

- ...Et... Lain? Où...Où est-elle? Demanda Ilian sur le point d'éclatter en sanglots.

- ...Et... Lain? Où...Où est-elle? Demanda Ilian sur le point d'éclater en sanglots.

Asarius eu un soupir et secoua la tête légèrement de gauche à droite. Il ne pouvait croire que le jeune homme semblait plus préoccuper par sa petite amie plutôt que par le sorts du monde magique.

- Écoute Ilian, je sais pas ou elle se trouve, et je pourrai t’aider à la trouverai lorsque les choses iront mieux, mais pour l’instant tu dois te concentrer sur cette bataille car si nous la perdons, il y a fort à parier que tu ne reverras définitivement plus ta bien aimée, alors ne laisse pas tes sentiments te contrôler, sois le maître et reviens sur Terre, nous avons une bataille à gagner.

Asarius marqua une pose et se retourna vers Fenrir qui restait toujours muet le regard plongé dans celui de Catarina.

- Fenrir qu’étais-tu venus me dire?

- Euh…Oui…J’ai annoncé ta décisions aux autres mangemorts et bien qu’ils ne fassent pas confiances aux « Bâtards du ministères » pour les citer, ils sont avec toi…Voilà ce que j’étais venu confirmer….

- Très bien Fenrir tu peux disposer, nous reparlerons du cas, Catarina…(Elle lui jeta un regard de feux).

Fenrir disparu dans un craquement sonore et Asarius se reporta sur Grynfwald. Asarius s’approcha de la table et examina la carte.

- J’ai besoins de savoir, qu’elle sont les forces en présences, combien sommes nous, combien sont-ils, ou seront nous à l’intérieur ou à l’extérieur du village. Si nous occupons une position défensive il faudrait occuper le village et creuser des trancher le longs du villages, construire des barricades…Moi et mes frères seront une partie minime de votre armée, mais très importante, donnez nous donc un objectif qui va avec ce statut, puis-je suggéré que mon groupe prenne l’armée noir à revers et ait comme objectif d’éliminer le commandant? C’est le genre de missions dans lequel nous excellons….

- Ces hommes sont fous… haleta Hälfte dans un souffle.

Elle était arrivée juste avant que celui qui se faisait appeler Grouge n’apparaisse par l’entrebâillement de la porte avec son air supérieur et ses manières un peu trop brutales pour quelqu’un mentalement équilibré.
Elle avait ensuite écouté toute la conversation qui en avait découlé avec les anicroches et les pseudos mélodrames de certains élèves avec leur ancien professeur mais également ce pacte avec cet homme à la tête horrible qui prétendait avoir tué le Seigneur des Ténèbres et voulait désormais avec des mangemorts renégats annihilés le reste des forces de l’ancien empereur de la nuit.

Toutefois renégats ou pas, un mangemort restait un mangemort et toute collaboration avec eux relevait de la haute trahison sans le assentiment primordial du Ministère. Hälfte préférait ne pas se mêler de tout ça mais maintenant qu’elle en était là, comment se sortir de ce guêpier ? C’était le jeune Gryn qui avait conclu ce pacte et les autres élèves semblaient plus ou moins prêts à l’accepter malgré les réticences que l’on voyait marqué le visage de certains.
Où trouver un allier dans ce ramassis de traîtres ?

Hälfte s’éclipsa. Elle n’était pas folle au point de s’exposer volontairement. Les ennemis étaient trop nombreux et elle était toute seule. Il fallait fuir. Fuir et prévenir que l’ETA avait faiblit. Que l’ETA était des traîtres. Mais prévenir qui ? Le gouvernement anglais était déjà débordé par les évènements et si en plus il apprenait que sa propre force d’élite était corrompue… Elle verrait plus tard. D’abord elle devait s’en aller sans se faire repérer auquel cas tout espoir serait perdu.

Elle alla droit à sa chambre. D’un coup de baguette elle fit tournoyer ses affaires et elles se plièrent toutes avant de se ranger dans la petite valise qu’elle avait emportée avec elle. Elle s’en saisit et se dirigea vers le rez-de-chaussée. Impossible de passer par la porte principale. Trop de monde. Elle espérait trouver une fenêtre ouverte et avec un peu de chance elle ne se ferait pas repérer en passant par les jardins jusqu’à la forêt Interdite. Là-bas elle aviserait un plan pour se sortir de cette situation.

Elle arriva enfin en bas et trouva sans mal une fenêtre par trop haute qui lui permit de sauter. La forêt se trouvait à environ deux cent mètres de distance. En courant avec sa valise elle n’en aurait pas pour plus de trente secondes. Trente secondes à découvert… Ca laissait le temps à l’ennemi de la tuer de trente façons différentes.
Elle regarda à droite puis à gauche mais ne vit personne. Ca ne voulait pas dire qu’il n’y avait personne. Une cape d’invisibilité ou un sortilège d’envoûtement pourrait très bien pallier ce défaut de visibilité. Elle n’avait pas le choix il fallait courir.
Elle rassembla tout son courage en inspirant une grande goulée d’air et s’élança en direction de son dernier échappatoire…

-Je demande juste un peu plus de confiance…

Klaus toisa Catarina à cette remarque. Il éprouvait à la fois de la frustration, et un froid détachement. Il s’éloigna d’ailleurs un peu d’elle avant de lui répondre avec une expression plutôt glaciale :

-Si tu veux qu’on ai confiance en toi, montre-toi digne. Cesse de toujours réagir comme une gamine,…capricieuse qui plus est. Les gens ne te diront pas toujours ce que tu as envie d’entendre.

Il baissa les yeux laissant les conversations se poursuivre sans lui. Retrancher dans son petit monde imaginaire il essayait peu à peu de se défaire de la fatigue et de l’énervement qui le gagnait mais rien n’y faisait. Il revint à lui au moment où Cat se changeait en loup garou et là encore il ne réussit pas vraiment à ressentir d’émotion, ni peur, ni compassion. A vrai dire la seule chose qui l’occupait pour le moment c’était la bataille qui allait se jouer bientôt, rien d’autre ne l’intéressait.

Même l’annonce de Fenrir comme « père loup » de Cat ne le sortit pas de l’attention détachée qu’il portait à la scène. Il jeta un vague regard au loup garou en question et le dévisagea un instant sans rien trouver à dire. Tout lui apparaissait comme ridicule et vain alors qu’une migraine commençait à s’installer de plus en plus profondément en son crâne.

Il regarda vaguement Ilian, Asarius, l’agitation autour et il lui sembla se souvenir de quelque chose. Lain… il avait évoqué Lain, tout était étrangement cotonneux dans son esprit endormi et les informations avaient du mal à ressurgir. Il ferma les yeux et se concentra…Lain, le souvenir revenait peu à peu.

-Lain est partie.

Il sentit le regard d’Ilian se posait sur lui, interrogateur et peut-être en même temps plein d’espoir. Devait-il lui dire toute la vérité ? Ca le perturberait pour les combats, assurément. Mieux valait garder certaines choses cachées.

-Elle a transplanné dans le parc, l’autre jour. Elle n’est pas revenue.

Le ton formel, cassant, neutre qu’il empruntait ne semblait pas convenir. Catarina lui jeta un regard noir, pour la première fois elle devait le deviner totalement insensible. Il serra un peu le verre qu’il tenait depuis dix minutes et manqua de le briser de colère. Il jeta un regard par la fenêtre, dehors une jeune femme courrait…il en déduisit que c’était le moment où jamais.

Sans prévenir Klaus lança violemment son verra contre le carrelage, surprise sur le visage des autres alors qu’une rage froide semblait avoir gagnée le garçon. Vague regard à la fenêtre, encore quelques secondes. Il improvisa un discours :

-J’en ai assez de vos jérémiades ! On est ici pour se battre, pour annihiler un mal qui n’a même plus de chef et vous pleurnichez tous sur vos petits problèmes. Vous êtes tous des égoïstes. Vous m’écoeurez…
Catarina ! Tu veux aller au combat ? Très bien ! Vas-y ! Vas te faire tuer ! Mais ne compte pas sur moi, ni pour te protéger, ni pour te pleurer.
Ilian, si ton seul but est de retrouver Lain, excuse-moi mais tu n’as rien à foutre ici.
Quant à toi Asarius tu nous demande d’avoir confiance en des gens que nous haïssons fortement, qui ont tué certains des nôtres, tout comme toi d’ailleurs. Que tu le veuilles ou non tu as choisi un « camp » à un moment, il est inutile de tenter de retourner ta veste aujourd’hui, tu resteras à jamais un ennemi pour moi, et il devrait en être de même pour les autres. Je n’hésiterai pas à essayer de te tuer si je te croise sur le champ de bataille.
Gryn…je me moque des armes que tu mets à ma disposition, je viens pour une victoire et je me battrai avec ce qu’on me donnera.

Il n’accorda pas grande importance aux réactions qu’il avait pu provoquer et évitant volontairement Catarina se dirigea jusqu’à la porte qu’il referma violemment derrière lui, avant de rejoindre son dortoir afin de préparer tout ce dont il aurait besoin.

Ilian était en colère contre les autres qui semblaient insensibles à ce qu'il éprouvait, mais il ne la laissa pas éclater car en fait, il savait qu'ils avaient raison... Il était triste pour Lain, de savoir qu'elle était partie et espérait qu'elle reviendrait, comme elle a probablement fait lorsque lui même était partit soudainement... Se calmant peu à peu, il se redressa et se tourna vers Asarius.

- Désolé, vous avez raison. Je met mes sentiments en trop grande importance. Merci de ta proposition, mais si je dois la retrouver, je le ferai seul... Je te fais confiance, contrairement à certains, car je sais que l'on peut changer puisque je l'ai fait. Dit-il en rengeant son épée dans son étuie.

Klaus était partit avant qu'Ilian puisse répondre ainsi que Halfte qu'il ne connaissait pas vraiment en fait. Les propos de Klaus laissaient voir une grande bravoure, mais trahissait un manque de solidarité. Se disant que ca ne servait à rien de voire gros là dessus, il se concentra donc sur des arguments qui porteraient en faveur de l'alliance avec Asarius si quelqu'un d'autre voulait s'y opposer. Accoté sur son hippogriffe, le poil noir et dru de ce dernier lui piquait un peu le bras mais ses tourments, toujours présents dans sa tête, faisait paraitre comme des pécadilles tout ce qui l'entourait en ce moment. Il ne remettrais plus le sujet de Lain dans la conversation bien qu'il aurait voulu que son nom soit sur le bout de chacune des lèvres des autres pour qu'ils s'inquiettent comme lui, mais il devait être fort et endurer ce qu'il avait fair endurer à Lain... Seulement, cela ne faisait que le ronger de l'intérieur, voulant sortir. Ilian refoula toutes ses pensées noires pour les éclater sous forme de sorts meurtriers alors qu'il pointerait un mangemort ennemi.

Avant qu’il ait eut le temps de répondre à Asarius, Klaus piqua une petite crise de nerfs. Grynfwald décida de réagir aussitôt. Il fallait calmer tout le monde.

“ Ce ci est probablement dû à la fatigue, nous sommes tous sur les nerfs. C’est normal. Je m’arrangerais d’ailleurs pour faire distribuer des potions calmantes. ”

Il laissa Klaus décolérer un peu et répondit à Ilian.

“ Je suis désolé de ce que je viens d’apprendre. Cependant, j’espère que cela ne vous empêchera pas de participer à la bataille. ”

Ceci dit il s’adressa à Asarius.

“ Nous ne pouvons nous permettre de prendre à revers les innombrables légions de l’Armée Noire. Nous sommes trop peu nombreux. De plus, ils s’y attendent, ainsi qu’à une attaque de flanc. La véritable surprise consistera à foncer sur leur avant-garde. Ils s’imagineront en outre que nous disposons d’autres bataillons de réserve. Enfin je leur réserve trois petites surprises qu’ils n’oublierons pas de si tôt. Pour vos infiltrations…vos hommes sont trop connus. Désolé. ”

Puis, à l’assemblée :

“ Je suggère que nous nous mettions par équipe de deux. Ilian avec moi, s’il peut utiliser son hippogriffe, Nicolas Sarko avec Catarina et je ne pense pas que Klaus désire rester l’aide de camp du colonel von Müke, alors peut-être avec Karen ou Cat et Sarko. Qu’en pensez-vous ? ”

Elle demandait de la confiance, et Klaus lui avait répondu d’une manière déroutante. N’était-il pas son rôle de la soutenir alors que cet à cet instant qu’elle en avait le plus besoins? Elle resta interdite par sa remarque. Elle se répéta la phrase dans sa tête « Si tu veux qu’on ai confiance en toi, montre-toi digne. Cesse de toujours réagir comme une gamine,…capricieuse qui plus est. Les gens ne te diront pas toujours ce que tu as envie d’entendre. » Peut être avait-il raison? Peut-être, probablement, pas. Ce n’avait pas été un acte se voulant provocatoire comme avait du le percevoir Klaus, mais elle tentait de lui faire comprendre qu’elle pouvait se débrouiller seul, qu’elle n’avait pas besoins d’être couvée. Peut-être que cela était le problème, Klaus ne voulait pas qu’elle soit indépendente de lui, il avait peut-être été troublé de se rendre compte qu’il n’avait pas le total contrôle sur elle. Elle pouvait se tromper. Mais cela faisait du sens.

Catarina avait été ensuite insensible à l’apparition de l’ex-professeur elle n’était pas du genre à perdre son calme pour rien. Après l’avoir regardé, son allure, son regard elle su qu’il était un mangemort, elle pouvait le dans ses yeux, voir la lueur de tourment et de démence que l’on retrouvait en chaque ennemi.

- Excellent, mademoiselle, c’est un don que vous possédez, mon meilleur ami en est un lui aussi, un travail superbe il fait…

Elle ne réagit pas. Bien des gens détestaient ce qu’elle était devenue, mais pas cet homme, mais vu ce qu’il était cela n’avait rien d’étonnant. De plus comme il le disait l’un de ses amis en était un, il n’était donc pas neutre de son jugement. L’homme nommé Asarius parla ensuite d’un mage ayant survécu au travers du temps à l’aide d’hoxcruxes, et de la mort du Seigneur des ténèbre. Tout cela était plutôt confus, mais elle restait impassible, ne bougeant pas ne laissant paraître aucune émotion. Il y eu un bruit qui annonça un transplanneur et…Ce fu à cet instant qu’elle perdit son sang froid. L’homme qui venait de transplanner était celui qui l’avait agresser lors de la bataille contre les inferis, c’était de sa faute si Catarina était ce qu’elle était. Il commença à parler, mais s’interrompit lorsqu’il la vit. Il s’en suivit un long échange de regard, elle courroucé, lui surpris. Elle ne pu retenir sa langue

- VOUS!

L’homme dénommé Asarius se retourna regarda son ami, puis Ccatarina et soupira. Il comprenait vit celui la, bien qu’il ne fallait pas être un bon légimen pour comprendre…Il s’en suivit une discussion entre lui et Fenrir qui s’en fini par un bref « Ah merde… » de la part d’Asarius. Puis même si tout cela était d’une évidence, enfin le trouvait-elle, quelque personne semblait confus. Asarius explica donc que Fenrir était le « Père loup » de Catarina. Elle lui lança un regard tranchant à la mention « Père » car elle n’aurait pas employé se terme elle le classait plus dans le terme « Violeur ». Ainsi Fenrir était l’ami Loup-garou d’Asarius. C’est drôle comme les gens on de mauvaises fréquentations parfois… <

Il s’en suivit un autre bout de conversation qu’elle préféra ignorer, elle était hors d’elle-même. Le manque de compassion et de résonnement de Klaus jumeler avec le con qui se tenait muet devant elle…Catarina sentit alors que quelqu’un allait exploser au sens figuré du terme. Elle se tourna et vit Klaus qui semblait rager. Il se lança dans un long discours qui était au bords de l’engueulade.

-J’en ai assez de vos jérémiades ! On est ici pour se battre, pour annihiler un mal qui n’a même plus de chef et vous pleurnichez tous sur vos petits problèmes. Vous êtes tous des égoïstes. Vous m’écoeurez…
Catarina ! Tu veux aller au combat ? Très bien ! Vas-y ! Vas te faire tuer ! Mais ne compte pas sur moi, ni pour te protéger, ni pour te pleurer.
Ilian, si ton seul but est de retrouver Lain, excuse-moi mais tu n’as rien à foutre ici.
Quant à toi Asarius tu nous demande d’avoir confiance en des gens que nous haïssons fortement, qui ont tué certains des nôtres, tout comme toi d’ailleurs. Que tu le veuilles ou non tu as choisi un « camp » à un moment, il est inutile de tenter de retourner ta veste aujourd’hui, tu resteras à jamais un ennemi pour moi, et il devrait en être de même pour les autres. Je n’hésiterai pas à essayer de te tuer si je te croise sur le champ de bataille.
Gryn…je me moque des armes que tu mets à ma disposition, je viens pour une victoire et je me battrai avec ce qu’on me donnera.

Catarina manqua de l’apostropher lorsqu’il fit exprès de l’éviter. Il ne comprenait rien à rien…Elle pensa un court instant à lui remettre les idée en place par la manière forte, mais décida de ranger ce nouvel aspect de sa personnalité. Elle avait toujours été optimiste et joyeuse, mais depuis sa transformation elle avait développé un côté plus rude et rationnel. Pourtant elle jugea qu’elle ne devait pas toujours se fier à ce côté de sa personnalité. Grynfwald parla d’équipe mais Catarina s’en foutait un peu pour le moment.

- Excusez-moi messieurs, je m’occupe de Klaus. Gryn, met moi avec qui tu veut, Sarko ce sera bien je pourrai gardé un œil sur son penchant suicidaire…

Sur ces mots elle s’en alla par où était partis Klaus histoire de mettre les choses aux clairs.

Ilian écoutait Gryn donner ses propositions et lorsqu'il mentionna son hyppogriffe, Seth poussa un hennissement aigu qui fit sursauter un peu Ilian. L'aurore se tourna façe à l'hippogriffe couleur cendre et lui lança un regard aussi noir que son plumage. L'être mi-oiseau mi-cheval fit une sorte de sifflement qui ressemblais presque à une respiration halletante mais Ilian savait très bien que ce son signifiat qu'il riait. Laissant sortir un soupir, Ilian se retourna vers Gryn.

- Oh, Seth est tout disposé à m'obéir au doigt et à l'oeil, espérons juste qu'il ne décidera pas de faire une autre farce en plein combat! Dit Ilian sarcastiquement en se retournant vers son destrier.

Ilian sourit à Seth amicalement et ce dernier alla lui donner un faible coup de bec. Par la taille imposante de la bête et aussi avec son armure, le "faible" coup eu la même force qu'une boule de bowling. Ilian, étant habitué depuis des années à ces agissements, s'en attendit et absorba donc le choc aisément.
En même temps, il s'efforçait de ne pas pense à Lain, espérer qu'elle soit saine et sauf et surtout qu'elle ne l'ait pas oublié... Un mission capitale l'attendait et rien ne devait le détourner de la réalité. En ce moment, il tentait d'oublier tout ça en imaginant les combat, se créant des sénarios en tête qu'il metterait en pratique selon telle ou telle situation qui ont le plus de chance d'arriver... en imaginant tout ça, Ilian caraissait le manche de sa katana qui dépassait de son long-coat, sentant le doux tissu qui se croisait formant des losanges et assurant une poigne plus que solide.

" Oh, Seth est tout disposé à m'obéir au doigt et à l'oeil, espérons juste qu'il ne décidera pas de faire une autre farce en plein combat! Dit Ilian sarcastiquement en se retournant vers son destrier. "

Parfait. Voilà qui réglait bien des problèmes. Considérant que les équipes étaient faites, il s'approcha de son bureau. De larges dossiers s'y étalaient.

Il hésita un moment. Avait-il le droit d'envoyer ces jeunes gens à la mort ? Ils étaient si jeunes, si doux, si innocents, si heureux... Une larme coula dans son oeil. Il était un beau salaud.

Enfin il se décida. Il sortit plusieurs envelloppes cachetées à la cire rouge. Il les distribua à l'assemblée, y compris à l'infirmière. Il prit la parole :

" Voici vos instructions. Ne les décachetez que là-bas. Après en avoir pris connaissance, détruisez les. "

Il regarda tout le monde. Dans leurs yeux brûlait une froide résolution.

Et il transplanna.

[HRP] Plus la peine de répondre ici, postez maintenant dans la vraie bataille. [/HRP]