Mission 3: La nuit des morts-Vivants

Jérémie demanda si lensen voulais les accompagné, celà ne dérangeait pas Angel, mais lensen apparemment préféra travailler seul, Jérémie semblait vopuloir le convaincre.

"Laisse le Jérémie, si il préfère être seul, on ne peyut pas le forcer. Viens, on va s'occupper du quartier où on accéde à l'école. On ne sait jamais, si il veulent y pénétrer, ils ont déjà essayer une fois, pourquoi pas deux"

Il pris un pied de table, à l'aide d'une formule de métamorphse, le transforma en une espèce de torche à laquelle il mit le feu à l'aide du sort incendio.

Et il commença à sortir du bar.

Les deux premiers qui arrivèrent se transformèrent imméditatement en boule de feu.
La masse grouillante d'êtres sans vie se rapprochait encore. Bientôt les morts me submèrgeraient complètement.
Derrière moi le feu s'était quasiment éteint et les morts commençaient à passer sur le côté. Elles avaient fini par comprendre que le feu ça brûle...

Voilà. C'était fait. Une mort entourée par mes créatures. J'aurais préféré périr sous les coups d'un Classe A. Tant pis.
Les bras putréfiées se posèrent sur mes épaules, me tirant en arrière. Les bras s'aggripèrent à mes avants-brans pour me tirer en avant.
Les dents se plantèrent dans la chair, faisant gicler le sang sur les visages sans expression.

Trop nombreux... Ils étaient trop nombreux. D'un geste vif je plantais ma baguette dans le crâne d'un des montres. Celle-ci craqua et se brisa à la garde.
L'inferii s'écroula. Et mes jambes aussi.

La garde de la baguette brisée, serré dans ma main, je sentis les morsures et les griffures se multipliant sur mon corps.
J'avais la face contre terre, mes jambes ne répondaient plus, mes bras devaient avoir les tendons brisés. Impossible de bouger...
Et cette douloureuse lenteur... douloureuse lenteur... doulou... d...

...

Klaus avait jeté un regard amusé aux autres élèves, étudiant leurs réactions. Il avait parfois des sourires sarcastiques face aux tremblements de certains mains. Il tenait toujours fermement Catarina défiant quiconque de l'approcher à moins d'un mètre, se méfiant de tous.

Klaus se découvrait un nouveau visage, mais qui n'était pas forcément pour lui déplaire, lui qui aimait par dessus tout perfectionner ses rôles. Il entendit vaguement dire qu'il fallait être par équipe de deux et il resserra son étreinte. Il vit les équipes se constituer et se décida à enfin lâcher sa fleur. Il la regarda penchant la tête sur le côté avec des yeux de cocker lui prit la main.... et la fit transplanner.

Ils arrivèrent face à Derviche et Bang, il avait délibérement choisi l'un des coins où il risquerait d'y avoir le plus de sorciers et le moins de monstre; de toute façon il ne connaissait pas assez les autres pour se soucier de leur santé.

Il regarda Catarina qui semblait un rien interrogative, attendant que des monstres se manifestent, pas vraiment décidé à aller au devant du danger. Il s'assit derrière un mur et saisissant la main de son bouton de rose lui souffla:

-Alors dis-moi..tu ne choisis pas vraiment les évènements les plus romantiques pour déclarer ta flamme...

Après que Klaus l’eu embrassé tendrement au trois ballets, Velvet les envoya par groupe de deux. Il allait sa dire que Ctarina ne voulait pas être avec quiconque d’autre que son prince, celui qui la protégerait au péril de sa vie. Bien qu’il ne lui eu jamais vraiment dit de telle choses elle savait qu,il agirait ainsi. Elle-même de son côté en ferait autant. Il la tenait toujours par la détaille, chose qu’elle ne détestait pas.

Elle sentit son corps se comprimé, ses pieds quitter le sol. Elle eu l’impression de passer au travers d’un tunnel trop étroit. Elle savait que Klaus venait de transplanner avec elle. Au moins lui n’atterrirait pas face contre sol.

-Alors dis-moi…tu ne choisis pas vraiment les évènements les plus romantiques pour déclarer ta flamme...

Catarina se tourna vers lui et l’embrassa fougueusement, intensément.

- Ce n’est pas le temps qu’il nous reste qui compte, mais ce que l’on fait du temps qui nous est appartis…

Par cette phrase qui n’était pas la plus clair au monde elle voulait dire qu’elle savait que l’un deux pouvait mourir ce soir. Pour rien au monde elle voudrait le quitter sans avoir profité de leur amour. Le temps était venu d’arrêter le jeu d’attirance qui les unissaient, cette mission était un rappel douloureux que leur choix de carrière était risqué…

Pour ponctué cette réflexion un long râle, comme une longe plainte ce fit entendre dans une ruelle près du magasin. Quelques gens s’étaient accumulés près de la boutique et quelques uns d’entre eux prirent leurs jambes à leur coup lorsqu’ils entendirent la plainte. Catarina vit la monstruosité s’avancer vers l’agglomération de gens.

- Je suis Catarina Kasparanovia, je suis aurore, que ceux qui ont leur baguette se préparent à défendre ceux qui son à la merci de ces créatures ignobles. Faisont de ce jour le jour ou Voldemort comprendra que nous en avons assez de nous plier à lui, battez-vous avec force et courage !

Catarina ne se connaissait pas le don de meneuse d’homme pourtant plusieurs d’entre eux, qui semblaient désespéré reprirent une apparence plus ferme et vinrent se poster près d’elle et de Klaus. Lorsqu’elle aperçut la première forme désincarnée, elle lui envoya un incendio plus puissant qu’elle ne s’en était crut capable. La créature hurla et se consuma.

- Voyez, ce ne sont que des cadavres ambulants, nous pouvons gagner !

D’autres créatures avides de chaire fraîche apparurent…La bataille commençait pour eux…

Ilian continuat de se battre, frappant, évitant, brulant, repoussant et même crachant, enchainant les coups de torche, les sorts de repoussement avec sa baguette et le transplannage. L'incendio n'était pas suffisament puissant pour vaincre un inferi mais il était réel et était suffisent pour leur faire peur.

Ilian, à ce moment précis, était entouré d'une dizaine d'inferis, d'autres encore à l'écart. Ilian en choisi un qui était plus éloigné et transplanna derrière lui. Il tendit sa torche et l'ex-être pris feu. De sa baguette, Ilian lança le sort inverse à celui d'"Accio" ce qui eut l'effet de repousser la torche cadavresque dans le tapons d'autres cadavres. Certains prirent feu et s'écroulèrent brulant d'autres encore. il n'en restait plus énormément lorsqu'il en vit un se tourner et avancer en sens inverse. Un cris, un cris de jeune fille. Ilian la vit brandissant une torche devant elle alors que l'inferis se trouvait encore à une dizaine de mètres d'elle. Elle longeais les maisons comme pour aller de l'autre côté du troupeau. Ilian effectua une série de transplannage en commençant par le plus proche de la jeune fille et brula chacun des morts restants. Par la suite, il se rendit près de la jeune fillette.

- Ça va aller? Lui demanda-t-il essouflé et étourdi par le transplannage trop fréquent.

- Ou...ou...ou...ou...i... oui... M... m...m...

Parler semblait lui prendre toute son énergie, elle était traumatisé. Ilian lui sourit mais ce sourire s'effaça lorsqu'il vit la torche en détail. C'était une des torche de l'école...

- ...Lain... Où elle est? Demanda Ilian brusquement oubliant le traumatisme de la fillette.

La fillette leva le doigt et pointa le bout de la rue, un maison à la porte défoncé. Ilian se repris en la voyant appeuré et lui sourit.

- Désolé, merci... Tu vois cette maison? Monte à l'étage et tu vas voir une dame qui a très peur, elle a besoin de toi pour l'aider à se remettre. Moi, je vais aider celle qui t'a donné la torche puis je vais revenir avec elle, c'est promis, ça ne sera pas long...

La fillette acquiessa puis entra dans la maison et monta les escaliers. Ilian regarda par la fenètre et vit la lumière de la torche sortir par le trou béant. Il se tourna et courru vers la maison où se trouvait Lain, il ne voulait pas esseyer un autre transplannage car ce serait trop en peu de temps et déjà là, il courrait plus difficilement... Il savait que Lain était en vie, il la sentait en lui, comme si un lien s'était créé. Il entra en prennant au passa un fraguement en long de la porte défoncé en allumant le bout pointu à l'aide de sa torche...

Velvet attendit que la majorité des élèves soient parti et commença ses recherche du dirigeant de ces troupes de morts-vivants. Il franchit la porte et projetta son esprit le plus fortement possible afin de trouver les mangemorts. À ce moment, il frappa un mur, le seul qu'il ait entendu parleur qui pouvait ètre un suffisament bon occlumen pour le bloquer hormis Voldemort était Severus Snape.
Velvet sourit plus fort en sachant que le dirigeant n'était pas Asarius. Il relença son esprit mais évita celui de Severus et c'est à ce moment qu'il se demanda s'il n'était pas devenu fou car il ressentit l'esprit de Junior... Soit il était devenu un fantôme, soit il était passé du côté ennemi... Peu importe la vérité, Junior se trouvait aux côtés de Snape qui n'eut tôt fait de repousser l'esprit de Velvet. Ce dernier était découvert, mais au moins Velvet connaissait l'emplacement du groupe de mangemorts. Il transmit leur emplacement à ses unités par la pensé mais ne leur parla pas de Junior, ce n'était pas une bonne idée. Seul chose qu'il leur dit c'est que ce secteur est à éviter...

Velvet commença alors à chercher les survivants il en trouva plusieurs mais choisi de s'occuper des plus jeunes et des femmes, vieille tradition humaine. Il trouva une femme qui tenait un bébé dans ses bras. Velvet transplanna à ses côtés et incendia le mort qui avançait à pas lent vers lui. Velvet regarda devant lui et vit le cadavre d'un homme déchiqueté... Le dégoutant spectacle lui fit pencher la tête mais son sourrire ne s'effaça pas pour autant. Il releva sa tête et regarda la femme, elle était terrorisé et ça se comprenait, son mari venait d'être déchiqueté devant elle.

- Soyez forte, faites que son sacrifice n'ait pas été vain, faite le pour votre enfant et trouvez un endroit sur. Lui dit-il d'un ton qui eut l'effet voulu : la dame partit en sanglots, signe que le choc était passé et qu'elle allait se remettre bientot.

Velvet déposa una main ferme mais réconfortante sur l'épaule de la dame, lui sourit, la retira et transplanna vers quelqu'un d'autre...

Bruit. Eveil. Douleur. Cri. Hurlement. Vide. Eruption. Formes. Vie. Mort. Visage. Mains. Voix. Pression. Chaud. Glauque. Doux. Humide. Calme. Tempête.
- Silence.

Lärm. Weken. Dermz. Schrei. Hurchal. Leeren. Aubrush. Alen. Leben. Toudim. Gesicht. Händ. Simme. Druck. Hytze. Vlagmesh. Zart. Feush. Ruhe. Stundal.
- Stillanish.

Deux voix différentes. Les mêmes. Simultanées.
Il y a une lézarde au plafond. Des yeux je suis la lézarde du plafond. Le plafond est blanc. Immensément blanc.
Pourtant une couleur rouge teinte mes yeux. Comme avant. Mais ce ne sont pas mes pupilles qui se relflètent à l'intérieur d'elle même. Je n'en ai plus. Depuis longtemps.
C'est autre chose. Un liquide rouge. Un liquide chaud. Du sang.
Ma vision se brouille : on vient d'allumer la lumière. Je ne vois plus rien. Rien à part cette immense marre rouge qui me recouvre les yeux.
Je la sens couler. Couler par tous les pores de ma peau.
Je suis devenu une plaie béante.
Pourtant je ne suis pas encore mort. Pas encore. Je le sais.
Ma tête résonne. Je ne peux pas bouger. Je n'arrive même pas à fermer les yeux pour ne plus voir ce liquide rouge.
J'entends des bruits. Des mots s'échangent mais ma perception est trop brouillée pour que j'en comprenne véritablement le sens.

Voilà maintenant exactement une seconde que j'ai arrêté de crier.

Dans un sursaut de douleur je me redresse. J'arrive à me redresser malgré la douleur qui me lacèrent le corps de part en part.
Une main s'abbat sur moi. Me pousse et me plaque contre la matière douveteuse. Un lit ?
On me parle. Enfin je crois. Mon corps hurle alors je n'entends pas bien. On me dit que tout va aller... A moins que je ne le sente...
Oui c'est ça une senteur diffuse... confuse... mélangée...
- ...ruger... ish... wird gehen... bissash bald... i...

Je tombe. Non. Je retombe dans l'inconscience.

Je crois...

-Oui, tu as raison Angel, mais tu est sûr Lensen?
Jérémie sentait qu'il irritait un peu Lensen et Angel à insisté.
-Bon, on y vas Angel? Tu sais métrise bien le sort d'Incendio, parce que moi c'est pas la joie, dit Jérémie en s'adressant à Angel, bonne chance Lensen, dit Jérémie en s'adressant cette fois-ci à Lensen.
Jérémie reprit sa torche qu'il avait laissé dans le feu pour bien l'allumer.

Ce mini-combat avait fait réaliser les dangers de ne pas maitriser le sortilège incendio à Misha. Elle avait observée la technique de son camarade mais était presque certaine qu'elle n'arriverait pas à la reproduire, il lui aurait fallu plus d'entrainement.
La jeune fille était maintenant bien ancrée dans la réalité, à l'affut du moindre bruit. Elle hocha la tête à l'attention de Raïken, ils continuèrent.
Des flocons se mirent à voltiger, faisant faiblir leurs vues.

Manquait plus que ça tiens!

Mishke reçut alors le message de Velvet, ordre de ne pas s'approcher trop près d'un lieu... Elle n'avait pas bien saisie le nom. Elle se reconcentra. Soudain, elle pâlit. C'était une rue adjacente à la leur. Misha lança un regard vers Wismerhill, avait-il compris lui aussi?
Combattre des Inferiis, pourquoi pas, des loups-garou, à la rigueur, mais des mangemorts!!
Ils n'avaient vraiment pas de chance. Surtout que ceux-ci devaient être extrêmement puissant, d'une part s'ils controlaient les créatures décomposées, et d'autres part si velvet leur avait interdit d'y aller...

Mais il était trop tard, ils y étaient maintenant, plus question de fuir. Misha respira profondément, porta sa main à son ventre et fixa la nuit étoilée.
Enfin, elle ajouta d'une voix étrangement douce et maternelle:

-Il est l'heure... l'heure de se lever et de marcher... l'heure d'avoir du courage... l'heure de se battre pour la victoire... Allons-y.

Jérémie se décida enfin à bouger.

"Mon sort incendio ne marche pas vraiment dans le vide, il faut quelque chose qui brûle pour le recevoir, sans que cette chose ne regorge trop de magie, comme le bois, et après je peux m'en servir comme arme."

Où il avait pensé aller n'était pas loin, il pourrait transplanner. Il se prépara mais pensa à une chose.

"Tu sais transplanner?"

-Euh...oui, oui bien sûr, répondit Jérémie.
Il empogna bien sa torche de peur qu'elle se volatilise pendant le transplannage ce qui était idiot.
-Je suis près, dit-il puis il tourna sur lui-même très fort à l'endroit où...justement voilà le problème Angel n'avait pas précisé le lieu, décidément Jérémie était passif et ne vouliat prendre aucune décision ou bien il n'osait pas, c'était plutôt la deuxième solution.
-On va où en faite? Devant chez Gonzo? proposa Jérémie, il n'était pas sûr de lui, il avait peur d'essuyé un simple refus, c'était peut-être parce que cela rabaisser son égo et parce qu'il souffrait d'un complexe d'infériorité aiguë. Il avait donc peur d'essuyé un refus mais il fallait bien essayé même pour des choses aussi simple que cela comme ça après il arriverait progressivement à ne plus se sentir inférieur.

Citation :

bonne chance Lensen

"Bonne chance de votre côté aussi, n'oubliez pas de ne jamais vous exposer inutilement."

*bon maintenant je suis sûr de me pas me faire repérer*

Lensen empoignas sa baguette et transplannas. La brève période de désorientation passas et Lensen se réparas. Il était à présent dans une vielle échope abandonnée. Des articles plus ou moins douteux y trainaient encore. Le cadavre ensanglanté du propriétaire reposait toujours derrière le comptoir, comme si il aurait hésité à fuir les inferiis.

*Tiens, quand on parle du loup*

Lensen venait de voir l'une de ses créatures en train de grignoter les chevilles du malheureux tenancier. Lensen bondit sur le cadavre et lui écrasas le cou d'un violent coup de pied. Il reculas et brandit sa baguette. Informullément comme d'habitude, il envoyas quatres incendio sur le cadavre. Un à chaque extrémitées Les griffes de la créatures se consummèrent puis vint le tour des bras et des jambes.

*Lensen : 1 , inferiis : 0*

Mais le tout n'était pas joué les braises de l'inferii avait allumé le planché de l'échope. Le feu menacerait bientôt tout le bâtiment si il ne s'en occupait pas. En coutume à son habitude il ne fit que penser la forumlue d'aguamenti. seul de maigres jets d'eau était lancé chaque fois , mais c'était déjà suffisant. Lensen , en ayant finit avec le feu, inspectas l'échope pour être sûr de ne pas se faire surprendre par un autre inferii caché. Cette prévention accomplie, il se postas devant la fenêtre et observas.

- Où sommes-nous ?
Il y avait une porte. Toute noire. Le reste était d'une incroyable blancheur.
- Où sommes-nous ?

Je posais la question toujours et tout le temps.
- Où sommes-nous ?
Mais je le savais déjà. J'étais en moi. Devant la porte fermée.
Qui avait-il de l'autre côté ?
Rien. Evidemment. Cette partie là de ma mémoire était troncquée. Il n'y avait rien.
Dix ans. Dix ans de vie enlevée. Mon nom humain, mon père humain, ma jumelle, mes souvenirs, ma mémoire.
Qui étais-je à cette époque ? Que faisais-je ?

Questions sans réponse qui tournent et retournent inlassablement, langoureusement.
Qui suis-je ?

Changement. Nouveau décor.
Deux yeux rouges m'observent. Il y a une cicatrice en forme de croix. Le symbole de mon clan.
Ces yeux sont les miens - étaient les miens. Rouge.
Les cris de douleurs. Mes mains ouvrent les chairs d'un corps avec un scalpel.
1948, année humaine. Je travaille pour le Seigneur des Ténèbres. Il recherche l'immortalité.
Je l'aide... Peut-être m'aidera-t-il a trouver un moyen... pour mourir.

Autre déplacement. 1969.
Je dois passer le rite de l'âge Second. Convocation chez les Elfes.
Mon doshallow essaye de m'assassiner. Les histoires de famille... Pour l'héritage...
Peut-être que c'est ma mère qui est morte ?
Je suis bannis et mon corps est scellé par les runes.
C'est la fin de mes pouvoirs...

Flash. Trois ans plus tard... 1972. Le Seigneur des Ténèbres est devenu assez puissant pour ne plus avoir besoin de moi. De toute façon j'ai perdu mes pouvoirs.
Aurait-il découvert le secret de l'immortalité ?
Il va peut-être m'accorder la mort. Non...
Il se contente de me brûler les yeux. Pauvre fou...
J'y vois. Je me vengerais.

1981. Le Seigneut des Ténèbres est mort...
Non. Impossible. Il reviendra.
Je dois continuer à m'entraîner. Je dois recouvrer ma puissance pour le jour où nous serons à nouveau face à face.

Lain gravit les escaliers quatre à quatre, projetant son esprit le plus loin possible afin de trouver le second enfant, malheureusement celui-ci semble trop jeune ou trop terrorisé pour être facilement repérable. Elle arrive au second étage, sonde rapidement du regard les pièces, ici ou là des inferis restent, s'accrochent à sa jambes, déchirent la peau de ses bras, lacérent ses joues et toujours elle doit courrir pour parvenir à s'enfuir, à cesser d'avoir peur...

Elle atteint le troisième étage la respiration courte, les larmes aux yeux. Les premières pièces sont désespèrement vides, elle jette un regard à l'escalier qui menait vers l'étage suivant....brisé. Soudain elle se fige,
elle sent une présence, un souffle bien trop calme pour lui appartenir. Elle fait volte face lentement avant de tomber face à face avec le même mangemort que la dernière fois, Adam... Elle se rapproche doucement du mur, comme pour se soustraire à ce regard souverain et mauvais qu'il pose sur elle. Il brandit sa baguette et prend une voix désagréablement calme:

-Tu penses trop fort...Comme toujours....on ne t'apprend donc rien à ton école?
-Vas t-en! Dégage! Sors d'ici! Il y a un enfant à sauver!!
-Allons tu ne comprends pas....qu'importe ces enfants, qu'importe cette ville. Il n'y a rien ici qui vaille la peine, ce ne sont que des faibles ils ont failli... et toi aussi. Rejoins nos rangs il n'est pas trop tard...
-NON!
-Allons... fais-le pour Lynn...tu sais que nous pouvons le sauver...
-..TAIS-TOI!!!!

Il s'approche doucement, la baguette toujours brandit sur la jeune fille qui ne peut plus rien faire. Il pose un à un les doigts de sa main devenue trop blanche sur le cou de sa victime et serre son étau doucement.

-Tu sais que je suis le plus fort...Alors pourquoi joues-tu encore? Tu as perdu Lain...
-Tais-t..
-Tu es ma chose.. tu entends MA CHOSE!!

Des bruits de pas se font entendre, les doigts se resserrent un à un, le paysage se brouille, tout est vague, tout est flou... Adam lui porte un sourire carnassier avant de la gifler avec force en maintenant l'étau de ses doigts sur sa gorge. Il serre de plus en plus fort puis murmure:

-Je te laisse, nous ne sommes plus seuls...Mais tu n'en as pas fini avec moi! Tu m'appartiens! Ne l'oublie pas...

L'homme lâche sa victime et disparaît. Lain tombe au sol, les mains autour de sa gorge, elle cherche à retrouver la respiration qui lui manque et qui lui brûle la gorge, sa tranchée presque broyée par la poignée de l'homme. Les murs dansent... est-ce des pas? Est-ce un homme? un inferis? Elle essaie d'articuler quelque chose mais aucun son ne sort de sa gorge qui lui fait souffrir le martyre et elle étire un sourire triste sur ses lèvres en reconnaissant la chevelure blonde qui s'avance vers elle...

Klaus porta un regard vide à l'assistance et au monstre avant d'avoir un sourire amusé vers Catarina, une meneuse? Certes, il ne connaissait pas ce côté de sa personnalité. Il s'adossa contre un mur non loin, regardant la scène se gardant bien d'intervenir, les mains dans les poches. Il poussa un long soupir et lui qui avait tansplanné là pour être plus tranquille....non décidément quelqu'un avait écrit que ce soir rien ne se passerait comme prévu!

Il attendit plusieurs minutes, les inferiis semblaient en mauvaise posture...Il eut un sourire ironique ce n'étaient pas les seuls. Il fit craquer lentement sa colonne vertébrale, se rétablissant correctement sur ses deux pieds et daigna enfin sortir sa baguette. Il la fit tourner entre ses doigts quelques minutes avec un calme bien plus qu'exaspérant et toujours aussi sûr de lui lança un inferno sur le premier cadavre ambulant que son regard croisa. Celui-ci prit flamme mais alla malencontreusement se jeter contre une pauvre femme qui n'avait visiblement rien demandé à personne. Klaus poussa un soupir d'exaspération avant de lancer un aguamenti et d'ajouter un "Pouvez pas regarder où vous allez, nan??" dont on ne savait pas vraiment s'il s'adressait à la jeune femme ou à l'inferis.

Par la suite il prit plus part au combat, décidé à cesser de n'être qu'un membre plus ou moins passif du décor et à se dérouiller un peu... d'autant que certains inferis commençaient à s'approcher un peu trop près de lui.... mais surtout de Cat.

Il transplana à ses côtés et lança deux ou trois infernos tout en disant:

-Bas les pattes la charogne!! Quand je dis que personne ne touche à Cat ça vaut aussi pour vous!! Allez vous chercher de la chaire fraîche ailleurs....

Il avisa une dame de taille assez imposante et fit un signe de tête vers elle:

-Regardez y'a bien plus à boufferà-bas!!!

Devant le regard un peu courroucé de sa fleur, il esquissa un sourire désolé et prétexta une mauvaise blague due au stress....qu'il avait d'ailleurs bien du mal à ressentir.

Ilian arriva dans la pièce et vit Lain au sol, il avait entendu quelques paroles et des pas, mais ce qu'il avait compris le terrifiait. Il avait entendu les mots "MA CHOSE!" que l'homme avait crié. Il avait vaguement entendu l'homme dire "tu es" juste avant de crier ces deux mots qui laissait croire à Ilian qu'il parlait de Lain. Ilian s'assis à ses côtés et constata qu'elle semblait avoir mal et vit des traces rouges sur son cou, signe d'un étranglement...

- Ça va? C'était qui lui et pourquoi il t'en veut comme ça, ou plutot, pourquoi il te veut comme ça? Dit-il d'un ton inquiet.

Ilian ne savait pas encore ce que l'homme lui avait dit et il ne se doutait de rien de cette histoire, mais il se promettait déjà de le tuer, de le faire souffrir pour Lain et de lui montrer que Lain n'est pas "sa chose" et qu'elle n'est surtout pas une "chose"...

C'est une chose bien étrange de se réveiller dans une chambre toute blanche, sans fenêtre, sans porte...
Ah. Si. Il y a bien une porte... Je ne l'avais pas remarqué tout de suite à la lumière.
Je suis allongé sur un matelas, des sangles parcoure mon corps de part en part, comme si j'avais envie de bouger dans l'état où j'étais...

Je ne peux presque pas bouger la tête, je me contente de regarder ce plafond tout blanc... Il y a une lézarde...
La fissure n'est pas énorme, mais assez grosse pour que je puisse la voir.

Le mur souffre-t-il comme moi ?
Je ne ressens rien à part la douleur. Elle m'empêche de bouger mes membres... à moins que ce ne soit ces sangles.

"Crouic."
La porte s'ouvre. Je ne m'en préoccupe pas. Pas vraiment. Je n'ai pas la tête à ça. J'ai compris une chose. Si je souffre c'est parce que je suis encore vivant.
Mais la souffrance n'est pas assez grande pour que je sois mort.

Un visage se penche au-dessus de moi. Enfin... si on appelle ça un visage. .. Sur sa tête il y a une espèce de bonnet et sur son faciès se trouve un masque qui lui couvre le nez et la bouche.
Bizarrement j'ai l'impression de me revoir. Avant. Il y a longtemps. Si ce n'est que l'homme devant moi n'a pas les yeux rouges... ni les cheveux noirs...
Il est roux et je crois que ces yeux sont bleux. Je n'en suis pas sûr, la lumière me gène...

Il tend une main vers moi. Il tient une sorte de gobelet dans la main. Il m'ouvre la bouche et me verse un répugnant liquide chaud à l'intérieur.
Je tousse, je grogne, je veux lui dire d'arrêter, de ne pas me toucher avec sa sale odeur...
Mais je n'ai pas la force d'articuler des morts... ou de bouger...

Mes yeux tombent sur mes paupillères. Je vais dormir. Encore...

Trois monstres sur sa gauche, deux sur sa droite, et d'autres plus loin. Lensen savait qu'il devais en finir avec ces cinqs-là avant de songer à sortir. Il empoignas un étrange onjet en métal qui ressemblait à une rose dews vents et la lanças de toutes ses oforces sur la fenêtre. L,objet acéré la traversas sans mal, laissant un trou de 10 centimètres de longuer et de 5 centimètres de hauteur : C'était parfait. Lensen passas le bout de sa baguette à l'extérieur et visas l'inferii le plus proche, procédant comme avec celui à l'intérieur il lui enflammas les extrémité. Le feu dévoras les chairs moisies et convergèrent vers le centre. Se délaissant de sa proie, Il fit subir le même traitement au second inferii sur sa droite. Ils l'auront finalement eu, leur repos éternel. Malheureusement Les inferiis à gauche repérèrent Lensen et avancait lentement vers la fenêtre. Lensen en embrasas un troisième mais il ne s'arrêtas que quand il fut entièrement consummé par les flames. deux inferiis grattait la porte, Lensen ne pouvait les viser de son bunker improvisé dsans briser sa baguette. Il ouvrit la porte et reculas rapidement , les deux monstres rampèrent lentement comme dans un autre monde. Lensen les embrasas à leut tour sans prononcer un mot. Les cadavres continuèrent d'avancer un moment et s'arrêtèrent, leur malédiction étant levée. Mais même après leur mort ils posaient un problème à Lensen car ils menacait d'embraser le bâtiment.

*Et merde... Aguamentit! Aguamentit!*

Les flames embrasaient le sol de l'échoppe et Lensen mit une dizaine de minute à l'éteindre. Il sortit de l'échoppe et reçus le message mental de Velvet lui disait d'éviter un certain secteur. Lensen regardas à l'angle des deux rues.

*Et merde! je suis en plein dedans!*

Lensen projetas son esprit mais il n'était pas un bon légiment et à part l'esprit tordu et confus des inferiis, qui étaient en plus grand nombre qu'il pensait, il frappas quelques murs glacés, surement les mangemorts...

*Comment de chance j'avais de me transplanner dans le même secteur que les mangemorts? Je suis vraiment maudit!*

Lensen se recampas devant la fenêtre-bunker et refermas la porte. Il tentas de localiser les mangemorts tout en espérant ne pas les trouver, et ne pas être lui-même découvert...

Lain regarda Ilian dans les yeux, elle était presqu'au bord des larmes, fatigue, douleur, peine, froid...Elle tenta d'articuler une phrase, mais ce qui aurait du être un son ne se réduisit qu'au silence. Pour le moment rien ne comptait si ce n'est la vie de l'enfant à l'étage supérieur, cet enfant devait survivre, devait vivre.

Lain prit la main d'Ilian pour s'aider et se concentra autant qu'elle le pouvait pour passer un message à Ilian: "L'enfant....étage...supérieur...tu dois...le...sauver" C'était trés décousu mais il lui était difficile de se concentrer. Elle inspira et lâcha sa main, déisgnant d'un signe de tête la porte pour appuyer ses pensées. Ilian hésita puis se décida à passer devant.

Elle attendit de le voir disparaître pour tenter de se lever en s'appuyant au maximum contre le mur, l'oxygène lui manquait, sa tranchée avait du mal à se remettre. Elle vit le monde tourner et s'écrasa lourdement sur le sol....elle eut un mince sourire, finalement elle l'attendrait là. Elle saisit sa baguette et la serra de toutes ses forces, comme sil elle avait pu conjuré ses peurs puis attendit simplement que les secondes passent, cherchant à oublier la douler, à passer outre le froid.

Ilian ne voulait pas la laisser seule là, il avait peur que l'homme reviendrait. Il décida donc de garder un contact spirituel avec elle, gardant une partie de son esprit toujours collé sur elle, comme ça il saura s'il lui arrive quoi que ce soit. Il grimpa les marches trois à trois et arriva à l'étage en quelques secondes. Il entendait un enfant pleurer silencieusement.

Ilian jeta un regard panoramique dans toute la pièce, l'enfant n'était pas loin mais il ne le voyait pas.

- Ne t'inquiète pas je ne veux pas te faire de mal, je suis là pour te sauver...

L'enfant sembla pas pour autant se calmer car Ilian l'entendit gémir. À ce moment il put enfin voir une silouhette dans l'ombre. Ilian alluma sa baguette d'un lumos et éclaira le petit garçon. Il sourit et s'en approcha. S'asseyant à ses côtés il le regarda dans les yeux avec un sourire amical.

- Ça va aller? je vais t'emmener dans une autre maison avec une grande personne et une fille un peu plus vieille que toi, si je transplanne ça te va? Si non nous alons devoir marcher...

L'enfant se recroquevilla plus et laissa échaper un gémissement sourd. Ilian prit ça pour un oui au transplannage et un non pour marcher et plaça un main ferme sur son épaule et imagina le grenier comme il était avec la fillette et la dame puis fit un mouvement de rotation pour transplanner.

Il réapparu dans la petite pièce chauffé par la torche toujours crépitante de la fillette. À l'arrivé d'Ilian, la fillette cria de joie et courru vers le petit garçon qui lui aussi avait reconnu sa soeur. Il marcha d'un pas chancelant vers sa soeur et commença à pleurer sur son épaule. La fillette remercia Ilian.

- Merci de l'avoir sauvé! Lui dit-elle.

- Oh il n'y a pas de quoi, mais je vais devoir y retourner, je revien dans pas longtemps, la rue est déserte et il n'y a plus aucun inferii... enfin pour le moment... Je vais revenir. Répondit-il.

Ilian retransplanna devant la maison ne se rappellant plus trop de la salle où il était avec Lain et retourna la voir. Il la vit couché sur le sol respirant de peine et de misère.

- Tu peux marcher? Lui demanda Ilian.

Lain fit un léger signe que non et Ilian décida d'envoyer un message à Velvet pour lui donner le résultat dans cette partie de Pré-Au-Lard et lui dire qu'il allait rester avec Lain le temps qu'elle se remette sur pied mais qu'il viendrait au premier appel à l'aide. Il détailla du regard la pièce pour se permettre d'y transplanner la prochaine fois et retourna son attention sur Lain.

- On va aller retrouver les trois personnes que l'on a sauvé ok? Je vais transplanner là bas.

Lain ne bougea pas mais Ilian devina qu'elle approuvait et il transplanna dans le grenier...

Lensen observas pendant quelques minutes les bâtiments aux alentour et repéra le bâtiment qui devait, selon lui, abriter les mangemorts, c'était une vielle maison de trois étages, La vue pourrais permettre aux mangemorts de surveiller se qui se passe loin à la ronde sans quitter se petit poste d'observation improvisé. Lensen observas plus attentivement la fenêtre. il appercut un visage encapuchonné qui le fixait. Lensen se retiras rapidement de la fenêtre : Il était repéré. La respiration de Lensen se sacadas. Il avait réussis à déjouer les mangemorts une fois mais c'était par pure chance. Il n'avait aucune chance de pouvoir éléminer toute une escouade. Et de plus il avait été prévenu à l,avance que le mangemort l'attaquerrais la dernière fois. Mais aujourd'hui, ils avait l'initiative. Et Lensen ne pouvait que rester ici à attendre --

"Mais Qu'est-ce que!?"

L'interrompant dans ses réflexion , un inferii avait agrripé sa jambe. Lensen avait du ne simplement pas le voir tandis que celui-ci se goinfras du cadavre du tenancier. Son repa fini l'inferii s'était mis en quête d'une autre proie. Plus part réflexe que par nécessité, Lensen Écrasas son pied sur le monstre. Malgré les coups le monstre ne bronchait pas.

"Incendio! incendio!"

Lensen continuas à faire pleuvoir les coups sur les mains de l'inferii pour se dégager tandis que les flammes progressaient sur les jambes du monstre. La taille s'embrasas, puis le thorax. Grâce à l'énergie du désespoir, Lensen se dégagea et éteignis les restes de l'inferii

*Lensen : 7 , Inferiis : 0*

Lensen repris son poste à la fenêtre et observas la silhouette capuchonnée dans le bâtiment mangemort. Il fixas le silhuotte un instant. La silhouette aussi le fixas. Puis sans crier gare la silhoutte disparus de la fenêtre et descendit ules escaliers. puis ceux du second étage. Il était maintenant au rez-de-chaussé et l'onbervait de la fenêtre près de la porte. Lensen courus se réfugier derrière le comptoir et projetas son esprit.

**Velvet, C'est Lensen, j'ait éléminé les inferiis sur Kingston Street mais j'ait un petit poblème... Et c'est les mangemorts**

Catarina ne savait pas si elle devait bien ou mal prendre la remarque de Klaus. Elle se contenta de lui rappeler qu’elle n’aimait pas les êtres gris et froid et qu’il ne devait pas se sentir menacé par eux. Après un clin d’œil elle se retourna et continua le combat. Elle ignorait comment se débrouillait les autres. Elle savait cependant que l’endroit ou Velvet avait interdit l’accès n’était pas si loin…

Elle eu alors un mauvais pressentiment, Catarina se tourna vers Klaus et à ce moment une masse qui faisait trois fois sa corpulence l’agrippa solidement et dans un bondissement l’arracha du sol. Elle voulut crier, mais la bête l’en empêchait. Elle eu un haut-le-cœur lorsque la chose sauta dans les air et atterrit quelques mètres plus loin sur un toi. Le temps qu’elle se rende compte de ce qui arrivait, elle se retrouvait dans une chambre d’une auberge. La chose la plus troublante était que devant elle se trouvait un loup-garou…Celui-ci se démétamorphosa et lui adressa la parole.

- Bonjour gente demoiselle, je m’appel Fenrir Greyback…

"-Gonzo? Tu veux pas plutôt dire Zonko, car je ne vois ce qu'est Gonzo. Peut être que je me trompe."