Mission 3: La nuit des morts-Vivants

Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi. Mais en tout cas, quand je me réveillais, l'homme était toujours là. Il me tournait le dos, il semblait être en train de visser quelque chose sur une table embarrassé de flacons contenant des liquides de toutes les couleurs
La douleur dans mes muscles semblait s'être estompé. Probablement la potion de...
- On est où là ?

L'homme surpris se retourna. Il eut un petit rire nerveux comme si je venais de le prendre en faute. Il me répondit d'une voix qui semblait trop détendue...
- Nous sommes à l'hôpital de St Mangouste. Vous avez été hospitalisé d'urgence pour diverses fractures, morsures, hémorragies internes et perforation d'un poumon... entre autres. Il sembla insisté sur le "entre autres".

Oui... On pouvait dire que j'avais dégusté. J'avais encore le cerveau embrumé par la douleur et l'effet de la potion mais je savais que quelque chose ne tournait pas rond... Co... Comment avais-je atterri ici ?
La dernière chose dont je me souvienne était cette armée d'Inferiis se jetant sur moi près à me bouffer...

- C’est quoi votre « entre autre » ?
L’homme sembla assez embarrassé…
- Les morsures… les blessures magiques… vous comprenez ?
Un nœud sembla se former au creux de mon estomac.
- Non… Pas vraiment.
Un sourire nerveux s’afficha cette fois-ci sur le visage de l’humain.
- On a du vous amputer la jambe gauche au-dessous du genou. lâcha-t-il d’un trait.

J’aurais voulu répondre « Pardon ? » mais mes mâchoires semblèrent obstinément collées l’une à l’autre. Je déglutis péniblement.
Toujours attaché par des sangles, j’essayais de lever la tête de quelques centimètres pour regarder là où aurait dû se trouver mon pied…
A la place il n’y avait rien… Le drap dont j’étais recouvert était lisse et plat à l’endroit où autrefois ce que j’avais appelé ma jambe gauche aurait dû être.
La boule dans mon estomac sembla vouloir remonter dans ma bouche mais s’arrêta au niveau de ma gorge, en me coupant la respiration.

Mais quand je sentis le regard de l’humain se poser sur mon avant-bras droit, je sentis que les ennuis ne faisaient que commencer…

-Oui, c'est ça excuse moi, bon tu es d'accord? Parce qu'on devrait peut-être partir quand même, ça fait 20 minutes qu'on attend, et sans même attendre le réponse de Angel, Jérémie se concentra sur le magasin abandonné et tourna sur lui même...puis au bout de 2 secondes il se retrouva devant la vitrine brisée et recouverte d'affiches en tout genres.
Aller c'est partit.
Il attendit Angel mais un Inferis, qu'il n'avait pas vu, s'agrippa à sa jambe et mordit le cuir de sa chaussure, Jérémie poussa un cri et de son autre pied, qu'il leva et abattit avec force, il écrasa à moitié la tête de l'Inferis.
Jérémie émit un gémissement à la vue des insectes et du cerveau pas tout à fait décomposé de l'Inferis. Mais celui-ci continué d'essayer de mordre l'apprenti aurore car il lui restait les trois quart de sa bouche intact puis Jérémie abattit sa torche dans le trou béant du crâne de l'Inferis et écrasa le cerveau mais cela ne suffisait pas il attrapa une planche restait là et l'abattit avec perte et fracas sur le coup de l'inferis qui se brisa.
Que la fête commence pensa t-il avec amertume.

Wismerhill gisait toujours contre le mur, le stupéfix l’avait mit KO, il rêvait de pyramides géantes, de tombeaux pharaoniques et de jolies égyptiennes.

Dont une, au regard pénétrant, aux formes appétissantes et aux cheveux jais ondulés, qui avait ravi son cœur, et chaque nuit, il pensait à elle.

Son esprit voguait ainsi entre différents souvenirs, parfois tout droit sortit de son imagination, parfois réel.

Plusieurs fois il essaya de se réveiller, mais le sort le maintenait stupéfixié. Il replongeait alors de nouveaux dans des songes plus ou moins agréables...

[HRP] Angel, s’il te plais, comme la si bien dit Nemesis, ne fais pas des rps de deux lignes, en plus de casser le rythme, tu ne fais pas avancer l’histoire, juste pour une faute de frappe. Merci [/HRP]

Alhrune avait attendu jusqu'à ce que le dernier élève parte. Elle resta quelques minutes encore, pas vraiment décidée à aller se battre puis prit son envol. Il lui fallait d'abord retrouver Nash...

Elle se posa non loin de là et émit un long sifflement. Bientôt l'air se mit à vibrer et Nash vint atterir às es côtés, elle flatta le cou de son compagnon et grimpa sur son dos. Nash prit son envol avec lenteur et alla survoler le village.

Il fallait débarassé les rues le plus rapidement de la charogne, cette mission n'avait pas grand intérêt. Alhrune avait toujours voulu être aurore pour pouvoir lutter activement contre les mangemorts, avoir sa vengeance d'une certaine façon et là voilà qui se retrouvait à balayer leurs ridicules pantins...Elle eut un soupir de dédain et laissé Nash cracher un premiet jet de flammes. Aussitôt une dizaine d'inferiis se mirent à s'agiter en tous ses véritables torches vivantes...mort-vivantes.

Alhrune sortit sa baguette et lança un ou deux aguamenti sur les bâtiments qui commençaient à prendre flammes, rien de palpitant. Elle fit ainsi plusieurs rondes, attendant un signal ne cherchant pas réellement à se joindre à la bataille. Sa seule satisfaction serait de constater les dégâts parmi ses troupes car nuls doutes que ce soit encore il y aurait des dégâts...

.Jérémie s'était bien trompé, cela aller, Angel pourrait donc transplanner car il savait où se trouvait Zonko. Jérémie avait pris les devant, Angel le suivit. Quand il arriva, il vit Jérémie anéantir avec du mal, mais y parvint, un inféri. Mais comme l'hydre quand on lui coupe la tête, deux repoussent, deux inféris arrivèrent dans leur direction. Angel tenta donc de lancer sa torche, mais remarqua avec horreur qu'en transplannat il avait oublié son arme enflammée derrière lui.

*Putain comment on va faire. De plus Jérémie qui est blessé!*

"INCENDIO!"

Angel essaya alors tout de même le sort de l'incendio. Des petites flammes jaillirent, on été loin d'une barrière de feu, mais cela suffit à mettre feu à des planches de bois qui devaient provenir du magasin de farces et attrapes qu'Angel avait connu luxuriant est remplis de sorciers et sorcières de tout âge. Mais e ce moment ce n'était qu'une battisse désolé, où il manquait des bouts. Cela donnait l'impression de voir une maison abandonnée depuis des siècles. Il prit Jérémie par le bras, et le tira à l'intérieur de la boutique, tandis que les flammes ralentissaient cette armée des morts

Angel le tira par le bras dans le magasin abandonné mais Jérémie trébucha sur une marche et sa tête rencontra le coin d'une planche du pas-de-porte, et se mit à saigner, la vue de Jérémie commençait à se brouiller.
Merde, j'ai mal!
Il avait mal, à chaque fois qu'il avait mal il se sentait mal : il divagué légérement même avec une "petite morsure".
-Euh...Angel, euh...c'est qui les monsieurs qui marchent pas droits, qui on les mains tenduent et qui se dirigent vers nous?

[hrp] Jérémi, concentrez vous sur les inferiis, il n'est pas suposé y avoir de mangemorts autre que dans le secteur où sont les autres et ils sont suffisent! S'il te plait, éditer et laisser tomber les mangemorts, si tu y tien eh bien bon ok ça va, mais il serait mieux que non car les attaques d'inferiis sont des attaques "d'inferiis", les mangemorts ne sont là que pour les contrôler, ils ne sont pas suposé attaquer.[/hrp]

Si l'homme avait paru gêné, ce n'était nullement pour m'avoir coupé un bout de jambe... C'est qu'il avait découvert la Marque des Ténèbres sur mon bras...
Voilà qui expliquait pourquoi j'étais sanglé ainsi sur le lit de réanimation dans une pièce totallement close. Deux ou trois chasseurs de mages noirs devaient m'attendre à la sortie, derrière cette grosse porte blanche, pour m'amener...à Azkaban.

Même si mes rapports avec le Seigneur des Ténèbres avait cessé depuis presque de cinquante ans, le ministère de la magie serait trop heureux d'envoyer un porteur de la marque croupir en prison pour démontrer les talents de leur nouvelle invention de l'Ecole des Aurores dont j'avais rappelons-le infiltré les rangs avec une facilité... déconcertante.

Je suppose que si les Détraqueurs avaient été encore au service des sorciers, le ministre aurait certainement voulu qu'ils me fassent un petit bisou pour m'envoyer dans les limbes à jamais.

Je m'éclaircis la gorge. Il fallait faire comme si je n'avais rien remarqué...
- Je suppose que vous allez me détachez maintenant ?

L'homme recula d'un pas, se plaçant dos à la porte.
- N... Non... Vous ne comprenez pas ? Si on vous découvre nous allons avoir de graves ennuis tous les deux...

La réponse du médicomage me laissa un moment sans voix... Un espion...

Fenrir avait ratissé une ruelle entière avant de sentir une odeur autre que celle des putrides inferïs…Il avait sentit un nectar, jeune….Douce…et bouillante à la fois…Il sentait l’odeur du sang. La jeune femme semblait sublimes, exquises…Il en mourait d’envi…Elle faisait naître en lui un désir profond. Tant de bouillonnement dans un emballage doux et sucré….

Fenrir courut à quatre pattes avant de grimper sur un mur et de s’avancer sur un toit. Elle était là en bas…Une ravissante jeune femme, aux longs cheveux bruns. Si belle, si jeune, si passionnés…Fenrir bavait sur le toit. Elle dégageait un fumet digne des plus grands gourmets. Il en avait faim. Si belle, elle était si attirante. Fenrir n’e se pouvait plus d’admirer ainsi son exquise beauté sans pouvoir se rapprocher d’elle.

Il sauta et empoigna la jeune femme avant de bondir de nouveau et de l’emmener dans une chambre désertée d’une auberge. Il la regarda avec amour et appétit. S’était le sommet, le paroxysme de sa concupiscence. Il la voulait maintenant, il la voulait pour lui seul…Si belle, si exquise, si jeune, si bouillante, si douce…..Il voulait se fondre en elle. Mais il en oubliait les bonnes manières…

- Bonour gente demoiselle, mon nom est Fenrir Greyback...

Catarina sentit ses jambes défaillirent. Devant elle se trouvait l’être le plus ignobles et le plus malsain qui existait sur terre. Elle ne devait cependant pas le laisser l’intimider. LA première bataille à gagner avec ce genre d’individu est psychologique.

- Je ne croyais pas qu’en forme de loup vous pouviez avoir le conscient de parler…

- Nous ne le pouvons pas tous, mais que voulez-vous ma chère je suis le meilleur…

- Vous n’êtes rien, et je ne suis pas votre « chère ».

- Nous vous avez raison, vous n’êtes pas ma « chère », mais vous êtes cependant bien en chaire…

- Car les loups-garous font de la poésie désormais?

- Lorsqu’ils ont quelques choses d’aussi exquis certes…

Catarina dégluti ça s’annonçait mal…Elle n’arrivait pas à le désarçonner...

- Alors vous allez vous nourrir de la chose si exquise que je suis!?

- Pour sûr que nom, ma chère, j’ai d’autre plan…Vous êtes trop merveilleuse pour vous gâcher en simple hors-d’œuvres….

Catarina lui flanqua un coup de pied dans la mâchoire alors qu’il s’avançait vers elle. Elle s’esquiva et se jeta par la fenêtre. Elle senti une atroce brûlure dans le dos. Elle devait s’être coupé avec la vitre. Elle tomba d’un étage et se releva avec peine. Elle courut vers l’endroit ou devait se trouver Klaus le plus rapidement possible, avant que la bête loup lui cours après.

Dans la chambre de l’auberge Fenrir se léchait les griffes…Un sang si exquis….Elle deviendrait tout comme lui un loup-garou…Il avait réussis à se trouver…Une femme…Il hurla dans la nuit…

Que craignait donc cet homme ? Peut-être ma tête ne lui revenait pas... En tout cas cet humain avait l'air bien trop jeune pour avoir été au service du Seigneur des Ténèbres quand moi j'y étais...
Il devait a peine avoir une quarantaine d'années à tout casser.
Et me faire évader d'un hôpital n'était pas aussi délicat que si j'avais été derrière les barreaux de la prison d'Azkaban même sans les détraqueurs...

- Je vous ai installé un tube à prothèse sur la jambe... Enfin... Je... voilà...
- Une quoi ?

Je revins douloureusement à la réalité... Avec une seule jambe, je n'irais nul part...

- La... La prothèse est presque prête il me suffit juste de faire les derniers réglages de taille, je vous laisserais une béquille et vous vous débrouillerez TOUT seul !

Ah. Evidemment. Si je partais en compagnie d'un médicomage dans l'état où j'étais et surtout avec la marque sur mon bras, cela attirerait les soupçons et nous nous retrouverions tous les deux en délicate situation.
En plus, avoir un mouchard à St Mangouste pouvait se révéler capital


- Ca va faire mal... Je vous préviens. Je vous rendors et dans quelques minutes vous vous réveillerai et je ne serais plus là. D'ailleurs vous ne m'avez jamais vu... hein ?

Tout en parlant il leva une grosse barre métallique ressemblant plus ou moins à une jambe qu'il installa sur le lit d'hôpital après avoir relevé le drap. Il emboîta la jambe dans le tube qu'il avait installé.
- Il ne reste plus qu'à souder la partie métallique à la jambe. Allez... Prenez ça et dormez...

Il retira de sa veste une fiole qui contenait le même liquide qu'il m'avait fait ingurgiter avant de m'installer le tube. Il versa le contenu sur mes lèvres tuméfiées et mes paupières devienrent lourdes... très lourdes...

Et la nuit ne faisait que commencer...

Jérémie se caogna la tête, Angel le ramena encore plus dans le magasin de farces et attrapes. Il saignait beaucoup.

*Il ne manquait plus que ça. En plus des morsures, voilà qu'il s'est cogné la tête.*

Jérémie voyait des hommes avançé vers eux. D'après la description qu'il donna, ils semblerait que se soit des mangemorts. mais Angel avait beau regarder où il voulait, il n'y avait aucune trace des ces hommes.

"Jérémie, tu délire. Il n'y a personne ici à par nous. Il faut que tu te calmes."

Angel disait ceci, mais lui n'était pas calme. Apparement Jérémie était au plus mal au points, et Angel ne connaissait aucun sort de guérisons. Il tenta tout de même de mettre ses mains sur les blessures. Il ignorait pourquoi. Les inféris ont apparement eut raison du feu, car à présent on les entendit essayer de faire tomber la porte. Les blessures de Jérémies, et les mains d'Angel se trouvèrent entourées d'un halo d'or. Angel crut qu'il délirait à son tour car il voyait les blessures de Jérémie se guérir petit à petit. Les inféris eurent raison de la porte, et ils entrèrent dans la boutiques. Le halo disparutr alors aussitôt, et Angel analysa que les blessures ne s'étaient pas guérries d'un pouce, apparemnt il avait halluciné.

[HRP: Voilà j'espère que c'est bon. J'ai fait comme si Jérémie délirait à cause de son choc. Comme ça il n' a pas besoin d'éditer, et il n'y a pas de mangemort. Si celà ne va pas, dites-le et je changerais.]

[hrp]: j'ai édité et j'ai mis que des inferis se dirigaient vers Angel et Jérémie ( je me cite : "-Euh...Angel, euh...c'est qui les monsieurs qui marchent pas droits, qui on les mains tenduent et qui se dirigent vers nous?") mais c'est pas grave. Donc si j'ai bien compris Angel à rêver que je me faisais soigner par un halo doré. Bon je continu.[hrp]

-Angel, tu vas pas qu'on aille au Trois Balais pour boire un p'tit coup?
Steuplééh! supplia Jérémie encore en plein délire.
Les Inferis avaient fracassées la porte et se dirigeaient maintenant vers les deux élèves aurores, les affreuses créatures s'approchaient de plus en plus d'eux et des filées de bave coulés "gracieusement" le long des bouches en décomposition des Inferis.
Méchantes bêbêtes
Soudain Jérémie se débattit pour prendre tout ce qui lui passait sous la main comme des briques, des planches et commença à les lancer sur les cadavres ambulants.
-Sales Monsieurs qui puent, prenaient ça dans la face! cria Jérémie, toujours en plein délire, à l'encontre des Inferis, espèces de sales gens qui puent, gna!
Bien que les lancés de Jérémie n'était pas très concluent, un Inferis prit une brique en pleine tête, celle-ci roula sur les planches et vers la porte puis finit par tombée dans la neige, dehors.
Angel tira Jérémie vers l'escalier/l'arrière de la boutique/le sous-sol.
[hrp]: choisis le lieu ou bien si il y en aucun qui te convient , et bien fais comme tu veux.[hrp]

Lain avait la tête qui tournait, discernée Ilian dans l'étalage de lumières flous qui dansaient devant ses yeux n'avaient pas été chose aisée et pourtant elle savait qu'il était là. Elle le laissa transplaner, ne pouvant de toute façon assurer aucune résistance et se retrouva bientôt sur le sol du grenier.

Elle reconnut vaguement la jeune fille de l'appartement et le petit garçon qu'elle tenait ne pouvait être autre que son frère, ils se ressemblaient trop. Elle leur sourit vaguement puis s'accrocha au bras d'Ilian pour rester debout. Tout commençait à reprendre sa place, sa respiration revenait peit à petit et sa gorge brulait moins.

Au bout de quelques minutes elle lâcha le bras d'ilian et lui sourit. Toujours incapable de parler elle luit fit un bref hochement de tête pour lui faire comprendre que ça allait et lui jeta un regard interrogateur pour connaître la suite des événements.

Ilian remarqua le regard interrogateur de Lain et lui répondit.

- On reste ici quelques temps pour s'assurer que ces trois damoiselle soient en sécurité, il faut attendre qu'une fortification soit faite pour accueuillir les survivants, si non il serait trop simple pour les Inferiis de les retrouver. De toute façon...

Ilian n'eut pas le temps de finir sa phrase que du feu s'engouffra par la fenètre, beaucoup de feu. Ilian, par pur instinc, se placa devant Lain, dos aux flames et la couvrit. Il sentit rapidement son dos chauffer et se mit à crier de douleur.

- ARRRRRRRRRRRRRRRRRGGGGGGGGG!!!!!!!!!!!!!!!

Le cuir de son coat commença à fondre au moment où la maison se fit aroser par de l'eau... Ilian, malgré la douleur, se dirigea vers la fenètre pour voir ce qui avait causé ça bien qu'il s'en doutait déjà...

- Alhrune...

Ilian enleva son long-coat qu'il coucha au sol.

- Reparo!

Le trou de cuir fondu se referma et Ilian pointa sa baguette dans son dos et répétant la même formule et son gilet se reconstitua dans son dos, cachant sa blulure...

- Il va faloir que j'aille voir Karen... Mais qu'est-ce que mon dos vous a tous fait! Lança Ilian sur un ton ionique.

Les infâmes créatures étaient trop proches pour lancer le sort de feu, Angel préféra alors s'éloigner et mettre à l'abri Jérémie qui n'avait toujours pas trouvé sa tête, il emmena derrière le comptoir, puis dans l'arrière boutique.

"Ne bouge pas, je vais m'en occuper!"

Il laissa alors Jérémie seul, puis Angel partit à la rencontre des Inféris.

"CREVEZ TOUS"

-Nan, 'veux pas resté tout seul, 'veux allé au Trois Balais avec toi Zanzel! OUINNN!!! mais Angel n'avait sûrement pas entendu car il se battait déjà contre les Inferis.
[hrp]:si la suite vous conviez pas ou si vous trouvez ça trop facile et bin dîtes le-moi et j'éditerai[hrp]
Tout d'un coup Jérémie revînt à lui.
Merde, qu'est-ce qui se passe? J'ai mal.
Jérémie mit quelques secondes à recouvrait ses esprits puis se saisit de sa baguette et cria à Angel :
-Angel, je vais mieux! Tu as besoin d'aides peut-être? et Jérémie jeta un Incendio à l'Inferis le plus proche mais il ne s'échappa de sa baguette qu'un mince filé de flamme cela devait être dû à sa reprise d'esprits subite.
C'est pas vrai, ça arrive qu'à moi.
Jérémie, qui savait mieux métrisé le sortilège de lévitation (Wingardium Leviosa), fit lévité la caisse enregistreuse encore présente, il entendit le tintement des pièces qui étaient encore dans la caisse.
Il faudrait que je pense à récupérer ses pièces, en ce moment je n'ai plus trop d'argent, pensa Jérémie.
Puis il l'a lança dans le tas d'Inferis et la caisse faucha une tête et fit tombé un mort-vivant.
[hrp]:désolé j'ai pu d'inspiration et je peux pas finir vu pour l'instant donc je vais essayé de continuer demain, encore désolé.[hrp]

Encore... Cette fois-ci le réveil fut encore plus douloureux. Non pas que les effets de la potion se soient atténués mais c'était un autre mal. Un mal intérieur qui rongeait mon esprit.
J'en avais assez de tout ça. Les vengeances, les secrets, les souffrances... C'était peut-être ça se sentir "vieux"...
Quelle décadence.

Je mis difficilement sur les coudes. Les sangles avaient été relâchées de façon à ce que je puisse facilement m'extirper du lit d'hôpital.
Je regardais la bosse que formait "mon nouveau pied" caché sous le drap. Une sorte de vide c'était formé comme si un trou noir avait aspiré mon membre. Evidemment, c'était à cause des nerfs... La magie ne résolvait pas ce genre de problèmes... pas encore du moins.
Je devais m'estimer heureux, d'après les dire du Médicomage la découpe avait été effectué au-dessous du genou. Je pourrais donc plier la jambe et ça m'éviterais d'avoir besoin d'un appui pour marcher.

Je relevais peu à peu le drap pour me lever complètement. Ma cuisse apparut la première suivit par mon genou... Le reste...
Le reste n'était qu'un enchevêtrement métallique boulonné à un socle qui reliait la chair au métal...
*Maintenant on dirait cet Aurore... Fol Œil je crois...*
En se mettant debout la sensation fut encore plus étrange. C'était comme si j'étais sur un pied sans avoir à forcer pour garder l'équilibre... C'est ça qui était déséquilibrant !

Je fis quelques pas.
Bong... Bong... Bong...
Ce n'était vraiment pas l'idéal pour être discret. Mais il fallait faire avec, pas le temps de m'appitoyer sur moi-même, je devais sortir d'ici.
Regardant autour de moi, je vis mes affaires plier sur une petite table. Au moins je cacherais la marque et la jambe, ce n'était pas si mal...

Après m'être habillé, je me dirigeais vers la porte, tournais la poignée...
Et la lumière m'aveugla...

Lain n'avait rien vu venir le feu, Ilian, l'eau... Tout s'était passé trop vite. Pourtant la phrase d'Ilian la ramena à la réalité, son dos devait ête drôlement brulé et en même temps un sentimen de culpabilité vint empourprer ces joues au rappel de la blessure qu'elle lui avait fait.

Elle essaya de parler mais toujours en vain et elle se mordit la lèvre de rage si violemment qu'elle se mit aussitôt à saigner lui offrant un atroce goût ferreux dont elle se serait volontier passé. Il est assez étrange la façon dont laquelle l'impossibilité de crier, hurler, piétiner a tendance à augmenter la colère...Surtout chez quelqu'un de naturellement prédisposé à ce genre de petites crises.

Finalement la vue des deux enfants la calme instantanément et elle se laissa choir sur le sol. S'il fallait attendre à rien faire, alors autant le faire dans de bonnes dispositions! Elle sourit à Ilian et se concentra autant qu'elle put. Ce qu'elle voulait c'était froler l'esprit de Karen et réussir à délivrer un court message. Il lui sembla y parvenir et elle jeta le plus rapidement et le plus clairement possible:

-Si vous n'avez pas de grands blessés, nous aimerions bien quelques soins par ici, pour Ilian surtout qui semble brûler...peut-être au 3eme degré, je ne sais pas.

Elle revint aussitôt à la réalité et lança un sourire timide à Ilian, elle ignorait s'il était au courant de "l'appel mental" qu'elle venait de lancer. Elle s'approcha de lui, l'embrasse pour l'empêcher de protester et retira sa veste en cuir et sa chemise pour pouvoir voir sa blessure. Elle détacha enfin ses lèvres des siennes et alla se placer derrière Ilian, affichant une mine inquiète et circonspecte. Un sourire triste vint s'afficher sur son visage, il devait souffrir et cette simple idée était une véritable torture.

Ce ne sentait pas bon. On pouvait même dire que ça puait vraiment... Dans les deux sens du termes :
L'odeur d'humains que dégageait l'hôpital St Mangouste était abominable. Ma gorge était en feu et je manquais presque de m'étouffer.
Ensuite la situation dans laquelle je me trouvais ne me plaisait pas mais vraiment pas du tout. Les spots lumineux des couleurs m'empêchait de voir le bout de mes pieds et je ne savais pas dans quelle direction aller. Si je commençais à avoir un comportement trop bizarre, un médicomage me ferait certainement enfermé dans un asile et de là je pouvais avoir un billet direct pour Azkaban sans espoir de retour...

J'avançais lentement. Très lentement, une main plaquée sur le mur pour me diriger et en même temps me soutenir : en plus de la pesante jambe de métal, j'étais quand même passé à la moulinette et chaque articulations, chaque muscles me tiraient.

Il y avait d'autres questions qui se bousculaient : comment sortir d'ici ? comment rentrer au château ? combien de temps avais-je dormi ?
En plus j'avais faim...

La paume de ma main, plaquée contre le mur rencontra un vide. Le couloir devait tourner à ce moment là. Fallait-il que je continue tout droit ou que je suive le tournant ?
La réponse me vint par un courant d'air frais qui balaya pendant quelques secondes l'horrible puanteur humaine. Tout droit.
Il devait certainement y avoir une porte ou une fenêtre qui donnait sur l'extérieur.
Malheureusement, le plus difficile serait de la localiser...

Ilian laissa Lain lui enlever ses vêtements, laissant apparaître son tatouage. Lain regardait la brulure qui était au 2 eme degré, des cloques d'eau apparaissant sur tout son dos. C'est à ce moment qu'il aurais bien aimé être dans l'eau des Fidjis...

- Ne t'inquiète pas, ça ne fait pas si mal que ça... Dit Ilian.

Sa phrase fut trahie par un petit cri de douleur qu'il laissa échaper lorsque Lain lui frôla le dos.

- Arg... Bon ok... ça fait mal... Fini-t-il par avouer.

Lain était au sol et attendait. Ilian s'assis lui aussi à côté d'elle s'assurant de ne pas se placer en position douloureuse. Il se risqua à lever son bras droit pour le placer sur l'épaule de Lain et remarqua que la douleur n'était pas si terrible dans ce mouvement. Il serra les dents le temps de lever le bras et de prendre l'épaule de Lain puis lorsque sa position fut prise, la douleur s'en alla comme elle était venue.

Les inféris commencé à attaquer Angel, il croyait que s'en était fini, qu'il allait être dévoré littéralement par la magie noire, ce qu'il detestait le plus. Il ferma les yeux, et quand il les rouvrit, ce qu'il vit fut étonnant, Jérémie était là, debout, en parfaite santé, à se battre contre ces morts vivants. Angel se relva, alla rejoindre son coéquipier. Et lui posa cette question, Angel avait un plan en tête:

"Quel est la puissance de ton Incendio?"

-Aussi faible que Isak voit, répondit Jérémie à Angel, mais j'arrive à me débrouillé.
D'autres Inferis arrivèrent , et cette fois Jérémie lança une chaise dans le tas d'Inferis mais cela ne fit tombé qu'une tête d'Inferis.
Jérémie, cette fois, lança un Incendio qui eu le même effet que le premier, finalement il se débrouillait plutôt bien, en tout cas c'était différent de la vue de Isak. Le sort frappa en pleine "poitrine", celle-ci étant dévorée par les vers, et l'Inferis s'abbatit sur le sol, Jérémei était satisfé mai il resté encore beaucoup d'Inferis et eux...il les avait oublié : les mangemorts.

Lain avait enfouit son visage entre ses bras, attentive à chaque mouvement, à chaque son. Elle posa doucement son visage sur ses genoux ne quittant pas des yeux les deux enfants, la tension commençait à gagner tous ses membres. Le silence l'oppressait et elle attendait, persuadée que la situation ne pourrait pas demeurer ainsi...

Un craquement léger mais suffisant pour lui faire tendre l'oreille, sa respiration se fit plus légère, plus tendue, faisant écho à un son rauque et parfaitement inhumain. Elle jeta un rapide regard à Ilian, avait-il entendu? Elle se leva, prenant soin de ne pas le faire souffrir. Elle se dirigea directement vers les enfants, essayant par trois fois de parler et réussit finalement à articuler quelques mots:

-Filez au fond, ne bougez surtout pas!

Elle attrapa la torche que la jeune fille tenait fermement en lui faisant un clin d'oeil. Alhrune lui avait au moins rendu un service en brulant une partie du toit, la jeune fille se mit sur la pointe des pieds et arracha une planche auquel elle mit feu à l'aide de la torche. Elle remit cette dernière entre les mains de la jeune fille avec un sourire.

-Surtout ne lâche pas ta torche, et s'il arrive quoi que ce soit, brûle tous ceux qui tenteront de faire du mal, à toi, à ton frère où à la dame qui est avec vous.

Il était risqué de tout remettre entre les mains d'une enfant, elle le savait, mais l'adulte était dans un état de choc tel que de toute façon elle n'aurait été bonne à rien et Lain lui jeta d'ailleurs un regard glacé et méprisant. Elle retourna aux côtés d'Ilian sa torche de fortune tenue fermement dans sa main droite. Elle attrapa doucement sa main, juste le temps d'émettre une faible pression puis ils arrivèrent. Ils, une dizaine d'inferis en putréfaction, l'odeur qu'ils dégageaient était des plus nauséabonde mais il n'était pas l'heure de s'en préoccuper. Elle jeta un dernier regard à Ilian avant de murmurer:

-Fais attention à toi...

Le vent c'était arrêté. Le fil d'air frais venait d'être coupé par odeur nauséabonde.
- Je peux savoir ce que vous faites ici ? demanda une voix féminine.
- Krrr... Je cherche la sortie.
- Mais oui mon grand, dans le bloc opératoir d'urgence peut-être...
- Hum... C'est à dire que kkkk... je suis aveugle comme vous pouvez le contaster. J'ai perdu mon... krrr chemin. Krrru krru..

Silence.

- Oui oui oui... Attendez je vais vous ammener dehors.

Contact chaud. Une main qui s'empare de mon poignet. Un frisson de parcours tout le long du dos. J'ai horreur des contacts humains directs. L'irradiation prolongée des pores de ma peau au contact des émanations humaines est fortement dangereux.
Je finirais par étouffer après de longues heures d'agonie si mon corps en avait été recouvert.
Mais une simple pression du poignet ne me tuerais pas malgré les dégâts provoqués. Et puis je ne pouvais pas encore mourir. Pas ici en tout cas.
Je suivis l'infirmière sans savoir où elle me menait...